*** DEMANDEUR D'ASILE *** : ... gagne 204 à 426€/mois en argent + en nature gratuit (transport 80€ à Paris, logement, soins, aliments..) soit 800-1000€/mois + aides des ONG, Soros, association, fonds divers + travail au noir ou travail légal

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https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/video-un-migrant-fraichement-debarque-gagne-t-il-plus-qu-un-retraite-modeste-comme-l-affirme-marine-le-pen_3207213.html

1 ... En résumé, il gagne donc plus qu'une personne au RSA, dont le gouvernement et les départements font la chasse, le tout financé par nos impôts.

2 ... Et demain, il y aura les réquisitions de logements vides obligatoires comme chez nos voisins.
https://www.lepoint.fr/politique/melenchon-prone-l-utilisation-de-la-loi-de-requisition-des-logements-vides-02-01-2018-2183634_20.php

3 ... Un agriculteur en retraite gagne 350€/mois en moyenne, minimum vieillesse à 868€/mois et encore c'est selon l'âge, la carrière, etc.  (ma mère gagne 300€/mois en retraite).
https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/un-tiers-des-agriculteurs-francais-ont-un-revenu-inferieur-a-350-euros-par-mois-1507639289
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2544

La question n'est pas d'être raciste ou anti-migrant, mais bien de constater que nos politiques en font plus pour les demandeurs d'asile/migrants/réfugiés que pour nos propres compatriotes.

Si nos rois de France avaient fait la même chose, ils auraient été décapités en quelques semaines, car il est inacceptable d'en faire plus pour des non-nationaux que pour ces propres sujets. Êtrangers qui n'ont pas vocation à s'intégrer pour la majorité, puisqu'ils sont destinés à amener la guerre civile voulue par les sociétés secrètes.

Demain, on sera en banqueroute comme la Grèce ou le Venezuela, avec une baisse des salaires/pensions, dépeçage total, le gratuit devient payant, fin de la Sécu, hausse massive d'impôts et spoliation à 200%.

Pas besoin d'être Madame Soleil pour connaitre la suite.

Contributeur anonyme

Des éleveurs s’occupent de leurs bêtes au sommet de l'élevage de Cournon d'Auvergne, près de Clermont-Ferrand,
le 4 octobre. © AFP - Thierry Zoccolan

La Mutualité sociale agricole, qui gère la sécurité sociale des agriculteurs, a diffusé ce mardi les premiers chiffres sur le revenu des exploitants en 2016. Leur revenu moyen se situe entre 13.000 et 15.000 euros par an. Un tiers des agriculteurs touche moins de 350 euros par mois.

Le revenu annuel des agriculteurs a légèrement progressé en 2016, selon les estimations de la Mutualité sociale agricole (MSA) diffusés ce mardi. Mais cette hausse est davantage due à une baisse des charges liée à des mesures gouvernementales qu'à une hausse des recettes. Les revenus sont également très variables selon les régions, a indiqué la sécurité sociale des agriculteurs.

Près d'un exploitant sur cinq en déficit

La sécurité sociale des agriculteurs a estimé leur revenu moyen 2016 entre 13.000 et 15.000 euros, soit 4 à 5% de plus qu'en 2015, mais note "une grande hétérogénéité selon les régions". "La surprise vient plus (du fait) que la hausse est due à une baisse des charges qu'à la hausse des recettes", a expliqué Michel Brault, directeur général de la MSA. Près de 20% des exploitants étaient en déficit en 2016. Une proportion qui peut aller jusqu'à 35% dans certains départements. 30% des exploitants avaient un revenu inférieur à 350 euros par mois, une part qui peut aller jusqu'à 44% dans certains départements. Cette proportion est stable par rapport à 2015. Parmi ceux qui ont un revenu inférieur à 350 euros par an, la MSA comptabilise des exploitants en déficit.

De fortes disparités régionales

Les plus faibles revenus 2016 sont enregistrés dans les régions sud-ouest (MSA Sud Aquitaine et Midi Pyrénées sud), frappées par la grippe aviaire, le centre (MSA Berry Touraine et Beauce Cœur de Loire), touché par les inondations, et dans la Mayenne, l'Orne et la Sarthe.

Des revenus fragiles et volatils

Les revenus agricoles "restent fragiles et de plus en plus soumis à la volatilité" explique Michel Brault. Le nombre d'appels à la cellule d'écoute est quasiment stable avec 325 appels en moyenne par mois en 2017, contre 300 en 2016.

L'aide au répit, pour permettre aux exploitants épuisés de souffler

La MSA rappelle, dans son rapport, que depuis février 2017, grâce à une enveloppe de quatre millions d'euros allouée par l'État, elle a mis en place l'aide au répit, un dispositif qui permet aux agriculteurs en situation d'épuisement professionnel ou de burn-out de partir en vacances, mais aussi de trouver de l'aide auprès de professionnels du secteur social ou encore psychologique. Les secteurs d'activité les plus concernés sont ceux du lait et de la viande. La MSA compte faire bénéficier 4000 paysans de cette aide d'ici la fin 2017.

Source : Francebleu.fr

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