La « marque de la bête » sera bien plus qu’un implant à radio-fréquences
Bon, attention, voici la « mauvaise » nouvelle du jour. Ce qui me fait dire cela, c’est qu’il y a deux ans déjà que l'on vous avait informé, que certains militaires américains rêvaient de créer des « supers soldats », de bidouiller le génome humain, afin de faire des choses que l’on croyait jusque-là totalement impossibles. Malheureusement, récemment, Isabelle de Conscience du peuple nous apprenait que l’épigénétique avançait à grands pas, et indiquait ce fameux risque de mutant « zombie ». Folklore conspirationniste me direz-vous ? Eh bien, c’est plus ou moins ce que je pensais... Mais hélas, les choses semblent se confirmer. Du reste, sachant que ces personnes n’ont aucunes limites ou éthiques, et que personne ne les arrêtera, le scénario décrit ci-dessous reste fortement possible… Surtout quand on met en parallèle d'autres séries d’articles. Encore une fois, ce qui manque (comme dans le monde de la finance), ce sont des RÉGLEMENTATIONS et de l'éthique... (si vous restez sceptique sur la finalité de tout cela [ce que je peux comprendre], profitez-en pour vous rappeler les révélations de Aaron Russo dans la vidéo en informations complémentaires, ou les propos du père Regimbald).
Bonne soirée.
f.
La « marque de la bête » sera bien plus qu’un implant à radio-fréquences.
Elle aura comme premier objectif d’identifier les personnes qui la recevront pour qu’elles soient distinctes « de la masse », pour ainsi détecter systématiquement ceux qui ne l’auront pas reçue.
Les avancées technologiques dans le domaine de la biogénétique laissent croire que la « marque de la bête » aura comme deuxième visée d’interférer sur l’ADN pour produire des changements cellulaires qui auront une incidence sur la cognition, le psychisme et le comportement (épigénétique).
Des progrès considérables dans la recherche sur l’ADN ont été effectués au cours des dernières années, particulièrement dans le domaine de l’épigénétique. Ce champs de recherche vise à examiner et à comprendre le rôle que la génétique joue dans la formation du comportement animal et humain, sur la cognition, la personnalité et la santé mentale.
L’épigénétique peut se produire au cours du processus de la vie ou commencer dans l’utérus lorsque des modifications chimiques provoquées par l’activité de la mère affectent la génétique et l’avenir comportemental de l’enfant.
Ces modifications peuvent devenir héréditaires et être transmises de génération en génération. Certains scientifiques se demandent si ces modifications, appelées des « gènes toxiques » ou « evil genes », qui produisent des comportements antisociaux (violence, agression, psychopathe) peuvent être légués à des générations futures.
Le film « Je suis une légende », avec Will Smith, est présenté comme une science-fiction, mais des scientifiques envisagent pourtant qu’un événement pourrait modifier l’épigénétique, l’esprit et la conscience, d’une portion importante d’êtres humains. En théorie, des personnes qui seraient vaccinées par un vaccin génétiquement modifié, « une chimère », issu d’un mélange de la génétique animale et humaine, pourrait avoir un impact sur le cerveau des gens, sur leurs émotions et leurs comportements. , Ph.D., professeur au Département de biologie cellulaire et de génétique moléculaire à l’Université du , dit qu’un virus « zombie » existe et qu’il pourrait produire une épidémie de personnes qui ont des comportements de rage et qui ressentent le besoin d’infecter d’autres personnes par un besoin purement animal. Il ajoute qu’un tel virus est 100% mortel et qu’il altère les comportements au point de transformer les gens en « morts-vivants » (pour un temps) programmés génétiquement http://www.redorbit.com/news/science/1112964783/zombie-virus-could-be-reality-exclusive-100213/
La Dr. Samantha Price ajoute à ce sujet qu’il ne suffit que d’une légère mutation au virus de la rage pour produire une armée de tueurs sans âme.
Des groupes de scientifiques dénoncent le risque existentiel encouru par certaines recherches en biogénétique puisqu’elles portent le potentiel de créer l’enfer sur terre ! Que ce soit par la création volontaire de chimères par des scientifiques fous, que ce soit par un accident en laboratoire ou par l’utilisation d’une arme biologique, les dangers menacent non seulement l’intégrité humaine, mais la vie elle-même.
Plusieurs études, dont celles menées par Evan Balaban à l’Université McGill à Montréal, au Canada, où les sections de cerveau de cailles embryonnaires ont été transplantées dans le cerveau de poulets. Les poulets obtenus avaient des vrilles vocales qui sont normalement uniques à la caille. http://www.nbcnews.com/id/6534243/#.VEVcpxZ36sI
Brad Sherman, démocrate de Californie connu pour son expertise sur la prolifération des armes nucléaires et sur le terrorisme, a étudié les conséquences de la modification génétique en lien avec les dangers du terrorisme pour l’avenir.
Lors d’une présentation sur « les gènes sans frontières », son discours était tellement hollywoodien qu’il semblait invraisemblable : il parlait du potentiel des biotechnologies dans la création de super-soldats, d’une super-intelligence et de super-animaux qui possèdent une force meurtrière sans précédent.
http://news.yahoo.com/s/cq/20090315/pl_cq_politics/politics3075228
Andrews et Rosario Isasi étaient encore plus apocalyptiques dans leur examen publié dans le American Journal of Law and Medecine : « Les nouvelles espèces, ou « post-humains », vont probablement voir les « anciens humains normaux » comme inférieurs, même sauvages, destinés à l’esclavage ou à l’abattage ».[American Journal of Law and Medicine, vol. 28, nos. 2 and 3 (2002), 162].
La corruption de la génétique humaine pour en faire une nouvelle race de mutants, voilà ce qui se passe dans les souterrains de la science.
Les publications scientifiques tentent de nous faire croire que ces avancées dans le domaine de la génétique sont nouvelles et prometteuses, mais il ne faudrait pas se méprendre puisque ces expérimentations chimériques n’ont rien de nouveau sous le soleil.
La biogénétique, la robotique, l’intelligence artificielle, la biologie synthétique, la nanotechnologie et la montée du « transhumanisme » obéissent à un agenda qui vise un changement profond de la morphologie humaine.
Le virage des technologies génétiques est culturel et surtout métaphysique/diabolique.
La science veut redéfinir l’espèce humaine en la rendant supérieure en combinant les diverses applications de la science pour augmenter les facultés de l’esprit humain, améliorer ses capacités physiques, réécrire son ADN et même, créer une toute nouvelle espèce ! Ces recherches sont évidemment financées par des fonds publics (DARPA, chaires de recherches dans les Universités) et par des fonds privés (Fondations des Bill Gates, Monsanto, Google, etc.).
La « marque de la bête » sera un « marqueur biogénétique », avec un spectre d’action bien plus large qu’un simple dispositif technologique, qui sera implanté à tous les citoyens pour « préserver la paix et la sécurité » (probablement à cause d’une pandémie, suite à des attaques terroristes ou révolutions civiles).
Ce marqueur génétique, ayant la capacité de produire des mutations par l’introduction d’un rétrovirus par exemple, sera aussi relié à des fréquences d’induction de pensées, d’émotions et de comportements.
Ce dispositif biogénétique sera capable de changer la structure de l’ADN et d’interférer sur le cerveau humain.
L’identification obligatoire de tous les citoyens, au nom de la paix et de la sécurité, va exclure du « système » tous ceux et celles qui refuseront de recevoir la « marque de la bête » et ceux-ci ne pourront ni vendre ni acheter…
Source(s) : Elishean.fr via Maître Confucius
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