Asselineau : A écouter si vous vous sentez encore citoyen libre de braver la censure ! (Bruno Bertez)

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La classe politique dominante, pratique les petites phrases. Elle a retenu les leçons de Bernays et Goebbels, elle s’adresse aux émotions, au « ça » freudien plutôt qu’à l’intelligence. Les politiciens dominants font de vous des reptiliens. Quel que soit le contenu de leurs propos. Vous comprenez que ce que je vise ce ne sont pas les contenus, mais les formes.

Comme tels les politiciens dominants … dominent. Ils sont sûrs de leurs reprises médiatiques, lesquelles sont « boostées » par les déjeuners en ville des journalistes avec les services de presse et plus si affinités. Non, n’insistez pas, je ne donnerai pas de noms !

Asselineau s’adresse à notre tête et il sollicite notre patience, car il est long. démonstratif, documenté, référencé. C’est un bien et un mal car au delà des 12 000 à 13 000 adhérents fortement motivés, il a un lectorat ou une écoute restreints.

C’est dommage, mais c’est un peu de sa faute : la communication, cela existe et si on parle c’est, quand on brigue des suffrages, c’est pour être lu ou écouté. Ne me dites pas : et vous, vous n’êtes pas très facile ? Moi je ne brigue rien, je lance des bouteilles à la mer de l’intelligence.

Asselineau est comme on dit « hard », il fait dans le « hard, dans le fond et la forme. Mais attention il est lisible et compréhensible ce n’est pas incompatible.

Creuser profond est un atout et un handicap ; creuser profond amène des gens motivés et fidèles, mais rebute les tièdes, ceux qui ne sont, comme on dit dans les hôtels que « walk-in », de passage. En fait écouter Asselineau, c’est un investissement ; pas une consommation. Vous en faites bien entendu après, le profit qui vous convient n’est-ce pas.

Ne faites pas de contresens sur ce préambule je vous en prie.

Je ne suis pas du bord d’Asselineau, je n’ai pas le sens du soi-disant intérêt général ou public, ou républicain. Non. Je suis de ceux qui considèrent que l’intérêt général n’est détenu par personne, il résulte de la confrontation des intérêts individuels privés et donc je ne suis ni nationaliste ni souverainiste. Ou plutôt je suis souverainiste radical, c’est à dire pour la souveraineté des citoyens tels qu’ils sont en leur unicité et individualité, pas la souveraineté d’une abstraction trompeuse et récupérée.

Si vous rentrez dans l’entretien vous verrez, c’est passionnant.

Des solutions claires et précises

L’UPR n’est pas un parti de politiciens-caméléons qui multiplient les promesses vagues et contradictoires afin de plaire à tous les publics, juste avant les élections. Nos propositions sont très réfléchies, adéquates, précises, et sans ambiguïté.

Découvrez l'intégralité de notre Programme, directement inspiré de celui du Conseil National de la Résistance de 1944, actualisé pour le XXIe siècle.

1. Sortie de l’euro- L’euro ruine notre pouvoir d’achat, entretient le chômage, plombe nos entreprises, et accélère les délocalisations. Rétablir le franc, c’est évidemment possible, et c’est indispensable !

2. Sortie de l’Union européenne

3. Sortie de l’OTAN

Le programme de Libération nationale :

La crise dans laquelle la France s’enfonce depuis des années est désormais si grave que nous devons procéder à une rupture complète et décisive. Nous devons le faire de façon sereine et réfléchie, mais déterminée et courageuse. Cette rupture est totalement incompatible avec les oppositions de complaisance qui critiquent l’Europe mais refusent de regarder la réalité en face : la construction européenne n’est pas la solution, c’est le problème.

Voulant redonner toute son actualité au programme du Conseil national de la Résistance de 1944, je propose aux Français de se rassembler, quelles que soient leurs convictions politiques ou religieuses et leurs origines ethniques ou sociales, afin de rendre à la France sa liberté et sa démocratie. Cela impose en premier lieu de dénoncer juridiquement les traités européens, de sortir de l’UE et de l’euro, de sortir de l’OTAN et de soustraire l’économie, les services publics et les médias à la mainmise des féodalités privées.

J’assortis ces choix décisifs de toute une panoplie de réformes institutionnelles, économiques, monétaires, sociales, militaires, diplomatiques, culturelles et éthiques qui sont à des années-lumière des programmes de tous les autres candidats.

C’est à vous d’en juger.

Voir notre programme complet

 

Source : Leblogalupus.com

Informations complémentaires :


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