Bonjour, j'espère que cette petite reprise d'article vous trouvera en forme, je ne sais pas si vous avez vu, mais ils proposent maintenant des crédits immobiliers à taux variable, sachant ce qui se profile à l'horizon..., je n'ai pas de mot pour qualifier ces gens....
bonjour un credit à taux révisable c'est la merde
— CATHERINE L 60 (@kittylt) September 22, 2022
il y a 22 ans ont la fait se credit tu change pas en mensualité mais dans le temps a la retraite tu paye encore ton credit maison
Pour le reste rien de nouveau...., et j'ai réfléchi hier, et je ne voie pas ce que nous pourrions y changer, le principal étant de faire acte de présence à vos côtés. Enfin, tout le reste, tout est écrit, gardez la foi..., faites le bien et JAMAIS le mal.... et si ce n'est déjà fait, ...Vous verrez... (petite astuce faite tout vos comptes sur Excel ou équivalent côté Linux, indiquez vos charges fixes tout les mois et vos prévisions avec des tableaux croisés dynamiques avec les mois en cascade (total de janvier repris en début février, etc., jusqu'a la fin de l'année, etc.) et tenez-les à jour en téléchargeant les comptes depuis votre banque. Et ajouter vos dépenses en cours (vous les effacez une fois qu'elles sont passées dans les comptes de la banque), on est resté assez longtemps étant jeune sans les faire, et nous on a vu le résultat, surendettement, etc., de plus les crédits c'est pourri ! Mais des fois on n'a tout juste pas le choix, et mensualiser tout ce que vous pouvez, si vous vous débrouiller bien, vous serez même en mesure de savoir à combien vous finissez l'année, l'année d'après, etc. Prévoir c'est essentiel pour savoir où l'on va et éventuellement corriger le tir).. Comme le disait mon père, il y a déjà assez de problèmes aléatoires qui pointent le bout de leur nez sans crier gare, alors tout ce qu'on peut anticiper, il faut le faire....
Amitiés,
L'Amourfou
La forte inflation a déjà commencé à déstabiliser les ménages les plus fragiles, comme le montre la hausse des incidents de paiement et de remboursements de crédits. Mais le stress financier face à la hausse des prix gagne toutes les catégories de la population.
+6,1% : le chiffre de la hausse des prix en juillet, dévoilé par l'Insee en pleines vacances d'été, a encore accentué l'inquiétude qui s'est emparée des Français depuis le début de l'année 2022. Tout le monde en est désormais conscient : l'épisode actuel de forte inflation est parti pour durer, et risque même de s'intensifier, dès cet hiver, avec la forte hausse attendue des prix de l'énergie.
Un coût de la vie qui augmente fortement, sans doute au-delà des 6% sur l'année 2022 ; des salaires qui progressent aussi, mais dans de moindres proportions (autour de 3%, en moyenne, cette année) : toutes les conditions sont de fait réunies pour assister à une dégradation quasi générale du pouvoir d'achat des ménages. Et donc, pour celles et ceux qui peinaient déjà à s'en sortir, à une accentuation des difficultés financières.
Pour certains, les difficultés sont déjà là. On en trouve déjà la trace dans les statistiques de l'Observatoire de l'inclusion bancaire de la Banque de France, désormais publiées chaque mois. Sur les 7 premiers mois de l'année 2022, les inscriptions au fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP) ont progressé de 18% ; celles au Fichier Central des Chèques (FCC) de 12%. En clair, de plus en plus de ménages ne parviennent plus à rembourser leurs crédits, ou n'ont d'autre choix que de faire des chèques et des paiements par carte sans provision suffisante sur leurs comptes.
Retour à la normale ou saut dans l'inconnu ?
D'un strict point de vue comptable, ces chiffres s'apparentent pourtant à un retour à la normale. Ils restent même légèrement inférieurs aux volumes enregistrés par la Banque de France en 2019 et au début de 2020, avant que la crise sanitaire ne « gèle », pour un temps, la situation financière de nombreux ménages. Ce constat est partagé par La Banque Postale. A MoneyVox, l'enseigne, qui compte parmi ses clients 40% environ des ménages financièrement fragiles, explique qu'elle « constate bien actuellement une hausse du nombre d'incidents [de paiements] (+8% entre les premiers semestres 2021 et 2022) ». Mais ces volumes « restent sensiblement en retrait par rapport au début d'année 2020 (-6%) ».
L'inquiétude est tout de même de mise chez Crésus, un réseau d'associations d'accompagnement et de prévention du surendettement. « Ce sont les premières flammèches », estime Jean-Louis Kiehl, son président. « Nous sommes encore dans une période de transition, mais une crise assez dure se profile. C'est un saut dans l'inconnu. »
Des crédits pour compenser la hausse des prix
D'autres signes indiquent que le stress financier grandit actuellement. C'est le cas, par exemple, de la forte hausse de la production de prêts personnels (+34%, par rapport à 2021, sur les 5 premiers mois de l'année selon l'Association française des sociétés financières) et des crédits renouvelables (+35%). Des chiffres spectaculaires, que le rattrapage de la consommation, à la suite de la sortie de la phase aiguë de la crise sanitaire, ne suffisent pas, selon lui, à expliquer : « Les prêts personnels servent aussi à compenser la hausse des prix, ce qui est malsain et va conduire à la hausse des défaillances. »
S'y ajoute un phénomène nouveau : l'apparition, dans les dossiers traités par Crésus, de nouvelles formes de crédit : des paiements différés ou fractionnés (que l'on désigne souvent sous l'acronyme BNPL, pour Buy Now, Pay Later), voire des services d'avance sur salaire. « Nous voyons apparaître des ménages qui ont 5 BNPL en cours, n'arrivent plus à rembourser et s'exposent à des frais d'impayés importants », explique Jean-Louis Kiehl, qui attend avec impatience la mise en place de « règles du jeu ». Elles devraient arriver, dans le cadre d'une future directive européenne, mais pas avant 2023. En attendant, le gendarme du secteur financier a alerté, cet été, sur les pratiques des acteurs de ce marché en plein boom : +40% pour les paiements fractionnés, entre les premiers trimestres 2020 et 2021.
Un stress financier qui concerne toutes les catégories de la population
S'il est déjà très concret pour les ménages déjà fragilisés, le stress financier touche aujourd'hui des catégories de la population beaucoup plus larges. Celle notamment des propriétaires immobiliers, qui se croyaient à l'abri, mais observent avec une certaine angoisse les effets de la crise actuelle sur leur budget, leur patrimoine, voire leur emploi.
Les résultats du Worldpanel de l'Institut Kantar (1) le montraient déjà en juin dernier. Même les ménages « préservés » subissent la forte hausse de prix : c'est le cas de près de 61% d'entre eux, un chiffre en hausse de 40 points en un an. Parmi ces foyers, souvent urbains et aux revenus confortables, près de 6% déclarent ne pas s'en sortir (+2,5 points en un an), contre 7% pour les ménages « pragmatiques », ceux qui comptent, mais s'en sortent, et 17,6% pour les « vulnérables ».
Un constat partagé par une autre étude, celle dévoilée récemment par Onepoint et consacrée à la relation entre les banques et les Français (2). 83% des sondés y affirment subir une baisse de pouvoir d'achat. Un ressenti qui « transcende les générations et les catégories socio-professionnelles », commente Baudoin Choppin de Janvry, Partner Banque chez Onepoint.
Dans ce contexte, les Français cherchent des solutions et comptent notamment sur leur principal partenaire financier pour éviter de sombrer : la moitié d'entre eux sont en attente d'un accompagnement renforcé de leur banque. Et, déjà, d'une certaine indulgence : selon notre sondage exclusif (2), réalisé en partenariat avec l'Institut YouGov, 51% des personnes interrogées anticipent un recours plus fréquent au découvert dans les mois à venir.
Source : Moneyvox.fr
Informations complémentaires :
Terms & Conditions
Subscribe
Report
My comments