Einstein vs Tesla - Les neutrinos particules de l'éther cosmique - L'histoire cachée de la science du cinquième élément

Décidément, j’adore tenter de provoquer chez vous des réactions improbables de saines « interrogations... » ; ))). Nous aurait-on menti ? La dérive des continents serait-elle due à une « expansion » de la Terre ? Est-il possible que cette dernière soit bombardée d’éléments mis en évidence par Nicolas Tesla, dénommés « les Neutrinos », et qu’elle augmente de circonférence, au point d’avoir en "réel" un décalage d'une seconde tout les 18 mois, ou 0,7 seconde sur un an de différence avec la valeur calculée atomiquement pour la durée d’une journée, ? Quelle était la source d’énergie inépuisable dont parlait Nicolas Tesla ? C’est ce que je vous propose de tenter de découvrir avec ce documentaire sur les Neutrinos et l’Expansion de la Terre. Je l’ai accompagné des explications les plus limpides que j’ai trouvées. Ne manquez pas les traditionnelle informations complémentaires...

Sur ce, bonnes et saines « interrogations »

Update 10.12.2014 : si vous êtes assez bon en électronique, je pense que ce montage pourrait vous intéresser...

L'expansion terrestre est une théorie de tectonique globale. Elle fournit un cadre théorique permettant d'expliquer la formation des continents et des bassins océaniques basaltiques à la surface de la Terre, leur évolution et changement de position relative par une croissance du manteau terrestre, se traduisant par une augmentation du rayon du globe terrestre de l'ordre d'environ 2 cm par an, selon une moyenne calculée sur les 3 derniers millions d'années, à partir de la vitesse d'accrétion au niveau des dorsales océaniques, soit environ 3 km² par an en moyenne.

Cette théorie est l'application à la Terre d'une théorie plus universelle de croissance planétaire, recoupant les récentes observations des sondes spatiales faites sur les planètes et lunes joviennes actives, montrant une activité tectonique d'extension de surface récente telles que pour Ganymède, Europe, Encelade...

Galilée, fut le premier à découvrir que la Terre tournait autour du soleil, et Wegener, fut le premier à énoncer la mobilité des continents.
Dans les années 1960, l’argument expansionniste de la Terre naquit du physicien Paul Dirac, qui le formula en 1932. Pour lui, la valeur de la gravité a diminuée au cours du temps, ce qui implique une augmentation du volume de la Terre alors que sa masse serait restée constante. Il y aurait eu ainsi, expansion de la Terre.
Des géologues affirment aujourd’hui que la Terre est en expansion car son diamètre augmenterait chaque année.
Selon certains géologues, la croûte terrestre recouvrait à l’origine l’ensemble du globe. Ceci n’est possible que si ,à cette époque, la valeur du diamètre terrestre était la moitié de sa valeur actuelle, soit 3 635 km. Les continents, dès cette époque, auraient été réunis en une Pangée globale.
C’est le géologue S. Warren Carey, qui, après avoir été l’un des premiers à défendre la tectonique des plaques, va basculer du côté des expansionnistes. Il développa une série d’arguments qui le conduisirent à reconstituer une géographie où le pacifique, au trias, était un océan pratiquement fermé, sur une Terre dont le diamètre était de 60% de sa valeur actuelle. L’exploration des fonds sous-marins, à montré qu'ils étaient en extension.

L'origine de la croissance de notre planète, ne pourra s'expliquer que par une avancée scientifique majeure dans les domaines de la physique et des sciences de la Terre.

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Dans ce reportage d'Arte, vous trouverez Klaus Vogel, ce pourquoi nous vous mettons ci-dessous un aperçu de sa vie.

Klaus Vogel (1930-2007), né à Hambourg , en Allemagne, est largement reconnu comme un expert universitaire sur les aspects de la fiscalité internationale , en particulier sur les conventions fiscales . Il est considéré comme une autorité sur l'interprétation des conventions de double imposition. [1]

Vogel a terminé ses études en droit en 1957. Il a enseigné la Constitution , administrative et fiscale du droit à l'Université de Hambourg, Erlangen-Nuremberg, où il est devenu complet professeur de droit fiscal en 1964, et Heidelberg où il est devenu professeur de droit public en 1966. A partir de 1977 il a été professeur de droit public à l' Université de Munich où il est devenu professeur émérite en 1996. Il a également été directeur du Centre de recherche pour les affaires étrangères et internationales d'information financière de droit fiscal il.

Dans le début des années 1970, il a été juge à la Cour administrative supérieure de Bade-Wurtemberg. il a publié 15 livres et environ 200 articles. De 1974 à 1990 il a été membre du Comité scientifique permanent de l' IFA jusqu'en 1990.

L'expansion Terrestre

L'expansion terrestre est une théorie selon laquelle tous les processus tectoniques, tel que le déplacement relatif des continents, leur évolution et plus généralement celle de la lithosphère, sont la conséquence d'une augmentation importante et accélérée de la surface et donc du volume de la Terre. La plus récente estimation de l'augmentation de surface (basée sur la quantification et la datation des lithosphères océaniques et continentales et certaines suppositions) est un quadruplement depuis 250 millions d'années, soit un doublement du rayon terrestre durant cette période, pour une croissance actuelle d'environ 20 mm/an1.

Cette théorie fut une des premières théories mobilistes2 qui ait été proposée en géosciences3, avant même la dérive des continents d'Alfred Wegener (voir historique). Les recherches scientifiques effectuées dans le cadre de ce paradigme ont été progressivement abandonnées à partir de la fin des années 19604, notamment à la suite d'articles indiquant que le volume de la Terre n'a pas changé significativement au cours des temps géologiques5,6,7. Dès lors, cette théorie a progressivement été jugée obsolète et n'a donc jamais obtenu le statut de consensus scientifique, laissant s'imposer la théorie concurrente de latectonique des plaques. Depuis les années 1970, le consensus scientifique estime que la théorie d'expansion terrestre est erronée et obsolète. La majorité des rares géologues et géophysiciens qui soutiennent encore cette théorie au début du xxieme siècle se reconnaissent comme les héritiers du géologue australienSamuel Carey.

Le caractère spectaculaire de la théorie de l'expansion terrestre, son abandon par la communauté scientifique et ses implications dans des domaines scientifiques aussi variés que la physique ou la paléontologie, sont à l'origine d'une forte attraction pour de nombreux scientifiques, non scientifiques, pseudo-scientifiques, voire certains mouvements créationnistes8, alors que ces individus ne maîtrisent ni la connaissance, ni la méthodologie requises pour aborder objectivement cette théorie. Ils se présentent généralement en militants de la théorie, souvent à tendance conspirationiste, et même parfois comme auteurs à part entière de cette théorie comme par exemple le célèbre dessinateur américain Neal Adams. Le militantisme d'Adams se manifeste notamment par la confection de vidéos explicatives accessibles via son site web personnel9 ou via Youtube. Bien que certaines de ces vidéos présentent des points intéressants, la grande majorité d'entres d'elles sont essentiellement basées sur des concepts scientifiques incompris, ou des opinions, interprétations et spéculations personnelles dénuées de tout fondement scientifique10. En conséquence, la théorie de l'expansion terrestre telle que présentée par Adams (et d'autres pseudo-scientifiques n'est pas de nature scientifique. Contrairement aux théories pseudo-scientifiques, les théories scientifiques (telle la tectonique des plaques) sont basées sur des observations, et permettent de faire des prédictions vérifiables, respectant le critère de réfutabilité de Karl Popper. D'autre part, Dunning et Kruger ont montré que les individus incompétents dans un domaine surestiment leur compétence dans ce domaine. Ansi, des personnes avançant des théories géologique ou géophysique peuvent s'estimer à tort compétents en science. (vous voilà prévenu...)

histortique de la théorie

Ivan Osipovich Yarkovsky (en), en 1888, cherchant à reformuler la gravitation, fonda une théorie basée sur les flux d'éther. Selon ses hypothèses, il déduisit que l'éther était absorbé par les corps célestes donc que leur masse devait s'accroître11.

Roberto Mantovani (en) évoqua l'hypothèse de l'expansion en 1889 puis en 19093,12,13. Dans la seconde publication, il supposa qu'un seul et unique continent couvrait la surface d'une Terre plus petite. Sous l'effet de l'activité volcanique, la Terre grossit, puis ce continent se scinda en plusieurs morceaux qui s'éloignèrent, laissant les océans emplir les rifts.13

Alfred Wegener vit des similarités avec sa propre théorie (lui-même introduisit le nom de Pangée), qui décrit une dérive des continents à la surface d'un globe terrestre au rayon supposé fixe14 :

« Dans un court article, en 1909, Mantovani exposa certaines idées au sujet des déplacements continentaux et les expliqua d'une manière qui diffère en partie de la mienne, mais dont certains point s'accordent étonnamment, notamment le groupement initial de tous les continents de l'hémisphère sud autour de l'Afrique14. »

Dans les années 1920, l'idée que la Terre change de volume commença à se diffuser, avec notamment les ouvrages du russe Bogolepov et des géophysiciens allemands B. Lindemann, puis Ott Christoph Hilgenberg (en)15,16.

 

S_Warren_Carey.jpgPar la suite, le concept fut exploré par plusieurs scientifiques, mais c'est sans doute le géologue australien Samuel Carey, un des pères de la tectonique des plaques17,18, qui fit la plus importante contribution au xxeme siècle19,20. Carey fut un pionnier en géologie et fut un farouche défenseur du concept de la dérive des continents, s'opposant notamment au physicien britannique Harold Jeffreys21, et l'enseigna de 1946 à 1956 à l'université de Tasmanie22, où il était professeur fondateur de la chaire de géologie18. Il fut le premier[réf. nécessaire] à proposer le modèle de recyclage par subduction de la lithosphère en 195319,17,23, basé sur ses travaux de thèse soutenus en 193824 et les travaux de Kiyoo Wadati25 et Hugo Benioff26. Mais sa publication fut rejetée par le Journal of Geophysical Research, car jugée « naïve et non publiable » par les évaluateurs19. Il re-proposa son manuscript de 1953 à titre historique en 1972 au même journal, qui le rejeta à nouveau sur le principe qu'un article refusé une fois ne pouvait plus être accepté23. En 1956, il abandonna le concept de subduction au cours du symposium sur la dérive des continents17 qu'il avait organisé à Hobart, ce qui le conduisit naturellement à la théorie de l'expansion terrestre. Il introduisit de nombreux nouveaux concepts en géologie propre à la théorie de l'expansion terrestre19, comme l'orogénèse par diapirisme (orocline27). Il défendit cette théorie (l'affinant progressivement28,29,30) jusqu'à sa mort en 2002.

Le développement scientifique de la théorie au début du xxieme siècle est assuré entre autres par les géologues australiens James Maxlow1,31, Cliff Ollier32 et Donald Findlay33, le géophysicien Italien Giancarlo Scalera34, le géologue polonais Stefan Cwojdziñski35, le biogéographe Dennis McCarthy36, le géologue américain Andrew Kugler37, le géologue russe Yu Chudinov38,39. Un workshop réunissant les spécialistes de cette théorie se tiendra à l'école internationale de géophysique d'Erice en Sicile du 4 au 9 octobre 201140.

Mécanismes Physiques

Modèles à masse constante

Variation de la constante gravitationnelle

Vers 1938, le physicien Paul Dirac suggéra que la constante gravitationnelle avait diminué depuis les milliards d'années d'existence de l'Univers. Cela conduisit le physicien allemand Pascual Jordan à modifier la relativité générale et à proposer en 1964 que toutes les planètes grossissent lentement41. Jordan pensait que la Terre aurait pu avoir doublé de rayon dans les dernières centaines de millions d'années. Des mesures récentes de variation possible de la constante gravitationnelle montre une limite haute de 5×10-1242, alors que la théorie de Jordan exige une variation au moins 10 fois plus importante.

Transition de phase

Cette hypothèse basée sur une transition de phase de matériaux du manteau et/ou noyau de la terre, a été formulé plusieurs fois au cours de l'histoire de la théorie, par Lindemann43, Halm44, Laszlo Egyed45,46, et Owen47,48. Les matériaux très denses passent sous une forme moins dense, et ce changement de densité fait augmenter le volume de la terre.

Terre hydrurée

Cette hypothèse est en fait une variante des modèles à transition de phase. L'hypothèse de la Terre hydrurée a été proposée par le géologue russe Vladimir Larin (en). L'hypothèse en est que le noyau terrestre est composé d’hydrures métalliques49. Selon cette théorie les métaux contenant de l’hydrogène peuvent avoir une densité plus importante. Par conséquent, la libération de l’hydrogène sous l’effet de la température et de la pression provoque la diminution de la densité du métal et donc l’augmentation du volume. De plus, l’apparition de l’eau sur la surface de la Terre est expliquée dans ce cas par l’hydrogène qui s’échappe du noyau terrestre.

Décompression globale

Le physicien américain J. Marvin Herdon (en) a proposé que la Terre avait été une géante gazeuse dont l'atmosphère aurait été soufflé lors d'un épisode d'activité solaire violent. Le noyau solide de la géante gazeuse initiale se serait alors progressivement décompressé à partir d'un volume représentant 65% du volume actuel50.

Réfutation des modèles à masse constante

Les modèles à masse constante impliquent que par le passé, la densité moyenne de la terre était très nettement supérieure à sa densité moyenne actuelle (5.5). Par exemple un doublement du rayon terrestre en 250 millions d'années implique un octuplement du volume durant cette période, soit une densité moyenne de 44 alors que la densité du noyau interne de la Terre est de 13. Si la constante gravitationnelle reste constante, ceci implique que l'accélération gravitationnelle en surface aurait été de 39 m/s² il y a 250 millions d'années, ce qui aurait nécessité des adaptations physiologiques et morphologiques majeures de la faune et la flore du Trias. Par comparaison, à densité constante et pour un rayon deux fois inférieur au rayon actuel, la gravité de surface aurait été d'environ 4,9 m/s² ce qui ne nécessite que des adaptations mineures et favorise même le gigantisme51 ou l'apparition du vol.

Modèles à masse croissante

Influx d'éther

Ce fut la toute première hypothèse avancée en 1988 par le physicien russe Ivan Osipovich Yarkovsky (en). L'éther absorbé par la terre serait transformé en éléments chimiques, forçant l'expansion de la planète. Cette hypothèse était en relation avec son explication mécanique de la gravitation11. Cette hypothèse fut reprise plus tard par Ott Christoph Hilgenberg (de) avec une transformation de l'ether-energie en matière normale15,52.

Influx de neutrinos

Konstantin Meyl a proposé en 2004 que l'absorption des neutrinos par la Terre pourrait provoquer une expansion du globe53. À partir de cette hypothèse Meyl prédit que les éclipses de Soleil accroissent la probabilité des séismes, dans les zones ombragées. Mais jusqu'à présent, aucune corrélation n'a pu être établie entre éclipses et séismes.

Influx de monopoles magnétiques

Claude Deviau soumet également l'hypothèse que les monopoles magnétiques théorisés par Georges Lochak (ancien directeur de la Fondation Louis-de-Broglie) sous forme de leptons magnétiquement excités, venant du Soleil et convergeant vers les pôles, devraient produire au moins de l'hydrogène au cœur de la croute terrestre et dans le manteau54. Cette hypothèse donne une piste quant à une accumulation possible de matière dans la Terre. De plus, ces monopôles magnétiques ont la particularité de favoriser les fusions nucléaires via la force faible55, et permettrait d'expliquer les transmutations nécessaires à l'obtention de la diversité observée en éléments chimiques au sein de la Terre.

Réfutation des modèles à masse croissante

Les modèles à masse croissante impliquent l'apparition de matière au sein de la Terre, en contradiction avec les lois physiques connues. Par exemple, un doublement du rayon terrestre en 250 millions d'années avec densité constante implique un octuplement de la masse sur cette période, soit un gain d'environ 4,5×1024 kg.

voir notes et références sur Wikipedia

 

Thierry Carel et le chercheur Mystérieux

 

 Lors de ses nombreux travaux, à travers la recherche géologique, paléontologique, tectonique, géodésique, et chimique ; le chercheur Thierry Carel a mis à jour et en évidence une explication pour la théorie physique marginale appelée théorie expansionniste (expansion terrestre). Avant lui Samuel Warren Carey, Paul Dirac, avaient évoqué cette éventualité, en apportant chacun des éléments corroborant cette théorie. Le chercheur Thierry Carel vient à son tour appuyer toutes ces études en apportant la solution sur la raison de cette expansion.

Résumé démonstratif de la théorie de l'expansion terrestre (les différentes constatations qui appuient et expliquent le raisonnement) :

1- Terre plus petite = apesanteur réduite. Ce qui explique enfin sérieusement la possible existence des animaux préhistoriques de grande taille.

2- Le ralentissement de la rotation du globe avéré et constaté avec l'horloge atomique. Ce résultat dynamique s'explique simplement par cette loi physique dite du "patineur sur glace". Lors de sa rotation rapide sur lui même, plus le patineur ouvre ses bras plus il diminue sa vitesse de rotation.

3- Les corrélations géologiques des terres séparées par la tectonique, non seulement internes à la pangée mais également externes. La corrélation touche également la cohérence de simulation des contours détachés intérieurement et extérieurement à la pangée.

Cette théorie de la pangée est un raisonnement simplifié et presque ramené à deux dimensions. Il fallait donc pousser le raisonnement plus loin en trois dimensions et arriver au résultat d'une sphère complète et cohérente mais évidemment d'une autre taille.

Cette théorie est aussi le résultat d'un raisonnement nombriliste qui tend à penser que le chercheur rassemble les pièces du puzzle depuis son lieu d'origine qui devient ainsi le "centre du monde". Le raisonnement est cohérent et convient très bien, n'allons pas chercher plus loin. De plus la tectonique de séparation des plaques dans le modèle classique impliquerait des répercutions globales opposées importantes dont on ne constate aucune trace.

La théorie classique peut être également remise en cause par l'incohérence d'un schéma avec une protubérance isolée qui vient à l'encontre des lois physiques d'équilibre auxquelles obéissent les planètes massives.

Maintenant quel est le phénomène qui engendre cette expansion ?

Pour l'instant la seule théorie connue avance l'éventualité d'absorption des neutrinos par le coeur de la matière du noyau terrestre en fusion. Aucune expérience scientifique à ce jour n'a pu le démontrer.

Thierry Carel a trouvé une hypothèse sérieuse. Elle est évidente, sous les yeux de tout un chacun.

 
 

Informations complémentaires :

 


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