Fillon met en garde contre une « conflagration civile »

(Temps de lecture: 3 - 5 minutes)
0.0 of 5 (0 Votes)

Accrochez-vous ! François Fillon, passe en mode manuel… Il a lâché le pilotage automatique et annonce la couleur…

Enfin, c’est sûr que si on laisse faire l’Europe, on est mal barré. Mais à part martyriser la population française, je ne le vois pas aborder le sujet, ni celui du financement de notre dette (ni même faire le bilan de son activité passée, comme Premier ministre de la France, sous la présidence de Sarkozy depuis 2007)…

Parole, Parole, Parole…

Il n’y a pas d’alternance « Droite-Gauche » dans l’esclavage aux intérêts des banquiers privés.

Regardez les Italiens

Et c’est bien ce qui fait peur à Bruxelles… Sommes-nous à la veille d’un éveil des masses comme le redoutait Zbigniew Brzezinski,?

Il serait temps... (Informations complémentaires).

Fillon_27_02_2013.jpg
François Fillon

"Si rien n'est fait, nous subirons une chute brutale du niveau de vie", a affirmé François Fillon mardi soir lors de son meeting à Paris.

François Fillon a mis en garde contre "une chute brutale du niveau de vie", qui, si "rien" n'était fait", pourrait déboucher sur une "conflagration civile", mardi soir lors de son premier meeting à la Mutualité, à Paris, devant une salle comble et enthousiaste. "Que sera la France dans quatre ans ? Si rien n'est fait, nous subirons une chute brutale du niveau de vie qui peut déboucher sur une conflagration civile qui peut mettre en péril notre pacte républicain", a affirmé François Fillon. Selon lui, "face à ce risque, face à un pouvoir impuissant, face à la montée du populisme et des extrémistes qui rêvent de rééditer le coup du 21 avril 2002, la reconstruction de la droite républicaine, unie et populaire, n'est plus une question partisane, elle relève de l'intérêt national".

"Le devoir de l'opposition est de se préparer et de préparer la France à se relever. Cela ne se fera pas avec des petits ajustements. L'heure n'est pas au programme clé en main, mais je sais les noeuds que nous devrons trancher pour relancer notre pays", a-t-il assuré. L'ancien Premier ministre, qui s'est positionné pour la primaire en vue de l'élection présidentielle de 2017, dans une interview au Monde daté de mercredi, a notamment proposé de "sortir des 35 heures pour aller vers les 39 heures", de faire une "profonde refonte de l'État-providence" et de relever l'âge de départ à la retraite à 65 ans".

 

Source : Lepoint.fr avec AFP

Informations complémentaires :

 

Inscription à la Crashletter quotidienne

Inscrivez vous à la Crashletter pour recevoir à 17h00 tout les nouveaux articles du site.

Archives / Recherche

Sites ami(e)s