La Chine, championne du cyber-espionnage

Décidément on tourne autour de la sécurité, mais je ne pouvais vous l'épargner tant le chiffre m'a effaré. Je vous ai mis le lien pour vous faire une idée, mais quand on parle de PLUSIEURS Téras octets il faut déjà avoir les bases, un Téra cela donne ça :

1 000 000 000 000 octets ou lettre ou chiffre non compressé  ! Ça doit mettre du temps a être pompé quand même ! Ahaha ! Les maîtres du monde ! Enfilés par des chihuawawas bridés ! Mais au fait pourquoi donc ?

La Chine serait, selon des experts américains, passée devant les États-Unis en matière de cyber-espionnage. Elle aurait d'ailleurs piraté le département d'État, et dérobé de nombreux fichiers sensibles...

La Chine, pays vers lequel se tournent de plus en plus de firmes comme Google pour le marché qu'elle représente, serait plus active que les États-Unis en matière de cyber-espionnage, selon les États-Unis eux-mêmes. En effet, selon les autorités américaines, la Chine aurait volé plusieurs téraoctets de données sensibles provenant du département d'État (équivalent du ministère des Affaires étrangères). Des mots de passe et noms d'utilisateurs auraient été dérobés, mais selon l'agence Reuters, des schémas d'armements auraient aussi été subtilisés lors de cette intrusion. Si c'était le cas, Pékin serait en possession de plusieurs milliards de dollars de brevets militaires. Mais il reste encore difficile de relier formellement le gouvernement central chinois à cette attaque.

Une unité de cyber-intervention chinoise

Les Américains avaient cependant dévoilé en 2009 l'existence d'une unité de cyber-intervention chinoise. Elle serait constituée de personnes hautement qualifiées, opérant sous la direction de la Chine. Loin d'être impensable, cette théorie serait même en accord avec le discours qu'avaient tenu deux colonels chinois dans les années 90, évoquant la possibilité d'intégrer dans l'armée régulière des personnes chargées de mener un cyber-espionnage des autres états. Reste qu'aucune preuve tangible n'a été avancée, et qu'il sera sûrement difficile de prouver quoi que ce soit, tant au niveau de l'attaque subie par le département d'État, que sur le cyber-espionnage chinois.

Source : PC World

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