Les buralistes vont vendre des cartes bancaires

 

Bonjour, enfin dimanche. J’en connais une qui est contente, parce que, pour une fois mon chat semble avoir compris qu’il ne fallait pas la réveiller à 6 heures du matin. Il n’est même pas venu me voir au bureau, et semble donc avoir « compris ». Du reste, ma femme à des capacités pulmonaires étonnantes quand il s’agit de s’exprimer… C’est peut-être ce qui l’a refroidi… ; )

Ajourd'hui, après le parcours de l’actualité, j’ai un sentiment mitigé, mais on voit nettement un  cap qui se confirme. Du reste, les avocats parisiens se mettent à votre service gratuitement jusqu'à ce dimanche pour vous conseiller sur tout conflit, notamment avec les employeurs (n’oubliez pas que leurs honoraires, avec les huissiers et autres convives au festin, peuvent s’élever jusqu'à 50% de la somme recouvrée, et après des fois (pour nous) 4 à 10 ans de procédure).

Ce qui ressort par ailleur de l’actualité, c’est la propagande de Daniel Cohn Bendit, qui trouve que l’Europe devrait « ouvrir » ses frontières pour accueillir les gens candidats au « voyage » (alors que nous n'avons rien à leur offrir) et que l’on sait pertinemment, que si nous faisons face à un tel flux migratoire en Méditéranée, c’est à cause de l’assassinat du colonel Kadhafi, qui ne peut plus garder les frontières de la Libye comme avant 2011 (puisque, de facto, elles sont maintenant aux mains des islamistes et autres mafias).

Donc, double jackpot pour les mondialistes en somme... A côté de cela le FN s’attaque à l’école, et les pompiers ne sont plus « volontaires », alors que les Femen, elles s’entraînent

Pour finir sur un note d'humour noir, certains maires communistes n'hésitent plus à prendre les choses au second degré... ; ).

Et comme vous allez le lire, des systèmes bancaires parallèles se mettent en place... ; )

Allez courage ; ). Bon dimanche à vous tous et toutes !

Amicalement,

F.

 

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Paris, hier. La société à l’origine du projet, dirigée par l’ancien patron de Boursorama Banque, espère avoir
réalisé l’ouverture de 100.000 comptes à la fin 2014. | (LP/Olivier Corsan.)

Cette fois-ci, les buralistes espèrent bien avoir trouvé la solution à la baisse continue et programmée de leurs revenus. Après les cartes téléphoniques prépayées, les jeux de grattage… leur activité va s’élargir à un secteur inattendu : la banque.

On pourra en effet bientôt se rendre chez un buraliste pour y ouvrir un compte (dénommé « compte Nickel ») et repartir avec une carte bancaire de paiement et de retrait.

Une petite révolution, qui pourrait attirer les deux millions de Français interdits bancaires, mais aussi les ruraux puisque 46% des buralistes sont implantés dans des communes de moins de 3500 habitants. Présenté mercredi, ce dispositif sera expérimenté début novembre et généralisé courant 2014. Associée aux buralistes, la Financière des paiements électroniques, dirigée par l’ancien patron de Boursorama Banque, Hugues Le Bret, vise les 100.000 comptes ouverts à la fin 2014.

Comment ça fonctionne ? Aucune condition particulière de revenus ou de patrimoine n’est requise. L’ouverture d’un compte ne prendra que cinq minutes. Les buralistes remettront aux clients un « coffret Nickel » contenant une carte bancaire Mastercard. Il faudra ensuite utiliser une borne connectée qui sera installée dans chaque bureau agréé, pour y scanner sa pièce d’identité, puis remplir un questionnaire et enfin signer les conditions générales de vente. Le commerçant vérifiera la pièce d’identité, puis activera le compte, la carte bancaire et son code secret. Il remettra aux clients un ticket de caisse comprenant le nouveau RIB et un relevé d’identité bancaire.

Que peut-on faire avec la carte ? Tout ou presque : payer chez un commerçant, déposer de l’argent (750 € par mois au maximum), retirer de l’argent chez le buraliste (jusqu’à 150 € par jour) ou dans un distributeur classique, faire des virements, payer sur .

Que ne peut-on faire ? Ce service ne donne accès ni à un ni à un chéquier, et les découverts sont interdits. Du coup, ni agios ni frais de découvert.

Combien ça coûte ? Les tarifs semblent raisonnables. L’abonnement annuel revient à 20 € et comprend tous les services associés à la du compte sur Internet ou téléphone mobile. Mais les retraits sont payants : 0,50 € chez le buraliste, 1 € dans un DAB. 2% sont prélevés sur chaque dépôt d’espèces chez le buraliste. Le renouvellement d’une carte perdue coûte 10 €. La Financière des paiements électroniques assure que ces tarifs sont calculés « pour que le plus grand nombre de clients paient moins de 50 € de frais par an ».

Que gagne le buraliste ? Sur chaque ouverture de compte, il perçoit 2 €, puis 1 € par an et par compte actif. Sur chaque retrait dans sa boutique, il touche 0,50 € et 0,75% du montant de chaque dépôt. Enfin, 2 € lui reviennent sur le renouvellement d’une carte perdue.

 

Source : Leparisien.fr

Information complémentaire :

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Trocadéro (Paris XVIe)

 


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