Je vous ai passé les deux articles indépendamment afin qu'ils soient indexés avec des titres différents, mais peut-être a-t-on là l'explication à ces assemblages de nanos particules de formes bizarres faisant penser à des circuits imprimés dans les vaccins de Pfizer et Moderna ?
Update 04.01.2022 : La microtechnologie dans le vaccin de Pfizer (La Quinta Columna)
Créé par Jeffrey Boyington, ce prototype de vaccin universel contre la grippe, est une nanoparticule formée d’une protéine échaffaudage (en bleu) et de 8 hémagglutinines de la grippe (en jaune) conçues pour générer des anticorps communs à tous les sous-types de grippe humaine.
Vous trouverez ci-dessous un entretien mené par un journaliste de 24 Heures. Deux professeurs de l’Université de Lausanne confirment que les nanotechnologies permettent une révolution vaccinale. Ils présentent une méthode révolutionnaire qui devrait immuniser les individus contre plusieurs virus à la fois. On nous parle d’une sorte de dé qui serait une prouesse technologique. On espère qu’elle sera plus efficace que le vaccin anti-covid du moment (cf. l’exemple israélien tout en bas).
Cependant le professeur Laurent Perez précise que le concept de la nanoparticule, en soi, n’est cependant pas totalement nouveau. Et cette information qui arrive jusqu’au grand public est à saluer ! Nous attendons la suite… Un sujet sur le transhumanisme par exemple ?
Et le professeur d’expliquer cette information essentielle que tout candidat au vaccin devrait détenir avant de se faire injecter les produits en question: L’antigène utilisé dans le vaccin contre l’hépatite B forme en effet une particule de manière spontanée, induisant alors une réponse des anticorps plus élevée. Idem pour le vaccin contre l’HPV, le papillomavirus humain : le squelette du virus est utilisé comme antigène et prend la forme d’une nanoparticule.
On admet donc l’usage de nanoparticules dans le cadre des vaccins contre l’hépatite B et celui contre le papillomavirus. Nous avançons dans le sens de la lumière…
Petite description de la nanoparticule de ferritine
Un autre élément essentiel de cet entretien qui a le mérite de nous parvenir concerne l’usage de nanoparticule de ferritine, dont voici une brève description.
La ferritine, une protéine majeure de stockage du fer avec une cavité intérieure creuse, a récemment été rapportée pour jouer de nombreux rôles importants dans les applications biomédicales et bio-ingénierie. En raison de leur architecture et de leurs propriétés de surface uniques, les nanoparticules de ferritine offrent des caractéristiques favorables et peuvent être modifiées génétiquement ou chimiquement pour conférer des fonctionnalités à leurs surfaces, et des agents thérapeutiques ou des sondes peuvent être encapsulés à l’intérieur par assemblage/désassemblage contrôlé et réversible. Il y a eu un regain d’intérêt concernant l’emploi de nanoparticules de ferritine fonctionnelles en nanomédecine.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5831262/
https://link-springer-com.translate.goog/article/10.1007/s11705-017-1620-8?error=cookies_not_supported&code=5b97211d-e0df-46eb-a6c7-cbf4e18271d3&_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui,elem#auth-Zhantong-Wang
Et pour les plus résistants à l’idée que le changement du paradigme de prise en charge de la santé existe bel et bien et n’a rien à voir avec le complotisme, je vous remets cette référence scientifique de 2014. Vous relèverez que les auteurs sont actifs dans un département de génie chimique. Ce sont des ingénieurs qui utilisent des synthèses pour en faire des procédés industriels.
L’efficacité d’administration des vaccins ADN est souvent relativement faible par rapport aux vaccins protéiques. L’utilisation de nanoparticules d’oxyde de fer superparamagnétiques (SPION) pour délivrer des gènes par magnétofection est prometteuse pour améliorer l’efficacité de la délivrance de gènes à la fois in vitro et in vivo.https://pubmed-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/24715289/
Et qu’est-ce que la magnétofection ? Magnétofection également appelé transfection assistée par aimant, est une méthode de transfection qui utilise des champs magnétiques pour concentrer les particules contenant l’acide nucléique dans les cellules cibles. Cette méthode tente d’unir les avantages de la biochimie (cationique lipides ou polymères) et les méthodes physiques de transfection (électroporation, biolistique) dans un même système en excluant leurs inconvénients (faible efficacité, toxicité). Le phénomène en lui-même relevant du superparamagnétisme.
Wikipédia
Et que sont les acides nucléiques ? Eh bien tout simplement de l’A.D.N. et de l’A.R.N. Je regrette, mais ceci nous mène directement au transhumanisme, Et il aurait été indiqué que le journaliste pose la question à ses interlocuteurs.
Une autre interrogation : ce serait grâce à ces propriétés que la nanoparticule de ferritine devrait, en théorie, permettre d’immuniser les personnes contre plusieurs virus à la fois : les connus et et les inconnus. Alors question : Comment fait-on cette chose sans que la personne ne soit corporellement connectée à la plateforme vaccinale ? Et de nouveau, si la personne est connectée biologiquement à un serveur, ce sujet est-il encore un humain ?
Nous nous réjouissons du jour où 24 Heures osera l’information sur le transhumanisme.
LHK
Rappel
Le transhumanisme est le véritable enjeu !
Je me permets de rappeler une fois de plus que l’introduction de la nanotechnologie dans le corps humain est un des 4 piliers fondamentaux du transhumanisme.
Informer sur le transhumanisme est mon unique propos à travers tous ces articles sur les vaccins. Les populations ne sont pas informées de ce qui est déjà décidé politiquement. Le scandale est là. Il n’est pas dans un principe vaccinal aussi longtemps que celui-ci n’a pas de portée nanotechnologique, ou bioinformatique, ou bioélectronique. LHK
https://lilianeheldkhawam.com/transhumanisme-2/
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/ https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/28/reset-de-la-medecine-par-la-nanotechnolgie-transhumanisme-en-vue/comment-page-1/
Après l’ARN messager, les nanoparticules seront la prochaine révolution vaccinale. 24 heures
Une particule polyvalente nous protégeant contre plusieurs virus à la fois, même contre ceux qui ne nous menacent pas encore ? C’est la promesse des vaccins à particule, dont le développement est boosté par les recherches autour du coronavirus.
Un seul vaccin qui puisse protéger durablement contre plusieurs virus d’une même famille ? Alors que le monde se débat contre l’assaut simultané de divers variants du SARS-CoV-2, le concept fait rêver. Mais il n’est déjà plus du domaine de la science-fiction.
Autour du globe, des équipes de chercheurs planchent en effet sur un type de vaccin novateur, capable d’immuniser contre plusieurs souches ou variants d’un pathogène simultanément. Pour parvenir à cet objectif, le sérum utilise une technologie spécifique : la nanoparticule.
Attention, rien à voir avec les prétendues nanoparticules et autres puces traçantes qui, selon les complotistes, nous seraient injectées via les vaccins contre le Covid. Il s’agit ici d’un objet sphérique ou ovoïde portant plusieurs messages à sa surface, un peu comme un dé, dont les chiffres des différentes faces auraient chacun une cible.
Un tel «dé» pourrait ainsi protéger contre de nombreuses souches de la grippe saisonnière. Un autre serait en mesure de nous prémunir contre des infections de divers coronavirus, parmi lesquels le SARS-CoV-1, responsable du SRAS de 2003, mais aussi le MERS du Moyen-Orient, le SARS-CoV-2 qui nous occupe actuellement et même d’éventuels coronavirus de sa famille, des betacoronavirus qui pourraient un jour passer des chauves-souris à l’homme et provoquer une nouvelle pandémie peut-être encore plus grave.
Dans cet exemple, on nous dit que sur les 279 cas de plus de 60 ans 250 étaient entièrement vaccinés.
Source : Lilianeheldkhawam.com
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