Le ministère de la défense Américain continue sa volonté de réduire la pensée humaine et son action à quelques lignes de code. Le dernier effort du bureau de recherche scientifique de l'Air Force qui cherche à construire des modèles mathématiques de l'attention humaine, de la mémoire, de la catégorisation, du raisonnement, de la résolution de problèmes de l'apprentissage et de la motivation, ainsi que de la prise de décision.
Le but ultime selon une récente demande de propositions de recherche est de "clarifier les bases des algorithmes de calcul de l'esprit et du cerveau." Bonne chance, les gars.
C'est l'un des tas de projets issus de bureaux différents que de tenter d'enseigner aux machines d'agir plus comme des choses vivantes. "La nature a utilisé l'évolution pour construire des matériaux et des capteurs qui surpassent les capteurs de courant (par exemple, une araignée peut détecter les flux d'air à des niveaux faibles, même dans un environnement bruyant)," écrit l'Office. Donc il existe un deuxième programme, pour non seulement "mimer les systèmes sensoriels naturelles existants, mais aussi ajouter des fonctionnalités existantes à ces organismes" afin qu'ils puissent plus précisément contrôler leurs cadeaux donné des dieux.
Par exemple, peut-être les militaires peuvent-ils développer un meilleur "camouflage actif et passif" en apprenant des créatures qui sont capables de changer de couleurs, de se cacher de leurs prédateurs. Peut-être que les forces armées peuvent améliorer les enzymes qui rongent les engins de l'ennemi. Peut-être que les militaire peuvent bioenginerer des organismes vivant dans une chaleur extrême, ou dans un milieu extrêmement acide, pour rendre les équipements plus résistant.
Le Bureau souhaite également savoir comment s'écoulent les collections de créatures vivantes. Ainsi, l'Office cherche à monter une "compréhension fondamentale des interactions entre les groupes démographiques ... d'expliquer et de prédire les résultats entre les factions rivales au sein de régions géographiques". Elle veut "identifier et quantifier la variabilité culturelle" pour modéliser les effets d'une guerre "d'information de campagne" en ligne.
Une fois cela fait, ce sera le retour à la numérisation du travail intellectuel. "Informatique et mathématiques sont les nouveaux principes de la connaissance qui sont nécessaires pour former une symbiose entre l'homme et les systèmes machine" explique l'Office.
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