Écoutez c’est une demi-victoire, car ils admettent qu’ils n’ont AUCUNE étude d’impact de la 5G, alors qu’on est à quelques mois du déploiement, et après l'on s’étonne que les gens foutent le feu aux antennes relais. Ces politiques sont totalement toxiques, ils sont prêts à sacrifier notre santé sur l’autel de la croissance. Preuve en est qu’ils sont à la fois illégitimes et inconscients. On ne parle même pas d'Elon Musk et ses 42.000 satellites 5G, bref, stoppez ces gens, empêchez-les de transformer la tTerre en four à micro-ondes !
Update 24.05.2022 : Antenne 5G : son troupeau décimé sans explication, un éleveur obtient une interdiction temporaire (Sudouest.fr)
Update 15.06.2022 : L'exposition aux champs électromagnétiques de 1,8 GHz affecte la morphologie, les spectres Raman liés à l'ADN et les fonctions mitochondriales des lympho-monocytes humains. (Journals.plos.org)
La question des risques sanitaires de la 5G s’est invitée au Sénat ce matin. Chaque camp a pu présenter ses arguments, tandis que l’Arcep en a profité pour s’expliquer sur le maintien des enchères à septembre. Plusieurs sénateurs ont demandé à la FTT et à l’Anses d’« accorder [leurs] discours », assez divergents il faut bien le reconnaitre.
La commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat vient d'organiser des tables rondes concernant autour des polémiques entourant la 5G. Des représentants de tous les horizons étaient présents, notamment le président de l’Arcep, un responsable de l’Anses, le président de la Fédération française des télécoms et de l’association Agir pour l'Environnement. De quoi dresser un panorama complet des attentes et craintes des uns et des autres.
Le rapport de l’Anses au cœur des débats
Le début du débat était l’occasion pour l’Anses de revenir sur son rapport préliminaire autour des risques sanitaires liés à la 5G. Il a pour rappel été publié au début de l’année, suite à une saisie de l’Agence sanitaire en février 2019 par les ministères en charge de la santé, de l’environnement et de l’économie.
Pour résumer, l’Anses faisait face à un problème après un premier tour d’horizon : « peu de publications ont étudié les effets d’exposition à des fréquences comprises entre 3 et 6 GHz », déjà utilisée pour les connexions par satellite ou encore le Wi-Fi par exemple. Un point inquiétant pour certains alors que les déploiements devraient commencer dans quelques mois.
Cela concerne aussi la bande des 26 GHz qui doit être utilisée dans un second temps, alors qu'elles sont actuellement exploitées notamment pour les stations météo. Cela ne sera d'ailleurs pas sans poser quelques problèmes techniques.
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Lors de la table ronde, Olivier Merckel, responsable de l’unité évaluation des risques liés aux agents physiques de l’Anses, rappelait qu’il y a un changement du « comportement des ondes électromagnétiques vis-à-vis du vivant » entre 6 et 10 GHz : les ondes à ces fréquences « pénètrent moins profondément » dans les tissus du corps.
À 3,5 GHz on est en dessous de cette fourchette, mais « l’interaction avec le vivant bouge beaucoup », expliquait-il. Le problème étant qu’il y a peu de données « car il y a très peu de déploiement dans cette bande-là ». Pour répondre à la question d’un risque potentiel, l’Agence étudie une piste : « Est-ce qu’on peut adapter/transposer/extrapoler les données nombreuses jusqu’à 2,5 GHz sur les 3,5 GHz ? » La réponse n’est pas encore connue.
Avec la 5G, « de nouvelles modalités très complètes à appréhender »
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Source : Nextinapct.com
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