Tout ça c'est du cinéma, ils ont déjà fait le coup en 2013, les États-Unis sont un schéma de Ponzi. Le chiffre de leur dette globale réelle est encore pire que ce qui est annoncé, ils fonctionnent en mode « planche à billets » comme la BCE. Leur survie dépend de leur capacité à s'endetter toujours plus, jusqu'à l'infini... C'est comme cela qu'ils dépouillent notre pays (et plein d'autres) contre de l'argent SANS valeur. Tout le monde le sait, mais c'est un secret de polichinelle. Il n'y a que les pseudo experts français pour encore oser publiquement dire le contraire et cacher la vérité aux Français(es). A ce sujet, Charles de Gaulle nous avait prévenu, mais ça fait 52 ans qu'on fait semblant de l'ignorer, combien de temps ce cinéma va-t-il durer ? Jusqu'à ce qu'ils rachètent le monde entier avec du papier toilette ????
Les sénateurs ont reporté à ce lundi midi le vote sur un éventuel accord budgétaire qui permettrait de mettre fin à la fermeture partielle, depuis samedi, de l'administration fédérale.
Le Sénat américain parviendra-t-il à éviter aux États-Unis de subir de plein fouet, les effets de la fermeture partielle de l'administration fédérale ? Au terme d'un week-end de tractations intenses entre républicains et démocrates, le vote du Sénat qui pourrait permettre de mettre fin au « shutdown » a en effet été reporté à lundi midi, heure locale (17 heures GMT).
Mais rien ne dit que la situation pourra se débloquer. « Nous n'avons toujours pas trouvé d'accord [...] acceptable pour les deux parties », a en effet annoncé dans la nuit le chef des sénateurs démocrates, Chuck Schumer.
Ironie des démocrates
Et ce, alors même que certains sénateurs républicains ont évoqué un compromis qui consisterait à voter un budget temporaire jusqu'au 8 février en s'engageant à aborder la question de l'immigration dans les plus brefs délais.
Mais pour l'heure, et alors que Donald Trump reste silencieux sur ce sujet depuis près de 24 heures, les démocrates ironisent sur la situation actuelle et le fait que c'est la première fois qu'un « shutdown » intervient alors que la Maison Blanche, la Chambre des représentants et le Sénat sont aux mains du même parti.
Heading to give an update on the #TrumpShudown - the first real government shutdown ever to take place under unified control of Washington. Watch LIVE : https://t.co/Q5Tl0fInfl
— Chuck Schumer (@SenSchumer) 21 janvier 2018
« Ils n'arrivent même pas à se mettre d'accord avec leur président ! », a ainsi lancé Chuck Schumer. Et de dénoncer un « Trump shutdown » qui aurait pu, selon lui, être évité sans les atermoiements du président.
Alors que les démocrates réclament toujours des engagements sur les « Dreamers », la Maison Blanche dénonce, de son côté, l'attitude de certains élus démocrates tentés, d'après elle, de prolonger le blocage jusqu'au discours sur l'état de l'Union de Donald Trump, prévu le 30 janvier. Cette allocution devant les chambres du Congrès est un exercice rituel qui donne au président l'occasion d'expliquer au peuple américain ses priorités pour l'année qui commence.
La Statue de la Liberté rouverte
Autre effet collatéral possible de cette paralysie budgétaire : la Maison Blanche a reconnu que l'incertitude pesait désormais sur la participation de Donald Trump au Forum économique de Davos (Suisse) cette semaine.
Seule certitude : la Statue de la Liberté, fermée aux touristes depuis samedi matin, sera ouverte ce lundi. L'État de New York paiera de sa poche les employés fédéraux nécessaires à la réouverture de ce monument emblématique d'une Amérique ouverte aux migrants.
The Statue of Liberty National Monument & Ellis Island Will Reopen - The National Park Service, through a funding agreement with the State of New York, will reopen the Statue of Liberty National Monument and Ellis Island on Monday morning, January 22. 4tix https://t.co/O5XqQvKTSt pic.twitter.com/FfI2KVKsle
— Statue of Liberty NM (@StatueEllisNPS) 21 janvier 2018
Le règlement intérieur du Sénat - composé de 100 élus - stipule que pour chaque motion, tout sénateur a le droit d'objecter. Cette objection ne peut être surmontée que par un vote des trois cinquièmes du Sénat.
Dimanche soir, Donald Trump a évoqué un changement de cette règle en abaissant la barre de 60 à 51 voix. Cette hypothèse, connue à Washington sous le nom d'« option nucléaire », transformerait en profondeur le fonctionnement du Congrès. Mais une majorité de sénateurs est contre.
Source : Les Echos.fr
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