Ces Français qui protestent contre la « dictature sanitaire » (Le Figaro.fr)

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Ces Français sont bien plus éclairés que les médias complices de la mise en place de cette dictacture sanitaire en vu de faire accepter la IVe révolution industrielle après la "grande réinitialisation" de Davos.

La grogne monte tout particulièrement contre le port du masque dans la rue. Khaletski Siarhei\goffkein.pro/Goffkein - stock.adobe.com

TÉMOIGNAGES - Ils déplorent des mesures excessives contre un virus qui «touche essentiellement les vieux et les obèses». Après sept mois de crise liée au coronavirus, le gouvernement subit plus que jamais le feu des critiques en raison de sa gestion de la pandémie. Aucun État n’échappe aux polémiques mais elles sont particulièrement vivaces en France. Selon un sondage publié fin septembre et réalisé cet été pour le compte du laboratoire d’idées More in Common, si 72% des Allemands considèrent que leur gouvernement est «compétent» face à la pandémie, seuls 40% des Français et des Britanniques partagent ce sentiment.

Pêle-mêle, une partie de nos concitoyens conteste l’utilité des mesures, minimise la menace, voire considère que le gouvernement impose une «dictature sanitaire». La grogne monte tout particulièrement contre le port du masque dans la rue, imposé depuis la rentrée. Jeune parisienne, Claire ne le respecte pas: «Autant je le porte dans les transports ou quand je rentre quelque part, autant je le baisse immédiatement une fois dans la rue, sauf dans les rues étroites. Je ne comprends pas l’intérêt de cette mesure. Je prends ça pour une brimade. Sans compter que les coureurs et les cyclistes n’y sont pas contraints.»

Verbalisé cette semaine alors qu’il mangeait un sandwich en marchant dans la rue, à Toulouse, Antoine se sent «infantilisé» par ces mesures qui «tendent à nous soumettre. Jusqu’où ça ira?», demande ce sympathisant des «gilets jaunes».

«L’incohérence dans les interdictions de rassemblements» exaspère Hortense Lecoq qui travaille pour une société pyrotechnique. Alors que 95% des feux d’artifice ont été annulés cet été, «celui de Paris a été autorisé. On autorise la fête foraine mais pas le feu prévu après. Les gens peuvent s’entasser à 2500 dans un RER mais pas à 500 sur 5ha pour assister à un feu. Et pendant ce temps notre chiffre d’affaires s’écroule». Mêmes incohérences pointées par Aude, à Bordeaux, qui constate que si les enfants ne peuvent plus faire de sport, des dizaines d’entre eux «continuent à s’agglutiner dans les aires de jeux couvertes».

«Le coup de grâce»

Commerçant à Montrouge et professeur de design, Nicolas estime que le gouvernement a surréagi et «flingué l’économie» pour une épidémie qui «touche essentiellement les vieux et les obèses ». Chaque décès évité «nous coûte des millions d’euros, ça n’a aucun sens. Et pour des gens qui sont pour la plupart déjà en fin de vie. Il y a un grand tabou sur l’âge moyen des morts du Covid, autour de 81ans», s’insurge-t-il. Si le port du masque ne le dérange pas, il estime que «l’on échange de la quantité de vie contre de la qualité de vie. Déjà que la société actuelle est très aride, c’est le coup de grâce».

Toutes les libertés sont retirées une à une : plus de bars, plus de discothèques, plus de voyages, les cours à distance…Tout ça pour un virus qui ne touche pas les jeunes. Il faut arrêter tout ça

Père d’un étudiant et d’un lycéen, Pierre s’inquiète pour les jeunes. «Toutes les libertés sont retirées une à une : plus de bars, plus de discothèques, plus de voyages, les cours à distance…Tout ça pour un virus qui ne touche pas les jeunes. Il faut arrêter tout ça.» Même réflexe pour cette mère d’un élève scolarisé dans un collège privé de l’ouest parisien : «Nos enfants subissent injonctions et menaces de mots et de punitions lorsqu’ils enlèvent leur masque deux minutes pour respirer. Parallèlement, la moitié des salariés de mon entreprise de conseil ne porte pas le masque parce qu’ils jugent ça inconfortable. Ce deux poids deux mesures est insupportable!».

Source : Le Figraro.fr

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Covid-19 : De la difficulté à admettre l’existence d’un délire collectif (FranceSoir)

 

 

 


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