En Seine-Saint-Denis, la cellule de déradicalisation fermée...

Le triste décalage des discours de nos politiques sur toutes les chaînes de télévision, et l'affligeante réalité des faits... (Mais ne soyez pas étonnés, en fait c'est, hélas, logique... Voyez plutôt ça comme une « confirmation…» du double jeu de nos politiques… )

Update 20.11.2015 : IMPORTANT  Ken O’Keefe : « L’idée que l’Occident est en guerre contre ISIS (Daech) est au-delà du ridicule… ISIS, c’est nous... »

(Comme d'habitude plus de détails en « Informations complémentaires » en bas d’article)

deradicalisation_93_20_11_2015.png
Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro

La structure qui « désendoctrinait » les candidats au djihad de la région parisienne, créée en octobre 2014 et placée sous le contrôle de la préfecture de police, n'est plus. Selon l'association, l'État n'a jamais versé de quoi payer les salaires et les charges. Les autorités invoquent notamment des problèmes administratifs.

Sa création, en octobre 2014, avait été annoncée à grands coups de clairon médiatique, asseyant la volonté ferme du gouvernement de prendre le terrorisme par les cornes. Cet été, seulement quelques mois après les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher, la «cellule de déradicalisation» djihadiste, un des volets du plan anti-Daech, a fait pschitt.

Placée sous le contrôle de la préfecture de police de Paris, en charge d'appliquer pour la région parisienne le plan antidjihad concocté par le ministre de l'Intérieur, cette structure de désendoctrinement était la première du genre en France. Elle a même eu valeur d'exemple pour d'autres pays. Comme la Belgique, où s'est montée une structure identique après la rencontre, le 24 février dernier ...

 

La suite sur LeFigaro.fr

 

Source : LeFigaro.fr via un lecteur anonyme

Informations complémentaires :

 


Inscription à la Crashletter quotidienne

Inscrivez vous à la Crashletter pour recevoir à 17h00 tout les nouveaux articles du site.

Archives / Recherche

Sites ami(e)s