Les malades de cancers de plus en plus en situation de précarité

Je tenais à vous passer ce billet de 20 Minutes ce matin, car vous savez tous maintenant de quoi il en retourne avec l’Agenda 21. Vous êtes aussi au courant pour les perturbateurs endocriniens et d’autres choses de cet acabit (informations complémentaires), aussi il ne faut pas s’étonner de voir nos corps réagir et le nombre de cancers exploser.

Le fait de se savoir malade et condamné, à plus ou moins court terme, est déjà une peine assez lourde à supporter, alors être en plus impacté financièrement comme une vache à lait par les labos et autres société à buts mercantiles, n’est à mon avis pas digne d’une société comme la nôtre.

Aussi il faut faire pression, et ne pas laisser ces gens en « pâtures » à ces société. Il faut que l’État joue à plein son rôle d’intermédiaire pour négocier les besoins quotidiens de ces gens, et fasse peser le nombre global de commandes ou de prestations concernées.

Mais en attendant que la recherche avance, il faut d'ores et déjà les prendre réellement et totalement en charge, et ne plus les laisser « seuls » face à tous ces rapaces déguisés en blouse blanche… Quand on a cotisé toute une vie, on est en droit de mourir dans la dignité.

Et si cela à un coût, il est virtuellement déjà largement payé…

Update 12.08.2014 : Dr. Burzynski - Le Complot du Cancer

Bien à vous,

L'Amourfou

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Illustration de l'Institut Gustave Roussy, centre européen de lutte contre le cancer, le 4 février 2013.
WITT/SIPA

SOCIETE - Malgré la prise en charge, les malades n'arrivent plus à financer les dépenses du quotidien...

Avec la crise économique, le cancer est une maladie qui rend pauvre, selon le deuxième rapport de l'Observatoire sociétal des malades de la Ligue contre le cancer officiellement remis ce jeudi à l'Élysée.

Le problème, c’est de financer les dépenses du quotidien, et quand bien même la prise en charge de la maladie est à 100%. Les trois quarts de ces personnes réduisent toutes leurs dépenses, y compris les dépenses alimentaires et énergétiques.

«C'est la première fois que la Ligue contre le cancer a dû verser autant d'aides financières», dit à l’AFP le professeur Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer.

Difficultés pour se nourrir et payer les factures

Les aides versées sont «en hausse de 8 % en 2012 par rapport à l'année précédente», a-t-elle ajouté. Pour l’année 2012, la Ligue a ainsi aidé directement 20.000 personnes pour un montant total de 6,5 millions d'euros.

>> Lire par ici le rapport de l'Observatoire sociétal des cancers publié en 2012 (daté de 2011)

Nord et Seine-Saint-Denis «débordés»

«C'est dans les régions économiquement les plus défavorisées qu'il y a le plus de demandes», le professeur Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer. Il y a le Nord, mais aussi la Seine-Saint-Denis «qui est débordée» selon ce médecin.

Le profil des demandeurs est sensiblement identique à celui de l'année précédente (65 % de femmes, 59 % des actifs 30-60 ans), avec néanmoins une augmentation des besoins pour ceux qui vivent seuls (+ 10 %) et sont ouvriers (+ 6 %), d'après le rapport, qui éclaire également le vécu et les souhaits des proches via une enquête Ifop.

Parmi les demandes d'aides, 52 % concernent la vie quotidienn e: pour se nourrir (19 %), payer des factures EDF (15 %) et même les impôts (3 %). Mais 23 % concernent des dépenses liées à la maladie (forfait hospitalier, prothèses capillaires et mammaires, dépassements d'honoraires...) et 17 % les aides ménagères, assistantes maternelles pour maintenir l'enfant dans la famille.

 

Source(s) : 20minutes.fr avec AFP

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Agenda 21


L'extermination lente de l'espèce humaine par Simm1


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