Stress maximum sur les gouvernements européens

Loin des plateaux de télévision, à l’heure où l’Europe veut faire modifier le traité de Lisbonne, et ceci avec la complicité du jeu politique et sans référendum. Il est pertinent de suivre de près les intentions et propos de notre cher président européen, qui met en avant un possible échec de l’Europe pour appuyer sa demande de dictature financière et politique, Il ne faut pas être dupe des intentions finales de M. Hermann Van Rompuy quant on sait la caste à laquelle il appartient, c’est un éleveur de bétail. Je ne suis pas là pour donner des leçons, mais si personne ne réagit préparez-vous à perdre votre identité et indépendance nationale.

Sa Majesté de droit divin, Herman 1er van Rompuy, mêlant panique réelle et manipulation, met la pression en dramatisant à outrance : « c’est une question de survie ! »

Si certains avaient imaginé, avant la réunion des ministres des Finances des seize pays coincés dans la zone euro, qu’il serait peut-être enfin possible de revenir à la réalité et envisager, enfin, de privilégier l’économie réelle en écoutant leurs peuples en colère, le président de l’UE, nommé par le groupe de Bilderberg, dramatise pour faire passer le message : « le 1er qui bronche sera diabolisé comme jamais, il portera la responsabilité de la chute de l’Empire. Aucun châtiment ne sera trop doux pour son peuple, aucune représailles ne lui sera épargnée. »

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Les propos de l’agent mondialiste van Rompuy rapportés par l’officine de propagande Euronews :

La zone euro et l’Union européenne tout entière avec elle ne « survivront pas » si les pro-blèmes budgétaires actuels de certains pays ne sont pas résolus, a mis en garde mardi le prési-dent de l’UE, alors que les inquiétudes grandissent au sujet de l’Union monétaire.

« Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie », a déclaré Herman Van Rompuy lors d’une intervention devant un centre de réflexion bruxellois, le European Policy Center.

« Nous devons tous travailler de concert afin de permettre à la zone euro de survivre. Car si la zone euro ne survit pas, l’Union européenne ne survivra pas non plus », a-t-il ajouté.

« La première année du traité de Lisbonne », entré en vigueur en décembre 2009, « a été marquée par la crise de la zone euro, c’était une période de survie et ce n’est pas encore terminé », a encore souligné le président du Conseil européen.

« Mais j’ai confiance dans le fait que nous allons surmonter cela », a-t-il ajouté.

Il s’exprimait alors que la zone euro traverse une nouvelle zone de fortes turbulences en raison des inquiétudes que suscitent l’Irlande, mais aussi le Portugal, la Grèce ou même l’Espagne, des pays handicapés par un déficit très important.

Les ministres des Finances des seize pays de l’Union monétaire, qui se réunissent dans l’après-midi à Bruxelles, doivent discuter de la situation.

Dublin, en particulier, est sous pression de certains de ses partenaires et surtout de la Banque centrale européenne pour accepter une aide financière extérieure afin de renflouer ses banques, rassurer les marchés et éviter un phénomène de contagion aux autres pays de la zone euro.

Mais les autorités irlandaises refusent pour le moment.

« L’Irlande ne sollicitera aucune aide financière parce que nous sommes totalement financés jusqu’au milieu de l’année prochaine », a déclaré le Premier ministre irlandais Brian Cowen lundi soir à la radio publique de son pays.

M. Van Rompuy a rappelé que la zone euro avait traversé une période très difficile déjà au printemps avec la crise grecque et sa contagion à l’ensemble de la zone euro. Les pays euro-péens avaient dû à l’époque voler à la rescousse d’Athènes, puis mettre en place un Fonds de secours pour les autres pays de la zone euro si nécessaire.

« Lors de la crise de l’euro, l’Union européenne a fait la preuve de sa détermination » et elle pourrait encore avoir à le « prouver », a-t-il dit.

Le président de l’UE est confronté à une situation délicate car la gestion de la crise actuelle suscite des divergences entre responsables européens.

La BCE pousse pour un plan d’action rapide car elle redoute de graves répercussions sur le marché des emprunts d’Etat. Elle est soutenue par des pays comme le Portugal ou l’Espagne qui veulent éviter d’être à leur tour emportés par la bourrasque.

Mais d’autres capitales apprécient peu ces pressions, selon des diplomates.

En outre, certains pays européens règlent ouvertement leurs comptes.

Le Premier ministre grec Georges Papandréou a ainsi accusé lundi Berlin d’être à l’origine de la hausse spectaculaire la semaine dernière des taux d’intérêt payés par l’Irlande et le Portugal, par sa volonté de faire payer les investisseurs privés en cas de défaillance d’un Etat, dans le cadre d’un Fonds de secours permanent de la zone euro actuellement en discussion, qui serait mis en place à partir de 2013.

Source : Comité Valmy

 

Source : Mecanopolis