Des manifestants armés de fusils font face à la police à Kenosha (RT)

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  Ça pue le coup monté sauce Soros. Encore une fois, tout est fait pour mettre à feu et à sang les États-Unis, (et pour que les gens ne s'intéressent pas aux vaccins). Du reste ça rejoint le propos que l’on vous avait indiqué, les mondialistes ont besoin de l’effondrement du système pour légitimer leur « grand reset ».

Manifestants
© Twitter / Drew Hernandez / @livesmattershow

Au lendemain de la dernière fusillade policière à Kenosha, dans le Wisconsin, des manifestants armés jusqu'aux dents de fusils semi-automatiques ont fait face à un véhicule blindé de transport de troupes, au milieu d'émeutes, de pillages et de violences généralisées.

Dans une inquiétante escalade des tensions, plusieurs manifestants lourdement armés et équipés ont encerclé le véhicule de police BearCat aux premières heures du lundi matin. À un moment donné, on voit un officier ouvrir la trappe sur le toit et lancer une grenade lacrymogène pour disperser la foule.

Kenosha s'est rapidement transformée en zone de guerre à la suite d'une altercation dimanche, au cours de laquelle Jacob Blake, 29 ans, a été abattu à bout portant - au moins sept fois selon les informations disponibles - par un policier de Kenosha lors d'un prétendu "incident domestique".  

Ailleurs dans la ville, des barricades enflammées construites avec des véhicules incendiés ont été érigées, sur fond d'informations faisant état de pillages à grande échelle.

Pendant ce temps, des images ont été diffusées sur les médias sociaux, prétendant montrer un policier de la ville frappé à la tête par un missile et tombant immédiatement au sol.

Des centaines de personnes sont descendues dans la rue au mépris d'un couvre-feu imposé par la police, qui mettait en garde contre "de nombreux vols à main armée et des coups de feu".

Les médias locaux rapportent que des pierres, des briques et des cocktails Molotov ont été lancés sur la police dans un contexte de violence généralisée dans la ville, alors que les répartiteurs et les agents sur le terrain luttent pour répondre au volume d'appels pendant la nuit de rage manifeste.

Les chants de "Je ne peux pas respirer !" "Voilà à quoi ressemble la démocratie !" et "Pas de justice !" ont retenti pendant que les manifestants affrontaient la police, alors que le chaos régnait ailleurs dans la ville.  

Des gaz lacrymogènes ont été déployés pour disperser la foule qui s'était rassemblée devant un poste de police local, tandis qu'un autre groupe de manifestants assiégeait le palais de justice de la ville, le recouvrant de graffitis avant d'allumer un petit feu à l'intérieur.

 

Source : RT.com

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