Jean-Luc Mélenchon « en toute sincérité » sur Direct 8

Bonjour, comment allez-vous ce matin ? Tel un onirique atlantiste « Picsou »  avez-vous fait des rêves dorés ?

Trêve de plaisanterie, on n'est pas là que pour s'amuser, et le sujet est assez sérieux. Les enfants sont à l'école, le café coule. Alors si on prenait 5 mn et si on se penchait sur la presse nationale ? Car un personnage, haut en couleur, est en tête d'affiche, où il prétend en toutes « sincérité », « dire ses vérités » (quelle accroche !...) ceci sur Direct 8 ce matin. Ce qui bien sûr m'a interpellé… ; ), Alors en préambule à force de creuser, il y a quand même des faits et des discours que l’on peut croiser, et qui eux ne sont pas ouvertement revendiqués ; ))) (informations complémentaires) et que citoyennement je vous rappelle, car ils sont (à mon humble avis) à prendre en considération. 

Encore une fois l'histoire et son sillon... Je doit toutefois prudemment nuancer le discours et vous indiquer que ce ne sont que des 'supputations' et qu'en immunitaire réaction, je ne souhaite absolument pas l'instauration d'une « monarchie » dans le genre Le Peniste. Mais les faits sont les faits, c’est donc « historiquement », grâce a l'impulsion des internationaux francs-maçons que fut « planifié »  la Révolution Française  de 1789, car c'est a sa fin en mai 1799, que le jésuite Augustin Barruel écrivit que les francs-maçons l'avaient activement préparé. c'est a sa suite que fut introduit en 1870 la notion de la stratégique et nécessaire Laïcité. C'est tout aussi logiquement a posteriori qu'en 1917 mais en ex URSS qu'un « homme définitivement juste » dénomé Karl Marx avec l'appui de Vadimir Ilitch Lénine et Joseph Staline on fomenté la révolution bolchevique, et vue  par la main mise d'un destructeur communisme athé, la fin du règne des Tsars et tout monument, représentant, ou objet incarnant une référence à la chrétiené en Russie. Ceci était planifié et fut avoué justement en partie a priori dès 1871 par l'écriture couchant la volonté illuminée du généralissime Albert Pike, c’est ainsi que (encore !) les Illuminati s’attaquaient à leur plus grand ennemi (et faisaient pleurer la Vierge à Fatima). En provoquant des révolutions à travers le monde, pour mettre fin au pseudo règne chrétien, ce qui judicieusement leurs permettait de couper les hommes de leur lien universel avec le Père, les enfermant ainsi dans une logique définitivement « humaniste » et « matérialiste » sans issue, leur interdisant tout espoir spirituel en dehors de son opposé et d’un certain « Grand Architecte », qui est plus concrètement et plus médiatiquement, ni plus ni moins que SATAN incarné… Les francs-maçons à la base bâtissaient des églises et monuments et étaient chrétiens !. Ils on été pervertis par cette doctrine inique, et les bâtisseurs ont été avantageusement remplacés au fur et à mesure, par des banquiers et financiers ! Ceci explique cela...

 

Alors en 2011, quand ce plan centenaire arrive à sa conclusion, et qu’un de ses représentants (qui n'a aucune chance de l'emporter en 2012) nous dit des vérités « populaires » (tout en essayant de cacher aux Français son appartenance maçonnique), j'en déduis que c'est pour mieux faire l'unanimité sur son nom et ainsi diviser mathématiquement les votes à gauche... Qui pourraient dans le cas contraire, dangereusement se focaliser massivement sur UN(E) seul(e) candidat(e).

Ordo Ab Chao ! Cela ne vous rappelle rien ? Enfin, nous, après vous avoir informé, on n'est pas « sectaire », et on vous livre la prose faussement fédératrice de sieur Méluche et en plus en intégralité sur la chaîne Direct 8 ! Allez, vas-y Méluche, auto-persuade-nous ! Mais fait gaffe, tu as un François Hollande « décidé », juste devant toi ; )


Jean-Luc Mélenchon sur Direct 8 le 02/03/2011 par lepartidegauche

Dans une interview accordée à Direct 8, le leader du Front de gauche explique pourquoi il tape sur les médias et les instituts de sondage.

Pour sa nouvelle émission politique sur Direct 8 (2012, portraits de campagne), la journaliste politique Valérie Trierwieler a été servie : interrogé dans les couloirs du Parlement européen, Jean-Luc Mélenchon a livré, en toute sincérité, sa stratégie : "Je veux, compte tenu de ce qu'est mon projet politique, détruire l'autorité des grands appareils qui contraignent à l'idéologie dominante. Il y en a deux : les médias et les instituts de sondage. Après, il y a le reste : la publicité et le divertissement."

Un peu plus tard dans l'émission, il précise la portée de son travail de sape vis-à-vis des instituts de sondage : "Ce qui compte, c'est que le grand nombre se dise, chaque fois qu'il voit un sondage, "Ils me manipulent". C'est à ce résultat-là qu'on doit arriver. Si on peut... C'est ça la prochaine ligne de campagne du parti."

En suivant Jean-Luc Mélenchon dans les couloirs du Parlement européen, les caméras de Direct 8 filment une rencontre impromptue entre Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Conversation sans agressivité. "Vous devez vous réjouir de voir le système trembler", lui dit-elle. "C'est-à-dire que c'est surtout lui qui se passe la corde au cou avec des instruments pipeautés." Marine Le Pen rebondit : "Alors, là, la pression, elle va être forte sur vous." Sans doute fait-elle allusion au fait que le Parti socialiste tentera de ramener Mélenchon dans le camp d'une union de la gauche. Mélenchon rétorque : "Sur vous, encore plus." Marine Le Pen reprend le fil de son raisonnement : "Ce qui d'ailleurs est une erreur, car empêcher la multiplication des candidatures, c'est le meilleur moyen..." Le leader du Front de gauche ne la laisse pas finir sa phrase et la pointe du doigt : "... de vous renforcer, vous." Elle opine : "Exactement."

Mélenchon propose un nouveau débat à Le Pen

Très calmement, Jean-Luc Mélenchon évoque alors le fait que Marine Le Pen l'attaque en justice. Il propose, au lieu de ça, de refaire un débat en référence à leur duel sur BFM TV, le 14 février. "Non, mais c'est pas le problème, c'est que j'en ai marre de me faire traiter de fasciste." Réponse de Mélenchon : "Je vous comprends, j'en ai marre de me faire traiter de Lepéniste." Marine Le Pen décoche alors une répartie, en souriant : "Mais ça, vous ne pouvez pas encore poursuivre parce que ce n'est pas encore une injure." Ils se quittent sur cette plaisanterie. Mélenchon reprend place face à la caméra. Le plan s'arrête sur son visage qui en dit plus long que trois éditos... À voir.

Autre rencontre impromptue qui ponctue la balade dans les couloirs du Parlement : Mélenchon croise Rachida Dati. Et là, scoop : ils se tutoient. Mélenchon plaisante, se plaint d'avoir la poisse, d'être "tombé sur la mère Le Pen". Ils sont apparemment complices. Dati lui tend une perche amicale : "On débriefe quand ?" Petits rires de dénégation de Mélenchon qui ne veut pas qu'on l'y prenne... Très bonne première émission pour Valérie Trierwieler (par ailleurs, la compagne de François Hollande) qui, en à peine cinq minutes, a montré la part d'humanité toute simple, banale, qui se cache derrière les grandes postures du combat politique.

Par Emmanuel Berretta

Source : Le Point

Informations complémentaires :


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