Bonjour, vous savez quoi ? C’est vendredi ! Veille du week-end ; ), et le vendredi j’ai aérobic, si…si… ; ). Aussi, je n’aurai pas beaucoup de temps à vous consacrer ce matin. Heureusement Chalouette est fidèle au poste veille, et nous propose ce billet sur l’apprentissage. Du reste, avec mon fils de 13 ans, nous avons décidé que nous essayerons de l’orienter vers un métier local et incontournable, où il sera son propre patron. Bref, un métier concret, qui ne puisse pas être « délocalisé » en Inde...
Mais avant de terminer cette intro, je n’ai pas voulu en parler hier, car l’actualité était déjà assez chargée, mais il faut rendre à César ce qui lui appartient… Aussi, comprenez bien le petit jeu de ce ministre (lui-même issu de l’immigration), qui devant les médias met en cause le regroupement familial, mais qui dans les faits (par derrière) donne la nationalité française (et ses avantages) à 46.000 immigrés de plus qu’en 2012 (soit un bond de 14% !), immigrés qui eux-mêmes auront des enfants, qui auront des …. qui auront des…
Je vous laisse deviner la suite… Après, il ne faut pas vous étonner d’avoir l’impression d’être au Maroc ou au Mali, quand vous vous déplacez dans certaines villes de France…
De fait, Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac n’ont pas fini de hanter nos mémoires… Et dire qu’en plus, comme Nicolas Sarkozy (qui je vous le rappelle nous a imposé l'Europe), on les entretient et on les protège (il y a de quoi) encore de nos jours pour leurs « services » rendus à la… Nation…
Si c'est pas du foutage de gueule ça... Les Français seraient-ils lobotomisés, voire totalement amnésiques ?
Sur ce, bonne journée ; )
Amicalement,
F.
Crédit photo : DENIS CHARLET / AFP. Parmis les apprentis sortant, dans le domaine de la coiffure et de
l’esthétique, le taux d’emploi des apprentis sortants de 58.2% est le plus faible observé.-
17DENIS CHARLET/AFP-
Les chiffres du ministère de l’Éducation nationale sur l’insertion professionnelle des jeunes sortants d’apprentissage viennent d’être publiés. La grande majorité de ces jeunes ont un emploi sept mois après la fin formation en 2012.
L’emploi des jeunes sortants d’un centre de formation d’apprentis (CFA) progresse de trois points en un an. L’année dernière, c’est donc 69% des apprentis qui ont trouvé un travail sept mois après la fin de leur formation. Ce taux d’emploi diffère selon l’académie, le contexte économique local et le niveau de la formation.
La spécialité choisie et la localisation restent importantes
Le niveau d’études reste déterminant pour l’accès à l’emploi: 40% des sortants sans diplôme ont un emploi, 45% des titulaires du seul diplôme national du brevet, 60% des titulaires d’un CAP ou d’un BEP, 77% des détenteurs d’un baccalauréat professionnel ou technologique et 82% des titulaires d’un BTS ou d’un diplôme de niveau I ou II (licence ou master). La spécialité préparée importe également beaucoup: le taux d’emploi après une formation dans le secteur des services (70%) est globalement supérieur à celui après une formation dans le secteur de la production (68%). Enfin, le taux d’emploi varie d’une académie à l’autre, en lien avec le contexte économique local et les différences de niveau de formation des sortants, peut-on lire sur le site du ministère.
Les spécialités préparées ont aussi leur rôle à jouer. Le taux d’emploi des jeunes ayant un baccalauréat professionnel varient de 73% pour un bac professionnel dans la spécialité de l’agriculture, à 87% dans la spécialité du bois...
Quand on est non-diplômés, il est plus facile de travailler dans l’agriculture où le taux d’emploi atteint 45.4% que dans la mécanique automobile, où pour les sans-diplômes, le taux d’emploi n’est que de 29.3%.
Aussi, la part des jeunes apprentis ayant obtenu emploi quelques mois après leur sortie de CFA, dépend de leur académie. Le taux d’emploi le plus fort est observé dans l’académie de Versailles, avec 77%. Seules deux académies ont un taux d’emploi inférieur à 50%, il s’agit de La Réunion et de la Martinique.

Les raisons du chômage des apprentis
En ces temps d’austérité, il est difficile de trouver un emploi pour la majorité des français. Pour ces apprentis sortants, la quête d’emploi se fait en majorité en reprenant contact avec son ancien employeur d’apprentissage à 30%. Ensuite ces apprentis sortants décrochent un emploi via des candidatures spontanées (19%), des relations personnelles (13%) et enfin l’inscription à Pôle emploi est la démarche la moins efficace à 12%.
Pour les 5% sortants inactifs, 2% sont en stage et 3% ne recherchent pas d’emploi. Les raisons de l’inactivité varient en fonction du sexe. Pour les filles, la raison la plus souvent citée est l’attente d’un évènement familial (naissance d’un enfant, en général). De l’autre côté, côté les deux raisons rapportées le plus souvent sont «l’attente d’une autre formation» ou «l’attente d’un engagement dans l’armée ou un départ à l’étrange».
Source : Lefigaro.fr via Chalouette
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