Là aussi (désolé...), mais c'est du foutage de gueule intersidéral, comme vous le savez ils BAIGNENT DANS LA CORRUPTION la plus totale et la plus débridée à 97% depuis 15 ans !!!!, donc à partir de là, on est fixé, c'est 'business as usual' et comme personne ne les a encore pendu, ou brûlé vif, alors pourquoi se gêneraient-ils ????
Donc, pour info, tous ces SMS sont encore sur les serveurs de l'Opérateur téléphonique de Mme Ursula von Der Leyen... qui est quand même un peu l'impératrice de tous ces gens...
Allô! l'Europe, quand est-ce que vous arrêtez de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas ?
Vous savez que vos subterfuges ne fonctionneront qu'un temps, et ça risque de mal finir tout ça....
Nous, on aura prévenu, et on n'est pas les seuls....
“A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes.”
John Fitzgerald Kennedy
Bonne fin de soirée,
f.

Les SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen et le PDG du géant pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla, restent introuvables, a déclaré la Commission dans sa réponse à l’accusation de mauvaise administration émise par la Médiatrice européenne.
La recherche des SMS échangés entre Mme von Der Leyen et M. Boula « n’a donné aucun résultat », a écrit la commissaire à la Transparence, Věra Jourová, dans sa réponse à la Médiatrice européenne, mercredi (29 juin).
Les SMS ont été échangés alors que l’UE obtenait des contrats pour le vaccin contre la Covid-19, et pendant un différend avec AstraZeneca, le rival de Pfizer, mais la Commission a affirmé ne pas les avoir « identifiés » en réponse à la question d’un journaliste.
Le New York Times a fait état de ces messages pour la première fois en avril 2021. Cela a donné lieu à une plainte auprès de la Médiatrice de l’UE, Emily O’Reilly, qui a rendu son verdict sans équivoque le 28 janvier, soulignant que la Commission européenne devait « faire une recherche plus approfondie des messages pertinents. »
« La manière étroite dont cette demande d’accès public a été traitée signifie qu’aucune tentative n’a été faite pour identifier si des SMS existaient. Cela ne répond pas aux attentes raisonnables en matière de transparence et de normes administratives de la Commission », a déclaré Mme O’Reilly dans un communiqué de presse en janvier.
Après des mois de report de la réponse, Mme Jourová a déclaré mercredi qu’ils n’avaient pas enregistré de tels SMS et qu’ils se considéraient en conformité avec la législation sur l’accès aux documents.
En réalité, a affirmé Mme Jourová, la Commission et la Médiatrice sont sur la même longueur d’onde en ce qui concerne « la notion de ce qui constitue un “document” ». « La Commission et la Médiatrice sont d’accord sur le fait que ce qui compte est le contenu d’un document », a-t-elle écrit.
Mme Jourová a réitéré un argument courant de la Commission selon lequel si un document « ne contient pas d’informations importantes », est « éphémère » et ne « relève pas de la sphère de responsabilité de l’institution », il n’est pas enregistré.
« De tels documents à caractère éphémère ne sont pas conservés et, par conséquent, ne sont pas en la possession de l’institution conformément à l’article 2, paragraphe 3, du règlement », a ajouté Mme Jourová.
Elle a ajouté que la Commission « a l’intention de publier des orientations supplémentaires sur les outils de communication modernes tels que les SMS et les messages instantanés. »
Des éléments suggèrent qu’une approche différente pourrait en effet être nécessaire, puisque des enquêtes menées par Follow the Money en mars ont montré que des responsables de la Commission européenne ont qualifié de « vagues » les règles de l’institution concernant les documents à enregistrer et ont demandé que les messages instantanés soient inclus.
La Médiatrice procède actuellement à l’analyse de la réponse de la Commission.
Covid-19 : la Commission regrette la décision de la Médiatrice européenne l’accusant de mauvaise administration
La Médiatrice européenne, Emily O’Reilly, a confirmé sa conclusion de mauvaise administration dans une affaire où la Commission européenne a refusé l’accès du public à des documents concernant 1,5 million de masques défectueux.
Ursula von Der Leyen reste en retrait
La présidente de la Commission, Ursula von Der Leyen, a gardé le silence tout au long du processus, laissant les critiques et les questions des parlementaires être traitées par Mme Jourová en tant que commissaire à la Transparence, une situation que les législateurs du Parlement européen ont également critiquée tout au long du processus.
L’eurodéputée néerlandaise Sophie in’t Velt, du groupe centriste Renew Europe, a déclaré lors d’un débat parlementaire avec Mme Jourová en mars que « la présidente Mme von Der Leyen se trouve avoir un passé de ministre de la Défense [en Allemagne], où elle a rencontré les mêmes problèmes avec un échange de messages qu’elle a supprimés, elle aurait donc dû être mieux informée ».
« Je pense que la présidente Mme von Der Leyen aurait dû être ici. Il semble qu’il y ait une habitude d’éviter les débats où des questions gênantes pourraient être posées. Je pense que c’est un mépris de la démocratie. C’est du mépris pour le Parlement », a déclaré Mme in’t Velt, accusant la Commission d’avoir « sciemment mal interprété les règles de transparence ».
Parallèlement, les députés ont demandé une mise à jour de la législation sur l’accès aux documents afin d’inclure de manière adéquate les moyens de communication d’aujourd’hui.
« La législation actuelle remonte à deux décennies et doit être profondément remaniée pour permettre à nos citoyens de jouir de leurs droits fondamentaux », a déclaré l’eurodéputée socialiste Evin Incir lors du débat parlementaire avec Mme Jourová en mars.
Source : Euractiv.fr
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