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- Catégorie : Actualités internationales
- Écrit par folamour
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Bonjour @ThierryBreton. Ce n'est pas très sérieux de lire les fiches de @BrunoLeMaire. Ils doivent vraiment rire sous cape devant de telles déclarations, en Russie et ailleurs. Ces mensonges éhontés devraient vous conduire à démissionner sous peu.
— Génération Frexit (@GenFrexit) July 25, 2022
➡️ #Breton #LeMaire #Démission https://t.co/Ej8googCHA
Bruno #LeMaire voulait mettre la #Russie à genoux 🤔Pour l’instant c’est la France qui est à genoux en se couchant devant #Biden et #VonDerLeyen 😡👇 https://t.co/Jp7QYAp3FJ pic.twitter.com/bjzFuxQcSr
— Jean-Marc Alric (@jmAlric11) July 21, 2022
Un clip russe se moque avec malice et délice des sanctions occidentales : "Il est temps de déménager en Russie, ne tardez pas, l'hiver arrive" ! 😀 pic.twitter.com/6MoBRzAQny
— Pierre de Lave (@PierreAchab) July 28, 2022
On a appris hier soir, juste avant que la banque centrale américaine ne communique en faveur de sa politique visant à détruire l’Union européenne, que les Russes, via Gazprom, signalaient rencontrer davantage de problèmes avec les turbines à gaz Nord Stream… comme par hasard ! Dans la foulée, une nouvelle flambée journalière de 14%.
Gazprom s’attendait à recevoir une turbine réparée, après une maintenance au Canada, en mai, mais Siemens Energy n’a pas réussi à la livrer en raison des sanctions occidentales, a déclaré Markelov, directeur général adjoint de Gazprom.
Il faut être déficient mentalement pour ne pas conclure que les leaders européens veulent provoquer un chaos en Europe afin de rendre la région toute prête à recevoir les blindés russes. On appelle ce genre de comportement : des collabos.
On a ainsi la preuve que l’UE est bien devenue une UERSS.
Dans le contexte géopolitique actuel, il est évident que le Kremlin est susceptible de maintenir les flux de gaz vitaux vers l’Europe à des niveaux minimaux tant que l’impasse sur l’Ukraine se poursuit.
Vous noterez le fait suivant. Tandis que les think tank américains programmaient une attaque de la Russie contre l’Ukraine, ainsi que la prise de sanctions de la part des Européens, pratiquement dans la foulée (nous avons dévoilé ces plans récemment dans la lettre confidentielle LIESI)… qu’ont fait les politiciens européens ? Ils ont détruit la politique de l’énergie nucléaire, arrêté les centrales à charbon et se sont rendus de plus en plus dépendants du bloc de commandement russe. C’est ainsi que la société russe Gazprom, contrôlée par l’Etat, fournissait environ un tiers de tout le gaz consommé en Europe, jusqu’à ce que la guerre en Ukraine perturbe les approvisionnements.
Le changement de la politique européenne a changé avec l’attaque de la Russie. Un scénario qu’ils n’ont cessé de favoriser en soutenant l’acteur Zelensky, qui n’a jamais été dans le sens du pourquoi les Ukrainiens avaient voté pour lui : rassemblé les Ukrainiens dans leur différences. On sait qu’il a toujours soutenu les néonazis contre les Ukrainiens du sud.
La puissance économique de l’UE dépendait de la Russie pour plus de la moitié de son gaz et environ un tiers de son pétrole. La dépendance est tombée à 26% pour le gaz et à 12% pour le brut à l’été. L’impasse avec Moscou a conduit l’Allemagne à doubler ses investissements dans les énergies renouvelables et à investir dans des installations d’importation de GNL, mais il faudra des années pour que ces autres sources soient mises en ligne. Entre-temps, le gouvernement a relancé les centrales au charbon très polluantes et subventionné les achats auprès des fournisseurs d’énergie alternatifs pour compenser la forte baisse des importations de gaz russe.
Alors que le marché du gaz évaluait une crise de courte durée, pouvant durer peut-être quelques mois, il présente maintenant un danger extrême pour l’hiver prochain, jusqu’en 2023 et, de plus en plus, jusqu’en 2024. Ce qu’il faut voir, ce sont les cotations des prix à terme sur différentes échéances. Un examen de ces graphiques devrait provoquer la panique dans les gouvernements européens. Seul l’industriel est visiblement conscient de ce qu’ils traduisent. En mars, un fabricant allemand pouvait bloquer les prix du gaz pour l’ensemble de 2023 à environ 80 euros par mégawatheure ; maintenant, il doit payer un montant record de 145 euros pour couvrir le même risque de prix.
Moscou ne coupe pas encore le robinet… il ralentit le flux… Mais les Allemands vont s’apercevoir que sans une énergie si bon marché de la part des Russes, ils seront bien moins riches que les autres et ne pourront plus donner de leçons de ‘bonne gestion’ aux pays du Sud.
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Source(s) : Liesidotorg.com via Chalouette
Rappel : Ukraine, les masques de la révolution (Spécial Investigation)
Rappel : Aux États-Unis, le vrai gouvernement n’est pas celui de Washington (Liesidotorg.com)
Informations complémentaires :
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