- Détails
- Catégorie parente: Actualités françaises
- Catégorie : Actualités françaises
- Écrit par folamour
- Affichages : 1425
Bonjour à toutes et à tous, désolé je ne suis pas très présent sur le blog, mais comme pour tout le monde, le réel prend le pas sur le virtuel.
Mais je regarde quand même ce qui se passe mondialement (je suis actif sur Twitter), et j'ai vu hier que le 'safe ticket' (covi pass) avait été décrété illégal en Wallonie.
Or, je tiens à rappeler (je sais, c'est lourd, mais c'est important) que le Conseil de défense qui dirige actuellement notre pays est ANTICONSTITUTIONNEL.
Et j'espère qu'à la faveur de la vague de peur médiatique Omicron, les gens comme Martin Blachier vont enfin comprendre que la politique de notre gouvernement, ne mène nulle part, sauf en ...Enfer.... (informations complémentaires)
De plus à partir du moment où une personne vaccinée peut être porteuse du virus et contaminer une autre personne, ce passe sanitaire (qui n'est pas sécurisé), ne sert à rien, sauf à donner un faux sentiment de sécurité aux gens, et à les FORCER à se faire injecter (sans leur accord formel éclairé par la science) une thérapie médicamenteuse expérimentale.
Bonne journée,
Amitiés,
f.

Malgré ces nombreux contrôles, et les trois avis précédemment rendus, la Cnil pointe un manque de preuve.
"La CNIL insiste sur la nécessité que les éléments qui permettent d’apprécier l’efficacité des traitements susmentionnés lui soient rapidement transmis, afin de continuer l’exercice de sa mission. En effet, malgré plusieurs demandes, une telle évaluation n’a, à ce jour, pas été transmise à la CNIL. À cet égard, elle tient à souligner que l’utilisation des dispositifs précités reste conditionnée à des garanties relatives à leur efficacité", demande la Commission dans son avis.
Sécuriser les données personnelles
Au-delà de la question du pass sanitaire, l'avis de la Cnil rappelle également les manquements en ce qui concerne la sécurité des données personnelles des utilisateurs de l'application TousAntiCovid, notant toutefois que "le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en place de nouvelles modalités permettant de réduire le risque d’exploitation malveillante des données collectées".
Sur le plateau de BFM Business, Armand Heslot, chef de l'expertise technologique de la Cnil, avait rappelé cet été la nécessité que ces dispositifs soient "limités dans le temps", afin de ne pas devenir une entrave aux libertés individuelles.
Source : BFMTV.com
Informations complémentaires :