Pour Noël, Hollande rend visite à des enfants malades

Alors, toujours vivant après ce repas de fête ? Si vous n’avez pas mal aux cheveux, je vous félicite… ; ))) Car on peut s’amuser sans se mettre sur les genoux…

Ce matin, la maisonnée dort encore. Les cadeaux sont sous le sapin, les enfants (et les grands) vont pouvoir profiter du second effet kiss cool de Noël : les cadeaux….

Franchement, les anciens avaient raison, il faut savoir échelonner ces moments précieux et en savourer chaque étape.

Ce matin, j’ai choisi ce billet, qui pour moi a un côté positif. Tout ces gens hospitalisés et loin de chez eux ont dû avoir un sacré pincement au cœur hier soir, je connais, j’ai déjà vécu la chose…

Aussi je tenais à féliciter notre président pour ce petit écart dans son agenda, c’est certainement très peu pour lui, mais l’impact sur ces gens dans la peine doit être sacrément réconfortant.

Malades, personnes en difficulté ou isolées, personnel soignant ou d'astreinte, toute la nation est avec vous.

Amitiés,

F.

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François Hollande après le conseil des ministres à l'Elysée, le 23 décembre. (Photo Bertrand Guay. AFP)

Il est de tradition pour les responsables politiques d'afficher, pendant la période de Noël, leur solidarité à l'égard des personnes seules ou démunies.

Le président François Hollande a rendu visite mardi après-midi à des enfants malades de l’hôpital Robert-Debré (XIXe arrondissement de Paris), l’occasion de manifester pour Noël «sa reconnaissance» à toutes les équipes de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) dont dépend l’établissement.

La visite, qui ne figurait pas à l’agenda officiel du chef de l’Etat, a été ébruitée par l’AP-HP. En début du soirée, l’Elysée l’a confirmée à l’AFP, précisant que le président était accompagné de Valérie Trierweiler, sa compagne. Elle intervient à la veille de Noël, à un moment où les politiques affichent traditionnellement leur solidarité avec les personnes les plus isolées ou les plus vulnérables.

C’est aussi la première fois depuis le limogeage de Mireille Faugère et l’arrivée de Martin Hirsch à la tête de l’AP-HP, en novembre, que François Hollande se déplace sur un des sites de l’établissement public, secoué par une restructuration controversée.

Soutien

Dans un courriel à son personnel, dont l’AFP a eu copie, Martin Hirsch a tenu à transmettre «les encouragements et le soutien du président de la République» à tous ceux qui «assurent cette continuité de l’hôpital (...) 365 jours par an», au service des malades. «Le Président a eu un long échange avec les équipes soignantes, il a fait part de son attachement aux valeurs du service public hospitalier et sa reconnaissance à l’égard de toutes celles et tous ceux qui le font vivre», a écrit aussi le directeur général de l’AP-HP.

Tout juste nommé à ce poste, avec l’objectif de renouer le dialogue avec les syndicats, Martin Hirsch a tenté de déminer le volet le plus controversé de la restructuration en cours, celui de la fermeture des urgences de l’Hôtel-Dieu (IVe). Le 5 décembre, il avait renoncé au transfert du siège de l’AP-HP à l’Hôtel-Dieu, sans se prononcer toutefois sur un éventuel retour des urgences.

 

Source : Liberation.fr


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