Tsipras et Macron se voient à la pointe d'une nouvelle Europe

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Avouez que ça ne manque pas de sel, deux traîtres à leur patrie qui vont nous imposer le fédéralisme, pour sauver les banques, et qui prennent la posture au Parthénon. C’est fort de symbole, et ça en dit long pour l’avenir. Mon Dieu, ces gens n’ont peur de rien… (Informations complémentaires)

Update 09.09.2017 : Ma femme et mon fils on été convoqués ce samedi matin par le CIO (Centre d’Information et d’Orientation) de notre département, car ils ne voulaient pas lui dire par téléphone qu’il ne pourrait pas effectuer sa rentrée dans le lycée professionnel  à côté de notre domicile. En effet, la suppression des contrats aidés dans les lycées et la baisse des effectifs dans les classes rendent cela impossible. Le lycée en question refuse 200 enfants pour la rentrée et le département à côté du nôtre est dans le même cas pour plus de 1200 enfants, alors je dis BRAVO à notre gouvernement. Après discussion avec ma femme et mon fils, les conseillères ont pu lui proposer d’autres alternatives qui l’intéressent (que nous devons valider) dans d’autres voies (que je n’exposerai pas ici pour ne pas les engorger). Mais encore une fois on voit l’efficacité de notre gouvernement qui ne réfléchit absolument pas aux conséquences de ses décisions prises unilatéralement (ça en dit long pour la loi travail). Je suis de tout cœur avec les parents (et enfants) qui sont dans le même cas de figure que nous, ne perdez pas espoir il y a des solutions.

Alexis Tsipras et Emmanuel Macron à Athènes, jeudi. Alkis Konstantinidis / Reuters Lors d'une conférence de
presse commune à Athènes, Alexis Tispras et Emmanuel Macron ont affiché leurs ambitions européennes.

Élu début 2015, Alexis Tsipras a un peu plus d'expérience du pouvoir qu'Emmanuel Macron. Mais le jeune Premier ministre grec, qui vient de fêter ses 43 ans, n'en demeure pas moins un représentant de la nouvelle génération de dirigeants européens, tout comme Emmanuel Macron, 39 ans. «J'espère que nous allons redorer le blason de l'Union européenne», a lancé le Grec au Français, jeudi après-midi lors d'une conférence de presse commune à la villa Maximos, résidence officielle du Premier ministre. «L'Europe doit tourner la page d'une décennie de tâtonnements», a quant à lui affirmé Emmanuel Macron, au premier jour de sa visite en Grèce.

Entre l'homme de gauche qui a accepté de lourdes concessions pour son pays et le libéral déclaré qui entend «transformer» la France, l'entente n'a rien d'évident sur le papier. Et pourtant, Yanis Varoufakis, très à gauche et éphémère ministre des Finances, avait insisté en mai dernier pour louer l'action d'Emmanuel Macron lorsqu'il était ministre de l'Economie : «Macron a été le seul ministre d’Etat en Europe à faire tout son possible pour nous aider», avait-il écrit dans «Le Monde». Hasard des visites d'Etat, le président Macron a reçu ce jeudi les insignes de Grand-Croix de l'Ordre du Sauveur des mains du président grec, Prokopis Pavlopoulos.

Critiques envers le FMI

Emmanuel Macron et Alexis Tsipras à l'issue de leur conférence de presse commune, à Athènes. © LUDOVIC MARIN / AFP

Les deux dirigeants se sont accordés dans une critique appuyée du Fonds monétaire international. Alexis Tsipras a souligné que le rôle de l'institution internationale «n'a pas toujours été positif», tandis qu'Emmanuel Macron a déploré que «la présence du FMI a été le symptôme d'un manque de confiance entre pays européens». 

 

 

 

 

 

 

 

Source(s) : Parismatch.com via Contributeur anonyme

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