DE LA SALE POLITIQUE : Le dénonciateur sur l'Ukraine est un employé anti-Trump de l'État profond, appartenant à la CIA, qui a utilisé des fausses informations pour déposer plainte (Dcclothesline)

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Ah ! Du nouveau.... Comme de toute façon on n'aura pas les détails dans la presse française... Ils lui auront tout fait à Trump quand même. Dire qu'il suffit que n'importe quel dingue soit élu aux États-Unis, et avec leur force de frappe, ils peuvent faire basculer le monde entier dans l'Apocalypse... Aussi quoi qu'on en dise... Ces petites manœuvres politiques outre-Atlantique ont leur importance... Et c'est pourquoi on vous les traduit ; ))))))))

Trump Ukraine

(Natural News) Avec chaque nouveau détail que nous apprenons sur le "Spygate", cette opération de l'ère Obama pour saper le président Donald Trump et le démettre de ses fonctions avec une fausse allégation de "collusion russe", nous pouvons voir clairement que de nombreux éléments de l'État profond ont travaillé de concert pour réaliser le plus grand scandale politique de l'histoire de notre pays.

Jusqu'à présent, personne n'a été tenu responsable de ce Spygate - pas James Comey, Hillary Clinton, Barack Obama, Peter Strzok, Andrew McCabe, Bruce Ohr, Sally Yates, ou d'autres agents de niveau inférieur du gouvernement et de la communauté du renseignement qui étaient impliqués.

Mais nous savons maintenant qu'en raison des actions de ces individus séditieux, il y a très certainement un parti pris politique contre notre président et tous ceux comme lui qui envisagent de se présenter à la Maison-Blanche à l'avenir. Voilà pour avoir fait son devoir de façon neutre et au nom du peuple américain de servir celui que nous choisissons comme notre chef.

Nous assistons à la dernière tentative de coup d'État contre le président Trump : Un "scandale" fabriqué impliquant un appel téléphonique entre lui et le dirigeant de l'Ukraine, Volodymyr Zelenskyy.

Le récit est basé sur les affirmations d'un "dénonciateur" qui aurait été un employé de la CIA affecté à la Maison-Blanche. Bien que ce dénonciateur, qui n'a pas encore été identifié par son nom, n'ait jamais entendu l'appel du président à Zelenskyy, il/elle fondait sa plainte sur des informations de seconde main.

Mais, apparemment, ce n'est pas tout.

Jeudi, le Comité du renseignement de la Chambre a fait venir Joseph Maguire, directeur intérimaire du Renseignement national, pour l'interroger, bien qu'il ne s'agisse rien de plus que de l'attitude habituelle des démocrates et que, puisque leur parti contrôle la Chambre basse, ils peuvent s'en tirer en abusant du processus.

Les démocrates accusent Trump de faire ce qu'Obama lui a fait.

Quoi qu'il en soit, lorsque le représentant John Radcliffe (R-Texas) s'est tourné vers McGuire pour l'interroger, il a fait rôtir ses collègues démocrates et a essentiellement anéanti tout espoir que le président serait effectivement destitué.

Comment ? En exposant le fait que ce dénonciateur s'est appuyé principalement sur de faux journaux comme le Washington Post et Politico, qui ont tous deux publié tant de fausses "bombes" sur Trump, on pourrait penser que c'était leur travail de se tromper. (Connexe : ROFL ! McCaul, représentant du Texas au GOP, trolle Nancy Pelosi pour mise en accusation avec un moment de "Jeudi de la défaite").

"Les démocrates ont l'intention de destituer le président Trump pour conduite légale, a dit M. Radcliffe.

Le dénonciateur ajoute ensuite : "Je n'ai pas été un témoin direct des événements décrits"... En d'autres termes, tout ceci est de l'information d'occasion. Rien de tout cela ne constitue de l'information de première main, a poursuivi M. Radcliffe, ancien procureur fédéral.

"Les sources sur lesquelles le dénonciateur fonde ses plaintes sont notamment le Washington Post, le New York Times, Politico, The Hill, Bloomberg, ABC News et autres. En d'autres termes, à l'instar du dossier Steel, les allégations contenues dans les plaintes des dénonciateurs sont fondées sur des sources médiatiques grand public de troisième main, plutôt que sur des informations de première main", a-t-il déclaré.

Le Washington Examiner, qui est censé être une organisation de presse "équitable" mais qui ressemble de plus en plus à un simple chiffon anti-Trump, a même admis que "la plainte ne contenait pas de témoignages directs de l'appel téléphonique controversé, mais seulement des informations de seconde et troisième main".

Alors pourquoi parle-t-on ici de "destitution" ? Et bien que tout le monde se concentre sur le Président Trump, ne l'oublions jamais :

- Joe Biden a en fait menacé l'Ukraine avec un Quiproquo - en disant au gouvernement de congédier un procureur qui enquêtait sur une entreprise corrompue qui payait son fils Hunter 50.000 $ par mois pour siéger au conseil (ils ont congédié le procureur et Biden s'en vante sur vidéo, ce qui devrait être la pièce A dans sa condamnation pour abus de pouvoir).

- Trump était la cible de ce Spygate, qui impliquait l'administration Obama en utilisant des sources étrangères dans une tentative de déterrer de la terre sur lui (où sont les actes d'accusation ?).

Trump est accusé de faire exactement ce que les démocrates lui ont fait. C'est une honte.

Sources include:

TheNationalSentinel.com

WashingtonExaminer.com

TheGatewayPundit.com

 

Source : Dcclothesline

Informations complémentaires :

 


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