Un bon principe de vie, testé et approuvé... Qui, en plus, évite de se prendre les pinceaux dans des mensonges à n'en plus finir...
Sur la toile
jeu., 09 août 2012 13:48 CDT
On ne l'attendait pas celle-là ! Dire la vérité permet de préserver sa santé. Une étude sur le thème de la « Science de l'honnêteté » a permis de montrer que l'Américain moyen ment environ 11 fois par semaine (en moyenne). L'étude a voulu savoir si vivre plus honnêtement permettait d'obtenir en retour une meilleure santé.
On ne va pas se mentir : les participants de l'étude pouvaient réduire drastiquement leurs mensonges quotidiens et cela permet effectivement de mieux se porter. L'étude a concerné 110 personnes durant 10 semaines (34 % d'adultes et le reste, des étudiants). Précisons que cette étude n'a pas été encore publiée.
On a demandé à la moitié des participants de faire attention de ne pas dire de (gros) mensonges durant 10 semaines. L'autre groupe était celui de contrôle. On faisait revenir ces gens périodiquement et l'on faisait un bilan santé, psychologique, et on les soumettait carrément au détecteur de mensonges pour voir combien de mensonges ils avaient perpétrés dans la semaine.
Les participants à qui l'on avait spécifié de ne pas mentir ont effectivement bien moins menti. Ils ont fini au bout des 10 semaines par se voir comme des gens plus honnêtes ! Lorsqu'ils avouaient avoir moins menti (dans les deux groupes), ils disaient qu'ils se sentaient mieux portants. C'est surtout au niveau des relations avec les autres que le bilan était bien meilleur avec moins de mensonges : les interactions étaient plus fluides.
On ne va pas se mentir : les participants de l'étude pouvaient réduire drastiquement leurs mensonges quotidiens et cela permet effectivement de mieux se porter. L'étude a concerné 110 personnes durant 10 semaines (34 % d'adultes et le reste, des étudiants). Précisons que cette étude n'a pas été encore publiée.
On a demandé à la moitié des participants de faire attention de ne pas dire de (gros) mensonges durant 10 semaines. L'autre groupe était celui de contrôle. On faisait revenir ces gens périodiquement et l'on faisait un bilan santé, psychologique, et on les soumettait carrément au détecteur de mensonges pour voir combien de mensonges ils avaient perpétrés dans la semaine.
Les participants à qui l'on avait spécifié de ne pas mentir ont effectivement bien moins menti. Ils ont fini au bout des 10 semaines par se voir comme des gens plus honnêtes ! Lorsqu'ils avouaient avoir moins menti (dans les deux groupes), ils disaient qu'ils se sentaient mieux portants. C'est surtout au niveau des relations avec les autres que le bilan était bien meilleur avec moins de mensonges : les interactions étaient plus fluides.
Source : Sott.fr
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