Aujourd'hui pour la dernière partie actuellement en ligne, c'est Hélios du Bistro Bar Blog qui s'y colle. D'ailleurs, je tiens à la remercier infiniment, sans son aide je n'aurai pas réussi seul à traduire ces 17 extraits du livre des auteurs Tom Horn et Chris Putnam, initialement postés sur Conscience du peuple, qui sont le résultat de recherches concernant l'implication du Vatican dans la mise en place de la plus vaste imposture : l'arrivée de l'antéchrist et des « sauveurs de l'humanité » sur la scène mondiale. La série se termine de façon un peu abrupte, mais ... il existe une série complémentaire du même auteur... ; ))). Du reste, je pense que pour bien saisir le contexte et comprendre le sujet en lisant entre les lignes, les articles (en informations complémentaires) sont importants...
Update 03.09.2014 : Dans sa conférence du 29 Juin 2014 à Montréal, Pierre Hillard Indique qu’il ne pense pas que le Pape François soit le pape Final.
Update 04.01.2015 : Vous savez quand on a traduit ces articles, les choses étaient simples, on se fiait à la liste de St Malachie, mais justement il semblerait que la réalité soit plus nuancée.
Aussi (en complément) je vous propose ce reportage sur la prophétie des papes qui entre dans les détails…
Après j’ai envie de dire, « qui vivra, verra… »
Personne ne sait la date ni l’heure….
Update 24.01.2016 : Adaptation en série VOSTFR sur le même thème : Childhood's End (Partie 1/3) VOSTFR
Bonne lecture,
Amicalement,
F.
Signalé le : 13 Avril 2013
Vous n'êtes pas au bout de vos surprises...
PARTIE 17
Par Tom Horn & Cris Putnam
Dire que certaines de nos hypothèses ont été confirmées avec l'élection du pape François est un euphémisme.
L'annonce faite par le pape Benoît XVI le 11 février 2013 – comme prédit dans notre livre Petrus Romanus – était sans précédent, parce que le dernier pape à démissionner était Grégoire XII en 1415, il y a presque 600 ans. Nous ne nous sommes pas embarqués dans cette hypothèse à l'aveuglette. Dans son livre « Lumière du Monde : le pape, l'Église et les Signes des Temps », quand on a demandé à l'auteur du livre, le pape Benoît XVI, s'il pensait convenable qu'un pape démissionne, il a répondu : « Si un pape réalise clairement qu'il n'est plus physiquement, psychologiquement et spirituellement capable d'être en charge de son office, il a donc le droit et, en certaines circonstances, également l'obligation de démissionner. » Ainsi, en se basant sur la combinaison d'une prophétie et des événements actuels, nous nous sommes avancés, en prenant une position risquée aux pages 57-58 de ce volume, à affirmer que Benoît XVI démissionnerait pour des raisons relatives à des soucis de santé. Cela s'est réalisé effectivement, et de nombreux sceptiques jusqu'ici ont pris Petrus Romanus au sérieux.
Comme le lecteur le sait peut-être, nous avons mis en lien la prédisposition du pape Benoît à démissionner avec le travail d'un érudit jésuite, René Thibaut, qui prédisait, il y a plus de 60 ans, que la porte serait ouverte en 2012 pour l'arrivée du dernier pape de la liste de Malachi. L'année 2012 est bien sûr arrivée et elle s'est terminée sans accomplissement apparent. Nous étions par conséquent un peu déçus par l'erreur de Thibaut. Cependant le travail de décryptage de Thibaut ne représente qu'une petite fraction du contenu de notre livre, nous n'avons donc jamais senti que notre travail perdait de sa pertinence. Comme cela s'est révélé, pourtant, Thibaut avait vu beaucoup plus juste – incroyablement plus juste – que quiconque ne l'aurait jamais imaginé jusqu'en février 2013 ! Selon le New York Times :
Que la démission [de Benoît XVI] soit programmée depuis longtemps a été confirmé par Giovanni Maria Vian, l'éditeur du journal du Vatican « L'Osservatore Romano », qui écrivait lundi que la décision du pape « avait été prise il y a plusieurs mois », après ses voyages à Mexico et Cuba en mars 2012, « et qu'elle était soumise à un devoir de réserve que personne ne pouvait violer ».
En d'autres termes, le pape Benoît a démissionné officiellement et secrètement quand Thibaut – et nous – avons soupçonné qu'il le ferait en 2012, et il y eut ensuite sa déclaration publique du 11 février 2013 qui fut rapidement ponctuée par un éclair spectaculaire frappant la basilique Saint-Pierre. Qu'on soit ou non d'accord avec sa théologie, on doit rendre un hommage quand il est mérité. Thibaut a prédit avec justesse cette passation des pouvoirs plus de soixante ans auparavant. Le voyage du pape Benoît en Amérique du Sud était en cours quand la première édition de notre livre partait à l'impression, et c'est aujourd'hui la preuve qu'il a décidé de démissionner au moment de sa publication, exactement quand le jésuite belge l'avait prédit – soixante ans plus tôt. C'est également mis en évidence par la rénovation, également en 2012, d'une propriété devant accueillir le lieu de retraite de Benoît. Donc, avec deux grands pontifes en vie, nous pénétrons en terre inconnue en ce qui concerne la papauté moderne. Ce qui nous amène au nouveau pape.
Selon la prophétie de saint Malachi, Pierre le Romain est arrivé. Le pape François, anciennement connu sous le nom de Jorge Mario Bergoglio, fils d'Italiens émigrés en Argentine, a endossé la 112e position de la célèbre liste de Malachi. Bien que des sceptiques superficiels aient été rapides à souligner que « son nom n'était pas Pierre », leur récrimination trahit l'ignorance du fonctionnement de la prophétie de saint Malachi. Nous avons établi depuis le début que le titre « Pierre le Romain » était symbolique. Tous les papes se revendiquent de la succession apostolique de Pierre et, pour cette raison, on l'appelle l'office de Pierre. Ils déclarent siéger sur le fauteuil de saint Pierre, et de cette façon tous les papes sont des Pierre. Par exemple, dans une interview avec le World Daily Prior sur l'élection du pape François, Tom Horn était ainsi cité :
Quoi qu'il en soit, Horn disait maintenir que pour correspondre à la prophétie, il ne s'agira pas de quelqu'un dont le prénom est Pierre. « En fait, si c'est un Italien qui est élu, ce serait une concrétisation assez transparente », disait-il. De plus, il soutenait, que « dans un sens très général, tous les papes peuvent être considérés comme des "Pierre le Romain", et en ce sens, il pourrait être le dernier ».
Les vrais érudits qui ont étudié la prophétie de saint Malachi au fil du temps sont arrivés unanimement à la même conclusion – que le titre de Petrus Romanus (« Pierre le Romain ») était symbolique et n'indiquait pas plus le nom de baptême que Gloria Olivae (la 111e ligne de la prophétie des papes, celle du pape Benoît XVI) qui était le nom donné au cardinal Ratzinger avant qu'il ne devienne le pape Benoît XVI, prenant ce nom d'après le fondateur de l'ordre des Bénédictins, dont les Olivétains sont une branche, ce qui réalise sa position dans la prophétie. Il y a plus de 60 ans, Thibaut rejetait aussi la possibilité d'un pape nommé littéralement Pierre, et écrivait que le nom symbolisait la totalité de la papauté :
Nous rejetons donc comme impossible qu'un Romain soit nommé Pierre II. Il n'existe qu'un seul Pierre, le premier des Romains pontifes et c'est un fait accepté par ses nombreux successeurs. Il sera toujours le dernier comme lors de la première persécution. Nous pensons que Petrus Romanus représente tous les pontifes romains depuis saint Pierre jusqu'au destinataire de « Gloria Olivae ».
Selon le calcul de Thibaut, « Petrus » signifie que toutes les ambitions et prétentions de la dynastie papale sont maintenant rassemblées chez un seul homme, le pape François. C'était aussi notre position, mais nous avons été récemment plus qu'étonnés lorsque l'archiprêtre de la basilique Saint-Pierre, le cardinal Angelo Comastri, a admis que Pierre le Romain est incarné par le pape François. En discutant des détails de la visite du nouveau pape sur la tombe de saint Pierre dans la nécropole sous la basilique, Comastri a déclaré :
Nous avons ensuite fait un deuxième arrêt devant la stèle funéraire d'un homme appelé Istatilio. Il s'agissait certainement d'un chrétien : sur sa tombe on trouve le monogramme [chi-rho] du Christ. Sur sa pierre tombale est inscrit : « Il s'entendait bien avec tous et n'a jamais eu de conflit. » Le pape, après avoir lu la phrase, nous a regardé et a dit : « C'est un beau programme de vie. » Remontant les marches pour retourner dans la chapelle Clément, le pape François s'absorba dans une prière et répéta à voix basse les trois professions de Pierre : «Seigneur, Tu es le Christ, le Fils du Dieu Vivant » ; « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu possèdes les paroles de vie éternelle » ; « Seigneur, Tu connais toutes choses ! Tu sais bien que je t'aime ! » À ce moment-là nous avons eu l’impression que Pierre surgissait des siècles passés pour redevenir présent et vivant dans le successeur actuel de l'apôtre Pierre.
En plus de cet incroyable accomplissement de la prophétie de Malachi, de nombreux érudits de diverses écoles de pensée considèrent que la prophétie biblique en général est proche de son apogée. En fait, des événements en Israël se mettaient en place, exactement comme prédit dans la première édition du livre Petrus Romanus un an auparavant. Au chapitre 16 « La pierre pesante », nous traitions d'un obscur accord sous le manteau concernant la Salle de la Cène sur le mont Sion, et il semble que l'affaire a marché. Le journaliste Shlomo Cesana fit paraître l'histoire le 30 janvier 2013 dans la newsletter du « Israël Hayom » :
Un accord historique a été signé entre Israël et le Vatican, mettant fin à 20 ans de disputes. Israël a accordé au pape un siège officiel dans la pièce où on pense que la Cène s'est déroulée, sur le mont Sion à Jérusalem.
Bien que ce soit ignoré des grands médias, c'est capital parce que la prophétie de fin des temps se passe à Jérusalem, et aujourd'hui, pour la première fois depuis la renaissance d'Israël en 1948, le pontife romain a un siège officiel sur le mont Sion. Observez si le pape François se rend plus d'une fois en visite en Israël et prêtez attention aux détails. Par conséquent, Hal Lindsey est d'accord avec nous pour dire que l'exégèse de Apocalypse 13:11-18 implique que le dernier pape soit probablement le faux prophète :
L'apôtre Jean dans le Livre de l'Apocalypse décrit très lisiblement un dirigeant du système religieux mondial (basé à Rome) qui pavera le chemin de la montée d'un homme qui sera l'Antéchrist. Malheureusement pour cet homme d'église, l'Antéchrist et le Faux Prophète se retourneront contre lui et détruiront le système religieux et la cité.
Un autre aspect intéressant et peut-être remarquable du dernier pape est le timing de son arrivée. Bien que nous n'accordions pas beaucoup de crédit à la numérologie utilisée par les mystiques, le grand érudit biblique et théologien anglican, Ethelbert W. Bullinger, a écrit au 19e siècle un traité exhaustif qui a donné quelques connexions intéressantes s’appliquant au nouveau pontife. Les nombres entourant l'élection du pape François sont centrés sur le 13. La fumée blanche à 7 h 06 (en réalité 19 h 06, heure à la mode anglaise, NdT) : 7+6 =13 ; il est âgé de 76 ans : 7+6=13 ; il a été élu à la date du 13/03/13, qui comporte deux 13 ; 13/03/2013 donne aussi 1+3+3+2+0+1+3 = 13 ; il a été annoncé à exactement 8 h 13 (20 h 13) heure du Vatican, ou, en temps militaire et européen 20:13, ce qui donne un stupéfiant 13/3/2013 à 20 h 13. Selon Bullinger :
Quant à la signification du 13, tous sont conscients qu'il nous tombe dessus comme un nombre de mauvais présage. De nombreuses superstitions s'y rapportent et les diverses explications à leur sujet sont courantes. Malheureusement, ceux qui remontent en arrière pour en trouver la raison remontent rarement assez loin. Les explications populaires ne remontent pas, autant que nous le sachions, plus loin que les apôtres. Mais nous devons remonter à la première apparition du nombre 13 pour découvrir la clé de sa signification. Il apparaît en premier dans Genèse 14:4, où nous lisons : « Ils ont été soumis pendant douze ans à Kedorlaomer, et la treizième année ils se sont RÉVOLTÉS. »
Donc toute apparition du nombre 13, et de même pour tous ses multiples, marque un lien avec la rébellion, l'apostasie, la défection, la corruption, la désintégration, la révolution ou idées apparentées.
Ce mauvais présage suggère l'apostasie prophétisée par Paul (2 Thessaloniens 2:3) et les nombreux jugements de l'Apocalypse, ainsi que les "nombreuses tribulations" et destruction de Rome prédites par la prophétie de Malachi. Bullinger poursuit en citant ces coïncidences numériques remarquablement suggestives :
(theerion), la bête = 247 (13x19)
"Il avait deux cornes" = 247 (13x19)
"Et il avait deux cornes comme un agneau" = 2704 (208x13)
Apocalypse 13:11, le vers entier = 6318 (13x486)
« Et je vis monter de la terre une autre bête, et elle avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et elle parlait comme un dragon » (Apocalypse 13:11). Il est prédit ainsi que cette deuxième bête – le faux prophète – apparaisse « comme un agneau » et la consécration du nouveau pontife le 13 mars 2013 à 20 h 13 confirme cette notion. Comme les protestants, nous nous sentons dans notre droit d'affirmer que tous les prétendants au Vicar Pontifex Maximus sont de faux prophètes. Ne soyez pas dupe, s'il vous plaît, de la consécration involontaire des médias sur l'humilité feinte du pape François, cet homme croit qu'il est littéralement le Christ réincarné, sinon il n'accepterait pas le titre de vicaire du Christ. Malgré tout, si les prédictions de saint Malachi se concrétisent vraiment, alors la deuxième bête, celle qui vient de la terre et nommée « faux prophète » (Apocalypse 16:13 ; 19:20 ; 20:10) est peut-être bien le pape François dans le rôle de Petrus Romanus, qui volontairement ou non, conduira le monde à adorer le dragon. Chose intéressante, son homonyme, saint François d'Assise, serait d'accord.
Le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio a choisi François comme nom de pape, le premier en hommage à François d'Assise. On peut noter que le nom complet de saint François d'Assise est Francesco di Pietro di Bernardone, un nom qui peut à juste raison être envisagé comme "Pierre le Romain" d'après la dernière ligne de la prophétie des papes. Comme la formulation qui a remplacé le nom de baptême Giovanni est Francesco di Pietro, et que par béatification, il est correct de dire qu'en choisissant le nom de François d'Assise, il a choisi en effet Francesco di Pietro, et il est peu probable qu'il ait préféré tronquer l'élément Pietro car le catholicisme estime Pierre (Petrus) en tant que roc de l'église et maintient faussement qu'il fut le premier pape. Rome était un empire et une cité, donc les ancêtres italiens de Bergoglio se retrouvent probablement de la même manière dans l'aspect romain. Par conséquent, beaucoup soutiennent que Bergoglio a répondu au titre de Pierre le Romain par son choix de nom papal.
Alors que le conclave 2013 se terminait, Bergoglio a dit avoir choisi le nom papal original de François d'après saint François d'Assise quand le cardinal Claudio Hummes l'a exhorté à « se souvenir des pauvres ». Le lecteur pourra se rappeler que notre livre Petrus Romanus rattachait le frère d'Assise à Petrus Romanus depuis plus d'un an maintenant, en citant une prédiction apocalyptique qu'il a faite peu après la prophétie de saint Malachi à propos du dernier pape :
« À l'époque de cette tribulation, un homme, élu par voie non canonique, sera élevé au rang de pontife, qui, par sa fourberie, s'efforcera d'en attirer beaucoup dans l'erreur et la mort... Des prêtres garderont le silence sur la vérité, et d'autres la fouleront aux pieds et la nieront... pour ces jours où Jésus Christ ne leur enverra pas un vrai Berger, mais un destructeur. »
Y a-t-il eu quelque chose de non-canonique autour de l'élection du pape François ? Pour commencer, la démission du pape Benoît XVI a créé une situation sans précédent. Quand un pape est élu, l'Église s'attend à ce qu'il reste en fonction jusqu'à sa mort. Avant notre époque, seuls cinq papes ont démissionné sans ambiguïté avec une certitude historique, tous entre le dixième et le quinzième siècle. Par conséquent, cela rend l'élection de Bergoglio suspecte mais, apparemment, non une violation de la loi canon. En 1294, Célestin V publia un décret déclarant qu'un pape pouvait démissionner, et ensuite il démissionna lui-même après seulement cinq mois en tant que pape. Il vécut quelques années de plus comme ermite et ensuite comme prisonnier de son tyrannique successeur, Boniface VIII. Comme son décret ne fut jamais révoqué, les experts de la loi canon autorisent la démission d'un pape, bien que cela ne soit pas encouragé. D'autres ont objecté que la règle des quinze jours entre la vacance de l'office et le démarrage du conclave soit contournée pour accélérer le processus. Ce qui fut fait par le décret final du pape Benoît, mais l'urgence de mise en place de son successeur est suspecte. Alors que le pape François représente plusieurs premières, dans l'ensemble, l'aspect le plus intéressant est son statut de premier pape jésuite.
Le contexte du pontife actuel possède une grande importance prophétique, car l'ordre des jésuites fut formé pour combattre spécifiquement la réforme protestante et affirmer la suprématie papale au monde entier. Selon un historien : « Les jésuites étaient les soldats du pape : ils ne connaissaient d'autre loi que la volonté de leur général, d'autre mode de vénération que les préceptes du pape, d'autres église qu'eux-mêmes. » Pour cette raison, l'ordre jésuite fut supprimé et démantelé par le pape Clément XIV en 1773 pour ses pernicieuses affaires douteuses et au milieu du 18e siècle, les jésuites avaient gagné sans exception une mauvaise réputation en Europe pour leurs manœuvres politiques et leur exploitation économique.
L'ordre fut rétabli au début du 19e siècle avec mission de conquérir par des bourses et une technique d'infiltration le système éducatif. Chose intéressante, le pape Benoît XVI s'est adressé à l'ordre jésuite en 2008, les encourageant à revigorer le quatrième vœu. Il a dit : « C'est précisément pour cette raison que je vous ai déjà invité, et que je vous invite de nouveau aujourd'hui à réfléchir pour redécouvrir la pleine signification du ''quatrième vœu'' qui vous caractérise, l'obéissance au successeur de Pierre. »
Des historiens religieux rapportent que le quatrième vœu d'obéissance est celui d'une « absolue subordination au pape ; de faire tout ce qu'il enjoint et de le servir selon ce qu'il souhaite et cela dans n'importe quelle partie du globe ». Quelques dénonciateurs ex-jésuites ont appelé ceci un serment de sang, impliquant des rites païens qui ont été dévoilés dans le document censuré « Le serment d'induction extrême des jésuites », qui fut attesté autrefois dans les archives du congrès américain, mais fut effacé de manière suspecte. Selon ce document, ils seraient endoctrinés selon le principe de Iustum, Necar, Reges, Impious, ce qui veut dire : « Ce n'est que pour exterminer ou annihiler les impies ou les rois, les gouvernements ou les dirigeants hérétiques. » Les jésuites modernes d'aujourd'hui préfèrent des méthodes plus subtiles comme infiltrer le système d'éducation et encourager une critique importante de la Bible, ce qui affaiblit l'autorité biblique.
Protestants et catholiques ont décrit la guerre clandestine qui se déroule depuis longtemps en coulisses entre la papauté et l'ordre jésuite. Nous nous interrogerons dans le prochain article sur ce que cela peut signifier entre le pape François Romanus... et l'arrivée d'un sauveur extraterrestre.
Source : Newswithviews.com
Superbe traduction d'Hélios du BBB (vous pouvez la remercier).
Corrections : Chalouette
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