Cancer : Les assureurs font un pas vers le droit à l’oubli

J’ai vu ça à la télé, et ça m’a choqué. Déjà, vous êtes touchés par la maladie, mais en plus on vous refuse le droit d'espérer et de vous projeter dans l’avenir... Du reste, ceci ne touche pas QUE les malades du cancer, toutes les personne qui ont une pathologie grave déclarée se voient (à 99,9%) refuser toutes sortes de prêts importants (immobilier par exemple, je suis bien placé pour le savoir), alors que la banque ne fait que créer un « véhicule de prêt ». Comprenez qu’ils créent l’argent nécessaire à partir du vide ex-nihilo (argent scriptural, voir Informations complémentaires), et c’est VOUS qui matérialisez CONCRÈTEMENT l’argent du prêt, au fur et à mesure que vous le remboursez (de plus la banque est rémunérée par les intérêts pour le soit-disant risque qu'elles prennent). C'est  LA grosse arnaque des banques. Enfin, je peux le dire une fois, cinquante fois, ou mille, apparemment personne ne semble le comprendre.

Croyez-moi, comme le dit Jérôme Kerviel, la banque gagne toujours à la fin, car nous sommes toutes et tous profondément incultes….

C’est (entre autres) comme ça qu’ils nous b…. depuis 200 ans du reste….

Plus de titres (et pas des moindres) dans la Revue de Presse du jour...

NB. Merci aux lecteurs/lectrices qui nous relaient sur les réseaux sociaux (ou autres), sachez que je le vois, et pour info, le nombre de liens vers Crashdebug.fr est un peu en train de repartir.

Alors,

MERCI ! ; )

f.

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Le droit à l’oubli est une jolie expression qui vise à permettre à des personnes qui ont été atteintes d’un cancer mais sont pleinement guéries de pouvoir signer des contrats d’assurances pour des prêts, sans être obligées de payer de fortes surprimes, comme c’est le cas actuellement. Mardi, un pas a été franchi. Au siège de la Ligue contre le cancer, en présence de François Hollande et de deux ministres, un protocole sur le droit à l’oubli a été paraphé par les fédérations d’assurances. Désormais, certains cas de cancer n’auront plus à être déclarés aux assurances, en particulier ceux survenus avant l’âge de 15 ans, «dès lors que la demande d’assurance du prêt intervient au moins cinq ans après la date de fin des traitements». De même, «pour les cancers, dès lors que la demande d’assurance du prêt intervient au moins quinze ans après la date de fin du protocole thérapeutique». É.F.

 

Source : Liberation.fr

Informations complémentaires :


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