L’information est stupéfiante. Le gouvernement français a interdit l’hydroxychloroquine comme traitement du coronavirus covid-19 sur base d’une étude publiée par le magazine médical The Lancet, étude en réalité bidon fournie par Surgisphere / Quartz Clinical, société fantôme dont la directrice des ventes, Ariane Anderson, n’est autre qu’une actrice porno connue sous le pseudonyme de Skye Daniels !
France Soir est le seul média français qui a jusqu’ici brisé la loi du silence.
Update 04.06.2020 : Chloroquine : The Lancet doute, l'OMS change d'avis, Discovery pourrait reprendre (linternaute.com)
Ndlr. Cela ne sert à rien l'étude Discovery est un échec aucun pays n'as participé sauf la France, chacun à fait sa cuisine dans son coin.... Encore un exemple cuisant que l'Union Européenne est un mythe.... Les pays sont tout sauf unis, ah si à part l'Allemagne qui profite bien de l'€uro, les autres sont unis dans la faillite...
Ariane Anderson est directrice des ventes de la société Surgisphere qui a fourni les données de l’étude du Lancet qui a déclaré la chloroquine dangereuse. Cette « dame » est issue du monde de la prostitution et de l’industrie pornographique.
Outre que l’étude du Lancet est pour le moins approximative, avec une telle employée, sa crédibilité « part en vrille ».
L’amateurisme et l’incompétence du ministère de la santé qui a réagi sans aucun recul face à cette étude, prenant dans l’immédiateté la décision d’interdire le protocole du professeur Raoult, sont maintenant patents. Olivier Véran n’y a vu que du feu si l’on peut dire.
Arianne Anderson alias Skye Daniels est visible sur les réseaux pour adultes. Sa contribution personnelle peut servir à la limite à une campagne de promotion pour la lutte contre le Sida, mais quant au Covid 19...
Dans cette vidéo en anglais, non sous-titrée, nous pouvons voir la directrice des ventes de Surgisphere (QuartzClinical est la plate-forme d’analyse des données de Surgisphere) :
Ce petit curriculum vitæ nous la présenterait plutôt comme une femme œuvrant dans l’événementiel :
Ne soyons pas mauvaises langues, Ariane n’a pas fait la potiche que pour des voitures, du café et du nettoyage à sec, elle a aussi participé à la prévention du diabète !
Mais il semblerait qu’avant cela notre directrice des ventes ait bel et bien eu une autre carrière : Voir la suite sur : Zejournal.mobi
L’hydroxychloroquine bannie par le gouvernement comme traitement du covid-19 sur base d’une étude bidon fournie par une société fantôme, dont la directrice des ventes est une actrice porno !
Extraits :
Surgisphere est la société responsable de la collecte des données de l’étude du Professeur Mehra qui a fait l’objet d’une attention planétaire depuis ces 7 derniers jours. Après notre première interview avec M. Mehra qui nous avait laissés dubitatifs sur la forme et le fond, nous nous sommes intéressés à cette entreprise. (…)
La société Surgisphere a plusieurs adresses qui ressemblent plus à des logements peut-être liés à des déménagements ou de la domiciliation d’entreprise.
Plusieurs entreprises au même nom ont été successivement enregistrées dans divers Etats, puis liquidées ou en suspension.
Peu d’employés avec une date d’entrée très récente et peu de mentions sur Google de ces diverses personnes et un profil questionnable.
Peu d’activité jusqu’à mars 2020 sur le site internet.
[…]
La société Surgisphere aurait été créée en le 1er mars 2007 (Crunchbase) par le docteur Sapan Desai qui est un des co-auteurs de l’étude de M. Mehra dans The Lancet. Cette société serait spécialisée dans le big data et l’usage de l’intelligence artificielle dans l’analyse des données. Une autre société au nom de Sapan Desai, Surgisphere Corporation a été créée le 28 juin 2012 puis dissoute en janvier 2016
[…]
Qui est le docteur Sapan Desai ?
Le Dr Desai semble être le fondateur de Surgisphere, qui a été formé en 2007. Une recherche PubMed pour «Sapan Desai» montre 39 publications médicales au cours des cinq dernières années. À l’exception des deux articles COVID-19 très récents, la base de données Surgisphere ne semble avoir été utilisée dans aucune des 37 autres publications. Pourquoi le fondateur de Surgisphere aurait-il accès à l’un des plus grands référentiels de données patient en temps réel, mais ne l’aurait-il pas utilisé avant sa publication sur COVID-19?
[…]
Qui sont les employés de la société
Sur linkedin, la société fait état de 5 personnes qui y travaillent dont 4 d’entre elles sont arrivées soit en mars 2020 ou en avril 2020. Nous avons fait des recherches google sur chacun d’entre eux sans trop de succès (très peu de mention ou de publications) (…)
L’empreinte internet de cette société remonte à l’enregistrement de son site internet en 23 mars 2007. Cependant ce site ne serait réellement actif que depuis Mars 2020.
[…]
Les articles publiés sur le site de Surgisphere datent au plus de Mars 2020.
Le Site internet de la société donne l’impression de n’exister ou de n’avoir de l’activité que depuis mars 2020 et rien entre 2013 et 2020. Une activité dormante.
Voir tout l'article sur France soir.
Source(s) : Medias-presse.info via Zejournal.mobi sur la piste de Gâchette ; )
Informations complémentaires :