Italie : tu nous fais tourner la tê…te

A la fin de ce week-end, les spéculateurs sur l’euro guetteront les résultats des prochaines élections italiennes. Les combinaisons de partis sont déjà proposées par les médias et le scrutin final est censé appartenir à la loi du hasard.

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On notera que la BCE possède beaucoup d’obligations italiennes et que, par conséquent, l’Italie sera un pays à surveiller de près dans le développement de cette année 2013 à rebondissements garantis. Selon Bruxelles, l’Italie pourrait connaître un recul du PIB de 1,5% comme l’Espagne, battus tous les deux par le Portugal (-2%).

Nous évoquions l’année dernière un taux de chômage européen de 12% : ce sera nous assure-t-on  aujourd’hui le cas pour la zone euro et les pays ‘hors zone Euro s’en tirent beaucoup mieux.

Les Allemands seraient à la joie en lisant la presse économique car les statistiques publiées vendredi sont très réjouissantes. C’est ainsi que l’indice IFO (un baromètre largement subjectif) a progressé plus qu’attendu : ce baromètre de la confiance est ressorti à 107,4 contre 104,3 en janvier, alors que les économistes n’attendaient qu’une hausse modeste à moins de 105. C’est la plus forte progression depuis 2010. Commentaire de Cercle Finance : « Elle a été tirée par les secteurs de l’industrie, de la construction et de la distribution de gros, alors que celui de la distribution au détail est resté atone. Et c’est assez compréhensible car les ménages allemands ne consomment plus, sauf pour acheter l’indispensable et le strict nécessaire. » Voilà le point à retenir et qui nous renvoie aux ITALIENS.

En Italie, on passe sous silence la chute de 4% sur 12 mois au mois de décembre de la consommation. Si on matraque les gens fiscalement, s’ils ne consomment plus,… on est habitué à cette quadrature du cercle que les politiciens connaissent bien, mais voilà… leurs partis politiques mangent à la gamelle des financiers de haut vol sans escale… du moins en principe.

Une chose est étonnante : quand le politique britannique Farage taille en pièces les technocrates dans ses discours, regardez la tête du portugais Barroso… il rigole et son peuple croule sous la misère, en partie grâce à sa profession : politique servile aux ordres de la Synarchie.

 

Source : Liesidotorg

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