Hum... Bah, voilà, à force de ne rien faire tout arrive, on vous avait prévenu depuis décembre 2012 que la France prenait un mauvais cap.
Enfin mauvais, encore que, ça dépend pour qui, hein, pour les 1% tout est au top !
D'ailleurs les gains vont encore augmenter, car super Mario arrive dans la scène.
Rassurez-vous le prélèvement ne sera pas douloureux, car c'est très mathématique, tout cela reste encore assez virtuel... (Pour l'instant...)
Enfin, in fine, la dette émise pèsera bien sur nos épaules, les miennes, les vôtres, et puis celles de vos enfants, et de vos petits-enfants, et de....
Non, j'avoue que ce n’est pas drôle, mais ce qui est carrément tragique, c'est qu'ils arrivent si bien à nous berner depuis 200 ans. C'est tout simplement comme le dit Étienne Chouard, ne le prenez pas mal, parce que nous sommes profondément incultes… (moi aussi, hein, je vous rassure, ici sur ce blog je ne fais qu'effleurer certains domaines, je n'ai absolument pas la prétention de les maîtriser, à vous de les creuser).
That’s all…
Chacun s'occupe de sa petite vie, de son petit train-train, et s'adapte à cette société bâtie entièrement sur le MENSONGE et l'égoïsme (ce qui est peut-être caché, mais en revanche totalement assumé).
Si ça peut vous rassurez, continuez à écouter vos bergers à la télévision, qui vous expliquent que tout va bien... Moi, tout ce que je sais, c'est que quand le néo-libéralisme aura totalement échoué et ravagé la planète (ce qui n'est PAS une probabilité mais une certitude), l'avenir nous appartiendra....
Alors en attendant…. Rappelez-vous : « L'histoire ne se répète jamais exactement, par contre elle bégaie... »
A vous d'éviter le piège...
Amitiés,
L'Amourfou

Selon l’Insee, les prix à la consommation ont baissé de 0,4% sur un an.
Beaucoup chercheront sans doute à minimiser le phénomène, préférant parler d’«inflation négative» plutôt que de «déflation». Mais la baisse du niveau général des prix, cette phobie des économistes, est bel et bien là. Selon l’Insee, les prix à la consommation sont en recul de 0,4% sur un an. Explications.
La France est-elle tombée en déflation ?
Pour les économistes, le sujet est sans doute l’un des plus anxiogènes qui soit. Les circonvolutions sémantiques précèdent toujours l’utilisation du mot «déflation». Et pour cause : la déflation est une «maladie» économique orpheline. Difficile de stopper ce cercle vicieux dans lequel les ménages et les entreprises repoussent à demain l’achat du bien, dont le prix baisse mécaniquement dans la foulée. Au risque de souffler sur les braises de la crise, et donc d’accélérer le rythme déflationniste. Aujourd’hui, la France rejoint donc l’Espagne, la Grèce ou encore le Portugal dans le cercle des pays de la zone euro tombés en déflation. Certes, beaucoup objecteront qu’il est encore prématuré pour parler de déflation. Mais qu’ils soient keynésiens ou libéraux, les économistes se rejoignent sur un point : un prix porte en lui une information, celle du rapport entre son offre et sa demande. Et si les prix baissent, ce n’est pas tant grâce au progrès technique que du fait d’un excès d’offre par rapport à une demande chétive. Pour écouler les productions, il faut donc baisser les prix.
Comment en est-on arrivé là ?
Pour nombre d’économistes, la responsabilité est à chercher du côté des politiques budgétaires. Sans vraiment tenir compte des disparités entre pays, la zone euro s’est infligé une cure d’austérité sans précédent, espérant ainsi enrayer la spirale de la crise économique. Mais cette synchronisation des disettes se révèle sans effet.
Sans la moindre perspective de croissance interne, la plupart des pays de la zone euro ont donc joué la carte de la déflation salariale, espérant ainsi piquer des parts de marché aux pays voisins. Mais quand tout le monde joue cette unique carte simultanément, les résultats sont quasi nuls. A moins de faire de la surenchère. Et c’est précisément cette logique qui a prédominé.
Comment en sortir ?
En mettant un terme à cette logique de mise en compétition des pays de la zone euro. Et c’est justement ce que cherche à faire la BCE : baisser la valeur de l’euro vis-à-vis du dollar et rendre ainsi globalement plus compétitifs les produits made in Europe. Ce qui suppose une chose : que les Etats-Unis acceptent une telle thérapie. Mais ce n’est pas gagné.
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