Ce qui serait bien, c'est que tout ces gens commencent par apprendre à écouter..., hélas, comment vous dire..... Poker vs Chess, bad luck for us I guess....
Une bande de perdants qui prétendent être des leaders, mais ne sont eux-mêmes que des moutons.#AnimauxDeFerme #G7Puppets #G7Blatringues #Vanguard #BlackRock #Vanderbilt #IlFautDégagerCesParasites pic.twitter.com/VRLTdhyZGU
— -_ 2019_nCoV_- (@_2019_nCoV) June 28, 2022
VIDEO???? @ThierryMariani : "Les sanctions sont une stupidité, elles ne feront jamais baisser la Russie???????? car le reste de la planète ne les applique pas. Par contre qui paie la note ? Les Européens????????. Et les seuls qui profitent de la guerre sont les USA."#Ukraine #Poutine #Zelensky pic.twitter.com/p5VV2qxEna
— Paul Mariou (@MariouPaul) June 27, 2022
Svp, à toutes et à tous, prenez 3min pour écouter????, comme cela vous serez prévenu, pour l'inflation en Europe c'est pareil, avec des terroristes aux différents niveaux de décision, NOUS allons vivre des temps difficiles, voir fatal.????tout ceci est VOLONTAIRE! https://t.co/8lJSp7r8xB
— Crash-de-bug.fr (@crashdebug_fr) June 25, 2022
28 juin (Reuters) - Tout empiètement d'un État membre de l'OTAN sur la péninsule de Crimée pourrait équivaloir à une déclaration de guerre à la Russie et conduire à une "Troisième Guerre mondiale", a déclaré lundi l'ancien président russe Dmitri Medvedev.
"Pour nous, la Crimée fait partie de la Russie. Et cela signifie pour toujours. Toute tentative d'empiéter sur la Crimée est une déclaration de guerre contre notre pays", a déclaré Medvedev au site d'information Argumenty i Fakty.
"Et si cela est fait par un État membre de l'OTAN, cela signifie un conflit avec toute l'alliance de l'Atlantique Nord ; une Troisième Guerre mondiale. Une catastrophe totale."
Medvedev, aujourd'hui vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a également déclaré que si la Finlande et la Suède rejoignaient l'OTAN, la Russie renforcerait ses frontières et serait "prête à prendre des mesures de rétorsion", ce qui pourrait inclure la perspective d'installer des missiles hypersoniques Iskander "à leur seuil".
Reportages de Ronald Popeski à Winnipeg et de Lidia Kelly à Melbourne ; édition Chris Reese.
Source : Reuters.com
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