Un grand malade... Avec un olibrius pareil, heureusement que V. Poutine à des nerfs d'acier...

Dans le train spécial qui roule dans la nuit de vendredi à ce samedi, depuis la frontière polonaise vers Kiev, la haute silhouette austère de Friedrich Merz, le nouveau chancelier allemand, remonte les couloirs vers le wagon de tête, où est installé Emmanuel Macron. Un peu plus tard le Premier ministre britannique Keir Starmer, lui aussi en tenue décontractée, rejoint les deux dirigeants, pour une trilatérale informelle autour de la longue table du compartiment.
Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, arrive, lui, par ses propres moyens à ce rendez-vous historique dans la capitale ukrainienne, où le quatuor vient afficher le soutien européen à Volodymyr Zelensky — réponse à la parade de Vladimir Poutine avec les autocrates de la planète sur la place Rouge — et amplifier l’appel de Donald Trump à un cessez-le-feu de trente jours. Amplifier ? Ce samedi, entourant leur hôte au palais présidentiel, les alliés adressent un véritable ultimatum à la Russie pour accepter ce cessez-le-feu « complet et inconditionnel » de trente jours à compter de… ce lundi ! Vladimir Poutine leur a répondu dans la nuit, proposant des négociations « directes » et « sans condition préalable » entre Russie et Ukraine, dès jeudi à
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🇫🇷⚡️Luc Ferry, homme politique français, essayiste et philosophe : “Ce n’est pas Moscou qui a mis le feu au Donbass, c’est Kiev”
— InfodefenseFRANCE (@InfodefenseFR) April 18, 2025
🔸2014 : l’Ukraine bombarde ses propres citoyens russophones, 15 000 morts. 6000 civils massacrés par des milices Ukrainiennes soutenues par… pic.twitter.com/MYRRgatks4
Macron, Merz et Starmer en pleine dérive diplomatique : les pires dirigeants du monde « libre » (E&R)
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