Ce n'est pas la première fois que nous avons ces bruits en provenance d'Ukraine, espérons que là aussi, le fait d'en parler les dissuadent, mais apparemment des services étrangers seraient dans la boucle. Après mettre des déchets radioactifs sur un explosif, tout le monde sait le faire....
La partie russe exprime sa grave préoccupation face aux informations dont elle dispose, selon lesquelles le régime de Kiev prépare une provocation avec l’utilisation d'un engin explosif rempli de substances radioactives, la soi-disant «bombe sale». Le but d'un dessein aussi monstrueux est évident : accuser la Russie d'utiliser des armes de destruction massive. Les autorités ukrainiennes et leurs sponsors occidentaux espèrent que cette provocation va dégénérer en une puissante campagne anti-russe, qu’elle va décrédibiliser Moscou et conduira à son isolement sur la scène internationale.
La partie ukrainienne est déjà passé à la mise en œuvre de ce plan. Pour cela, Kiev dispose de la base de production et du potentiel scientifique. Plus précisément, le combinat d'extraction et d'enrichissement minier de l’Est situé dans la ville de Zheltye Vody et l'Institut de recherche nucléaire de Kiev ont été chargés de produire un tel engin. On ne peut pas exclure une assistance de la part de certains pays occidentaux, qui, d'après des informations reçues, sont en train de négocier avec l'Ukraine la fourniture de composants pour la «bombe sale».
Le régime de Kiev prévoit de faire exploser une telle munition en la déguisant en détonation fortuite d'une munition nucléaire russe de faible puissance à uranium hautement enrichi.
Il est à rappeler que lors de la conférence de Munich sur la sécurité, le 19 février de cette année, Vladimir Zelensky a annoncé son intention de rétablir le statut nucléaire de l'Ukraine. Au cours de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, le président ukrainien a appelé à plusieurs reprises les pays de l'Otan à frapper la Fédération de Russie : "Que doit faire l'OTAN ? […] Des frappes préventives, pour qu'ils sachent ce qui leur arrivera s'ils les utilisent. Et non l'inverse, attendre les frappes nucléaires de la Russie...".
Le 22 octobre, dans une interview accordée à la télévision canadienne, Zelensky a appelé la communauté internationale à frapper le Kremlin si la Russie attaquait les «centres de décision» de la rue Bankovaya, où se trouve le bureau du président ukrainien.
La partie russe exige des autorités de Kiev et de leurs sponsors occidentaux qu’ils cessent de prendre des mesures qui conduisent le monde à une catastrophe nucléaire et menacent la vie de milliers de civils.
Source : France.mid.ru via mail
Information complémentaire :
Crashdebug.fr : Valérie BUGAULT & Carl BROCHU en direct du Samedi (RéInfoCité)
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