Économie Bercy exige des patrons d'entreprises françaises qu'ils paient leurs impôts en France

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« Engie », anciennement GDF Suez…, est un groupe industriel énergétique français. C'est le troisième plus grand groupe mondial dans le secteur de l'énergie en 2015. Son principal actionnaire est l'État français, qui détient un quart du capital. Le groupe naît le 22 juillet 2008 d'une fusion entre Gaz de France et Suez.

Ce qui ne l’a pas empêché de soustraire 27.000.000.000 (27 milliards) à l’impôt en 2018

Aussi j’attends de voir, car avec l’Europe rien n’est gagné, la tentation est trop grande pour ces grands groupes comme Peugeot, Total, BNP, Engie, etc.

En ce qui nous concerne notre équipe fait relâche, et pour ce soir ça va être très simple, aussi nous vous souhaitons un joyeux réveillon ; )))), n'abusez pas des chocolats... ; ))))))))

Bonne soirée,

L'Armourfou / Chalouette / Contributeur anonyme / Doudou / Gâchette

Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics — ERIC PIERMONT / AFP

Les dirigeants d’entreprises cotées ou dont l’Etat est actionnaire devront « impérativement » payer leurs impôts en France, a indiqué le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin dans une interview au Journal du dimanche. « Comme l’a dit le président de la République, les dirigeants d’entreprises cotées ou dont l’Etat est actionnaire doivent impérativement être résidents fiscaux français », a déclaré Gérald Darmanin au JDD.

« Nous sommes en train de nous en assurer et nous sommes prêts à prendre toutes les mesures nécessaires si tel n’était pas le cas », a-t-il ajouté, estimant que « la suppression de l’ISF, qui était un impôt absurde, doit aller de pair avec un certain civisme fiscal ».

Profits en France = impôts en France

Dans sa réponse au mouvement des «gilets jaunes», le président Emmanuel Macron avait dit le 10 décembre que « le dirigeant d’une entreprise française doit payer ses impôts en France et les grandes entreprises qui y font des profits doivent y payer l’impôt ».

Concernant le prélèvement de l'impôt à la source, qui doit commencer à être appliqué mardi 1er janvier, le ministre ne craint pas particulièrement de fraudes.

« Ce gouvernement fait confiance aux entreprises (qui devront collecter l’impôt). Et si dans tout système, il peut y avoir des fraudes, l’administration sera vigilante, mais notre rôle est d’accompagner l’entreprise », a-t-il relevé.

Un prélèvement à la source « sans bug »

« Qu’il soit en tout cas certain que si, pour une raison ou une autre, l’impôt n’est pas acquitté normalement, ce sera sans aucune conséquence pour le particulier », a rassuré Gérald Darmanin.

« Nous avons beaucoup travaillé avec les entreprises », a-t-il d’ailleurs remarqué. « Le prélèvement à la source, ce n’est rien d’extraordinaire, juste une ligne de plus sur le bulletin de paie comme les cotisations sociales - et les entreprises collectent déjà la CSG ou la TVA. »

Le ministre des Comptes publics a assuré au JDD avoir « préparé cette réforme avec beaucoup de méticulosité ». « L’application du taux de prélèvement à la source a été testée sur 8 millions de bulletins de salaire, sans bug », s’est-il félicité.

 

Source : 20minutes.fr

 

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