ROYAUME-UNI : ... la fusion de 6 aides sociales est une catastrophe, en 8 ans seulement 700.000 bénéficiaires au lieu des 7 millions prévus = radiation 90%
= pauvre aujourd'hui, miséreux demain, révolutionnaires après-demain d'où la crainte des émeutes sur le dos du Brexit
MACRON : ... fusion des aides sociales en 2020 ... TAPAJ salaire à la journée
1 ... On sait que la fusion/baisse/suppression des aides sociales ne réduit pas la pauvreté mais on la copie quand même à cause des marchés/Bruxelles, de la volonté d'amener la misère nécessaire aux futures émeutes/révolution et de pousser les gens à accepter les mini-jobs
Un revenu universel d’activité avec «des droits et des devoirs», impossible pour le bénéficiaire de refuser plus de deux offres «raisonnables» d’emploi
= aux aides ou aux allocations chômage, même objectif, radiation pour tous
2 ... On teste sur les pauvres un avant goût du contrat zéro sous couvert de résinsertion et habituer la population au concept mais après la banqueroute le salaire à la journée deviendra la norme
FRANCE DE LA PROPAGANDE : ... trop d'aides sociales, trop de retraites, trop d'assistanat
FRANCE DE LA REALITE : ... malnutrition, travailleurs pauvres, pauvreté
Contributeur anonyme
"Mangez cinq fruits et légumes par jour." Si le slogan des autorités sanitaires françaises n'est pas facile à suivre pour un certain nombre de Français, il reste lettre morte pour les plus pauvres, comme le révèle le 12e baromètre annuel du Secours populaire sur la pauvreté, dévoilé mardi 11 septembre, soit deux jours avant la présentation du plan pauvreté par le gouvernement.
L’alimentation est "un poste de dépense problématique pour une proportion significative de Français", relève l'association qui s'est penchée cette année sur la précarité alimentaire. Le Secours populaire, qui a mené cette enquête auprès de 1016 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française, en ressort plusieurs enseignements.
Les plus démunis peinent à manger équilibré
A la question "rencontrez-vous des difficultés financières" pour "consommer des fruits et légumes frais tous les jours", un quart des sondés répondent "oui". Cette proportion monte à 31% pour les femmes. "Elles sont souvent le chef des familles monoparentales", explique à franceinfo Richard Béninger, secrétaire national du Secours populaire.
La situation se corse un peu plus pour les foyers les plus modestes. Ceux qui gagnent entre 1200 et 2000 euros par mois sont 39% à ne pas réussir à manger des fruits et légumes quotidiennement. Quand les revenus sont inférieurs à 1200 euros mensuels (le Smic est à 1 173 euros), 53% de personnes sont dans cette situation.
Pour ces Français, consommer du poisson et de la viande au moins une fois par semaine est également très difficile. Quand les revenus se situent entre 1200 et 2000 euros, ils sont 25% à ne pas manger de la viande une fois par semaine et 35% du poisson. En deçà de 1200 euros, ils sont 36% et 46% dans ce cas de figure.
Près de la moitié des Français les plus pauvres (48%) ont, par ailleurs, du mal à se procurer une alimentation saine leur permettant de faire trois repas par jour. "Il y a des conséquences qualitatives, les gens ne se nourrissent pas correctement, mais aussi quantitatives, ils sautent parfois un repas", observe Richard Béninger, soulignant que les jeunes et les étudiants sont particulièrement concernés.
Les parents ont du mal à payer la cantine
S'agissant des parents, près de 20% des sondés affirment avoir du mal à payer la cantine pour leurs enfants. Ce chiffre monte à 34% pour les foyers gagnant entre 1200 euros et 2000 euros et à 58% pour les foyers percevant moins de 1200 euros. Or, pour certains, "c'est le seul repas équilibré de la journée", souligne le secrétaire national du Secours populaire.
Une mauvaise alimentation est un marqueur de pauvreté
Pour une majorité des personnes interrogées, avoir des difficultés régulières à se procurer une alimentation saine est "tout à fait"" le signe d’une situation de pauvreté. Le Secours populaire tenait à attirer l'attention sur ce "marqueur", dont les conséquences sanitaires ne sont pas négligeables.
Selon cette enquête, les Français sont ainsi massivement convaincus de "l’importance de la préservation de l’aide alimentaire aux plus démunis".
« Sur les 3 millions de personnes qui ont poussé la porte du Secours populaire en 2017, 1,8 million ont d'abord bénéficié d'une aide alimentaire ».
à franceinfo
Plus globalement, le Secours populaire s'alarme du sentiment de paupérisation au sein de la population, qui gagne du terrain à chaque baromètre. Cette année, près de 60% des personnes interrogées indiquent qu'il leur est déjà arrivé de se dire qu'elles étaient sur le point de basculer dans la pauvreté, soit 2 points de plus qu'en 2017. Et 81% pensent que leurs enfants seront plus exposés à la pauvreté.
Méthodologie : Enquête menée du 22 au 26 juin auprès de 1016 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
Source(s) : Francetvinfo.fr via Contribteur anonyme
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