Comment peut-on mentir à ce point aux Français ?
La seule chose où je rejoins François Hollande c’est ça : « La France n'est pas le problème, la France, c'est la solution », a-t-il lancé.
Tant que vous n’aurez plus confiance dans vos capacités, vous subirez le diktat de l’Allemagne et de Bruxelles…
Les seuls à blâmer là-dedans c’est vous… Les autres essayent juste de jouer leur partition...
Et vous tombez dans le panneau, car vous ne réfléchissez PAS. C’est à croire que vous ne savez carrément pas compter… Et que vous n'êtes pas meilleur en histoire...
Leur « plan magique », c’est faire l’Union Bancaire pour que vous vous portiez garants pour les banques, ensuite la BCE pourra financer les États (dixit François Hollande à la télé).
Eurobonds, OMT illégales, dettes, etc. On s'en fiche, mais je vous rappelle néanmoins au FINAL que c’est nous qui finançons la BCE. Donc, de facto, nous allons lui donner de l’argent pour qu’elle nous le prête avec intérêts (je tiens à vous rappeler à ce sujet qu'il est tout aussi ILLÉGAL de faire de la « cavalerie » bancaire ou des pyramides de Ponzi à la Madoff…)
De plus c’est une « logique » à se frapper la tête contre les murs, sachant que la Banque de France pourrait elle (comme avant) nous financer à 0% d’intérêts…
Là aussi il faut faire des filières courtes, les intermédiaires ne sont que des vampires…
C’est comme pour le MES, si vous ne vous opposez pas à ces politiques, alors ne venez pas vous plaindre APRÈS quand il faudra PAYER ! Toujours plus et toujours plus d’intérêts !
Bon sang, ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre ? Regardez le Canada !
Quant à François Hollande, ne vous faites pas d'illusions sur lui, comme pour son prédécesseur il sait très bien ce qui se passe, et ce qui lui manque ce n'est pas un cerveau, c'est juste une paire de ... ; )...
Rappelez-vous l'histoire ! Ou elle se rappellera à vous...
Bien à Vous,
L'Amourfou.
Dette des Etats : confessions d'un assassin... par corsair31
PARIS (Reuters) - François Hollande s'est porté jeudi à "l'offensive" sur le front européen en s'engageant, à l'unisson d'Angela Merkel, à donner corps à une union politique dans les deux ans avec le renfort d'un gouvernement économique de la zone euro.
Le chef de l'Etat, qui s'exprimait lors de la seconde conférence de presse de son quinquennat un an après son arrivée au pouvoir, a souhaité que le délai de deux ans accordé par Bruxelles pour la réduction du déficit public français à 3% du PIB soit l'occasion d'"un rebond", via le plan d'investissements sur dix ans que Jean-Marc Ayrault devra présenter en juin.
"Ce n'est pas un répit, c'est un rebond, une opportunité pour une reprise plus rapide en France et en Europe", a-t-il plaidé. "L'an II, ce doit être l'offensive".
Frappé par une désaffection sans précédent dans la Ve République à ce stade du mandat présidentiel, François Hollande a assuré prendre la mesure des doutes, de la "détresse", des Français dans un contexte de récession, mais il a réaffirmé sa foi en une inversion de la courbe du chômage d'ici fin 2013, un objectif que les économistes jugent intenable.
Soucieux de "vérité" à l'égard de l'opinion, il a toutefois concédé que "la bataille" ne se gagnerait pas sans croissance. Une croissance qu'il pronostique "nulle" en 2013, voulant "croire" à 1,2% en 2014.
LE COUPLE FRANCO-ALLEMAND "INDISPENSABLE"
"L'enjeu, c'est la croissance, c'est la sortie de la crise, c'est la fin de la récession", a-t-il souligné, défendant les "réformes essentielles" engagées depuis un an pour restaurer "la crédibilité budgétaire" du pays.
Jugeant durablement amorcée la "remise en ordre" de l'économie nationale, François Hollande a décliné son "offensive" à l'échelle de l'Union européenne, dont il a fait le point d'orgue de son discours liminaire alors que la majorité se fracture sur les enjeux européens et la relation avec Berlin.
Le président français a voulu rassurer sur la solidité du moteur franco-allemand, qui hoquette depuis un an, en faisant finalement écho aux propositions d'Angela Merkel sur l'Europe politique. Le couple franco-allemand, a-t-il dit, est "indispensable - je dis bien indispensable" à l'Europe.
"Mon devoir, c'est de sortir l'Europe de sa langueur (...) et de réduire la désaffection des peuples", a-t-il déclaré, adoptant une posture européenne résolue sans équivalent depuis son élection et marquant son ambition de "montrer la voie".
Ainsi a-t-il proposé un plan de relance pour l'Europe sur plusieurs fronts, après avoir répondu par le silence jusqu'à présent aux appels à l'union politique lancés par l'Allemagne.
"La France, a-t-il poursuivi, est disposée à donner un contenu à cette union politique", se donnant deux ans pour y parvenir, sans préciser ses contours. "Ce n'est plus une affaire de sensibilités politiques, c'est une affaire d'urgence".
HOLLANDE CROIT EN L'INVERSION DE LA COURBE DU CHÔMAGE
Il suggère aussi l'instauration d'un gouvernement économique de la zone euro se réunissant tous les mois avec pour mission l'harmonisation fiscale et la lutte contre la fraude fiscale. La zone aurait aussi une capacité budgétaire et la possibilité de lever l'emprunt. Berlin reste opposé à ces euro-obligations.
L'avènement d'une communauté européenne de l'énergie et le déblocage de fonds européens pour l'insertion des jeunes seront prônés par Paris à l'occasion des prochains Conseils européens.
Affirmant ne "chercher aucune défausse ni sur le passé ni sur l'extérieur", le chef de l'Etat entend concentrer l'offensive intérieure sur la préparation de l'avenir et l'emploi. "C'est en voyant loin que l'on change la perception du présent et que l'on redonne espoir", a-t-il justifié.
"Il n'y aura pas d'espérance possible tant que le chômage n'aura pas entamé sa décrue" et "la courbe du chômage peut s'inverser d'ici la fin de l'année", a-t-il réaffirmé.
Le Premier ministre présentera en juin un plan d'investissements décennal dans les domaines de l'énergie, de la santé, du numérique et des transports. Il sera financé par des crédits européens, la Caisse des dépôts et la BPI, des partenariats privés et des cessions de participations publiques.
François Hollande a confirmé une réforme de l'assurance-vie pour financer les entreprises, un plan d'épargne en actions (PEA) visant les petites et moyennes entreprises, ainsi que la révision de la taxation des plus-values de cession.
"Il n'y aura pas de zig-zags, il n'y aura pas d'allers-retours", a-t-il assuré au nom de "la confiance".
"La France n'est pas le problème, la France, c'est la solution", a-t-il lancé.
Sophie Louet, avec service France, édité par Yves Clarisse
Source : Reuters.fr
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