VGE : La France risque de devoir « demander l'aide du FMI… »

Quand j’ai vu ça ce matin, mon sang n’a fait qu’un tour. Pour ceux qui nous font l’amabilité de nous suivre, vous connaissez tous la fameuse loi « Pompidou / Giscard » de 1973, qui nous force à nous endetter, avec INTÉRÊTS, auprès des banquiers privés (plutôt qu'auprès de notre banque nationale à 0%).

Bref, ce traître qui nous a mis dans la position où nous sommes, a le culot de nous narguer, et semble se réjouir d’avance que l’on tombe sous la coupe de la troïka et du FMI (voir vidéo ci dessous pour goûter à l'«Europa que VGE appelle de ses vœux...»).

Ces mondialistes de malheur ne nous épargneront aucun affront, alors j’espère que vous avez le cœur bien accroché… Parce que ça risque de secouer dans les années qui viennent….

Et si vous « attendez » que ça passe, en espérant voter Front National en 2017, c’est que leur stratégie aura bien fonctionné

Rentiers de tous les pays (et surtout exilés fiscaux français de toutes sortes, qui investissez dans notre dette), réjouissez-vous !

Les Français(es) n’ont toujours rien compris au script qui se déroule sous nos yeux…. (j’ose espérer bien sûr que ce n’est pas VOTRE cas ; )

Amitiés,

f.

L'ancien président de la République, Valéry Giscard d'Estaing prédit à la France une situation similaire vécue par la Grèce il y a quelques années, forçant nos dirigeants à demander une aide du FMI.

L'ancien président Valéry Giscard d'Estaing estime que la France "risque de se retrouver dans la situation qu'a connue la Grèce" et de devoir "demander l'aide du FMI", dans une interview publiée samedi dans Le Figaro. Celui qui fut chef de l'Etat de 1974 à 1981, propose, avec le soutien d'Helmut Schmidt, chancelier allemand à la même époque, de former autour de l'euro un "ensemble homogène" d'une douzaine de pays dotés des mêmes règles budgétaires et fiscales, qu'il appelle "Europa".
 
Malgré une dette élevée, explique-t-il, "aujourd'hui nous sommes protégés par des taux d'intérêt très bas, mais c'est provisoire. La Fed (banque centrale américaine, ndlr) a annoncé son intention de relever ses taux d'intérêt dès que la conjoncture le permettra, probablement dans les 18 mois (...) Ce jour-là, notre pays risque de se retrouver dans la situation de la Grèce. Les pouvoirs publics seront conduits à demander l'aide du FMI".
 
Selon VGE, "le mécanisme de l'Europe a été disloqué avec le non français au référendum de 2005. Pour autant, les sondages l'attestent : une grande majorité de nos compatriotes ne veut en aucun cas abandonner l'euro ! Nous devons prendre appui sur ce soutien de l'opinion pour retrouver le fil du projet européen initial avec ceux qui, parmi nos voisins, le veulent bien. Et laisser les autres vivre leur vie". Feraient partie de cette union approfondie la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l'Espagne, le Portugal, l'Autriche, et "le moment venu la Pologne", précise-t-il, en ajoutant que "la participation de l'Irlande et de la Finlande peut être envisagée".
 
"Ces douze pays constitueraient un ensemble homogène que nous appellerons Europa. Son objectif est de compléter l'euro par une union budgétaire et fiscale, dotée à terme d'un Trésor public commun et d'un mécanisme de solidarité financière", détaille Valéry Giscard d'Estaing, qui défend cette thèse dans un livre "Europa - la dernière chance de l'Europe" (XO Editions), préfacé par Helmut Schmidt.

 

Source : Lci.tf1.fr

Informations complémentaires :

 
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