« ... Et elle (LA BETE) fit qu'à tous, petits et grands, et riches et pauvres, et libres et esclaves, on leur donne une marque sur leur main droite ou sur le front : et que personne ne puisse acheter ou vendre, sinon celui qui a la marque, le nom de la bête, ou le nombre de son nom. Ici est la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence compte le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme ; et son nombre est 666. » (Informations complémentaires)
Pièces et billets sont obsolètes et réduisent l'influence des banques centrales. Cette affirmation résulte DE la position de l'économiste Peter Bofinger. Le gouvernement fédéral devrait s'engager pour l'abolition du liquide, il appelle une action urgente.
L'économiste Peter Bofinger milite pour l'abolition de l'argent liquide. "Vu les possibilités techniques actuelles, les pièces de monnaie et les billets d'aujourd'hui sont en fait un anachronisme", a déclaré Bofinger au SPIEGEL.
Cela mettrait fin au travail non déclaré et aux autres solutions cachées. En outre, il serait plus facile pour les banques centrales d'appliquer sa politique monétaire. L'enseignement du professeur d'économie à Würzburg a appelé le gouvernement fédéral à promouvoir au niveau international l'abolition de l'argent liquide. "Ce serait certainement un bon sujet pour l'ordre du jour du sommet du G-7 à Elmau", a-t-il dit (cliquez ici pour lire l'interview complète dans le Spiegel).
Même Larry Summer, l'ancien économiste et secrétaire américain au Trésor, a plaidé pour la fin de l'argent, de même que l'économiste américain Kenneth Rogoff. Il a également fait valoir que les taux des banques centrales d'intérêt ont moins de poids sur les banques ou le crédit à la consommation quand il existe de l'argent liquide.
Les critiques avertissent cependant, que de tels débats ne détournent l'attention des vrais problèmes de la politique monétaire actuelle.
Traduction libre Maître Confucius - à relier à l'article sur la fin de l'argent liquide -
Source : Spiegel
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