Bonjour, je suppose que, comme moi, vous avez écouté hier l’allocution de François Hollande, puis, après, « Des paroles et des actes » sur France 2.
Alors je vais me répéter, mais des solutions il y en a, et ce n’est pas un petit blogueur qui le dit, mais le seul prix Nobel d’économie que la France ait connu.
Tout ces donneurs de leçons, tout ces politiques feraient bien de creuser dans ses réflexions, car il avait tout prévu, ainsi que comment y remédier…
Crashdebug.fr : L’éclatante faillite du nouveau credo, par Maurice Allais (1999)
Crashdebug.fr : « Lettre aux Français contre les tabous indiscutés » - Le cri d’alarme du seul prix Nobel d’économie français (1988) : Maurice Allais
Crashdebug.fr : La mondialisation, le chômage et les impératifs de l’humanisme, par Maurice Allais (2000)
Alors appropriez-vous ses analyses et portez-les au plus haut niveau, ou la suite on la connaît…
Moi, à mon petit niveau, je suis désolé, mais je ne peux pas faire grand-chose de plus… (informations complémentaires)
Bonne journée,
f.
Vinci, Eiffage et l'espagnol Abertis sont concernées. L'Autorité administrative préconise notamment de modifier la formule d'indexation des tarifs des péages et de pousser les exploitants à réinvestir, rapporte le journal Les échos.
Les exploitants du réseau autoroutier français sont-ils trop gourmands ? L'Autorité de la concurrence dénonce dans un rapport la "rente" de ces derniers, la jugeant "injustifiée", rapporte le journal Les Échos, jeudi 18 septembre.
Une "rentabilité nette exceptionnelle" de Vinci, Eiffage et Abertis
Les sept sociétés concessionnaires d'autoroutes, contrôlées par les groupes français Vinci et Eiffage et l'espagnol Abertis, "affichent toutes une rentabilité nette exceptionnelle, comprise entre 20% et 24%, nourrie par l'augmentation continue des tarifs des péages", souligne le document de 150 pages qui sera présenté ce jeudi 18 septembre.
"Et cette rentabilité n'apparaît justifiée ni par leurs coûts ni par les risques auxquels elles sont exposées", ajoute-t-il. Face à cette situation, la régulation de l'État est "défaillante", estime l'Autorité, en concordance avec l'analyse formulée par la Cour des comptes en 2013 dans le rapport "Les relations entre l'État et les société concessionnaires d'autoroutes".
Rendre obligatoire le réinvestissement
Elle formule 13 recommandations, dont la révision du mécanisme actuel d'indexation des péages sur l'inflation, au profit d'une formule intégrant l'évolution du trafic. En substitution, l'évolution du trafic serait pris en compte. Avec une fréquentation qui augmente fortement, cela rendrait possible une baisse du prix des péages.
Autre proposition évoquée par l'Autorité de la concurrence : "inclure dans les concessions une obligation de réinvestissements partiels des bénéfices, ainsi qu'un partage de ceux-ci avec l'État".
Source(s) : Latribune.fr via Maître Confucius
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