Les Américains pourront accéder à toutes les données personnelles des Européens - Eric Denécé (Francesoir.fr)

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Tout ceci est très sérieux et très grave, il y avait négociation là-dessus, car nos droits n'étaient pas respectés, et Ursula van der Lyen (qui n'a toujours pas fourni ses SMS), explose tout, et donne toutes nos données aux États-Unis sans AUCUNE réciprocité. Alors écoutez, certains disent que je m'emporte, pourtant j'essaye de garder mon calme, mais comment voulez-vous rester de marbre ? Si vous ne comprenez pas pourquoi je m'énerve, regardez ce docu de Cash Investigation : Cash Investigation « Nos données personnelles valent de l'or ! » (France 2).

Si après ça vous ne comprenez toujours pas que tous ces gens sont des traîtres et des collabos de la pire espèce TOTALEMENT inféodés à Washington c'est normal, c'est dans leur ADN !...., ils ne sont là, que pour monnayer sonnant et trébuchant nos droits....

Ils vont nous faire bosser jusqu'a 70 ans (c'est dans les cartons) demander à un carreleur de continuer à bosser après 60 ans, s’il y arrive c'est déjà bien, mais il aura les genoux détruits, par contre tous ces gratte-papier de Bruxelles (qui produisent des normes délirantes, nous coûte un pognon de dingue et TUENT notre pays à petit feu). EUX, ils ne paieront toujours pas d'impôts, et partiront à la retraite à 50 ans avec 9000€ de retraite par mois et des genoux en parfait état (informations complémentaires).

Alors à ce tarif-là, les Datas aux US, mais c'est cadeau !, pas de souci les gars, on vous les emballe ? (ils n'ont toujours rien compris...)

Update 10.05.2022 : Les USA espionnent nos Entreprises et nous mènent une Guerre Économique (Ali Laïdi)

Rappel : Le rôle de la City Of London et de Wall Street dans l'ascension du communisme et du IIIe Reich..., ainsi que le fonctionnement du contrôle mental,

 

 

Amitiés : ((((

f.

Eric Denece
Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, sur notre plateau ce
29 mars. Xavier Pardessus / FranceSoir
 
Dans cet entretien essentiel, nous avons reçu Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, afin qu’il commente l’accord sur le transfert vers les États-Unis des données personnelles des Européens conclu lors du sommet européen du 25 mars entre la présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le président américain Joe Biden. « C’est passé quasiment inaperçu », déplore le politologue, qui nous livre également son analyse sur la crise russo-ukrainienne.

Eric Denécé commence par rappeler qu’un premier échange sur le transfert des données personnelles des citoyens en Europe vers les États-Unis avait été invalidé par la Cour de justice de l’Union européenne en juillet 2020. Celle-ci avait estimé que les garanties de sécurité en matière de traitement des données n’étaient pas respectées aux États-Unis en vertu, notamment, de la loi américaine sur le Foreign Intelligence Surveillance Act. Par ce texte, « les Américains peuvent piocher dans les données que nous leur transmettons comme ils le veulent en utilisant l’argument de la sécurité nationale, ce qui ouvre la porte à tous les abus », alerte le politologue qui juge qu’Ursula von der Leyen a profité de la crise ukrainienne pour adopter cet accord, pourtant inéquitable. Il le rappelle : « Il n’y a pas de réciprocité des données avec les Américains. » Et d’insister sur le bénéfice que ces derniers pourront en tirer : « On sait que toutes les écoutes de la NSA faites depuis 2002 au titre de la lutte contre le terrorisme ont servi à la guerre économique et non pas à la lutte contre les attentats. »

L’ancien officier de renseignement durant la guerre froide est aussi revenu sur le discours partial de la presse grand public à propos du conflit russo-ukrainien : « On est aujourd’hui dans le management de la perception, ce n’est plus la vérité qui compte », estime-t-il. Le docteur en science politiques ajoute que les autorités ont tendance, avec l’appui des chaînes de télévision, à empirer artificiellement les crises, à l’instar de celle du Covid-19, « de façon à atteindre des objectifs précis ». S’il se demande si ces manipulations sont faites dans le sens d’intérêts européens ou américains, pour lui, sur le dossier ukrainien, il ne fait nul doute que les États européens agissent dans le sens des seuls intérêts des seconds au détriment des leurs.

Eric Denécé évoque aussi le jeu diplomatique des Européens et des Turcs. Si la voix des premiers a été complètement mise de côté, Sergueï Lavrov jugeant que l’Union européenne ne peut plus être considérée comme "État garant de confiance", les seconds ont su tirer leur épingle du jeu. En effet, la Russie voue maintenant un mépris à l’encontre de l’Europe, qu’elle pense totalement alignée sur les intérêts américains, et ce, sur tous les sujets. Pour eux, « non seulement nous sommes devenus des auxiliaires des Américains, mais nous avons aussi pris tous les travers de la société américaine avec cinq ou dix ans de retard : le wokisme, le politiquement correct, les médias qui sont mainstream… », explique-t-il.

En outre, le politologue rappelle que non seulement l’UE n’a pas fait pression sur le président Zelensky, élu pour appliquer les accords de Minsk, dont la France et l’Allemagne étaient censés assurer le respect ayant pris part aux négociations, mais elle donne des armes aux Ukrainiens de façon affichée, « une forme de co-belligérance absolument scandaleuse », estime-t-il. Par ailleurs, leur livraison de manière indiscriminée fait peser le risque qu’elles finissent dans les mains de groupes terroristes et criminels.

Enfin, Eric Denécé mettra l’accent sur l’irrespect de l’État américain pour l’État de droit : « En 30 ans, les Américains ont rétabli la torture (ils l’ont fait à Guantanamo), ils ont fait valider la torture par leurs juristes du département de justice, ils imposent des sanctions extraterritoriales à tous leurs partenaires, ils ont violé le droit international aussi bien au Kosovo en déclarant la guerre à un pays qui ne leur avait rien fait, ils ont envahi l’Irak en 2003, leurs forces sont déployées dans 177 pays du monde, ils ont un budget de la défense neuf fois et demi supérieur au budget russe... » Et de préciser qu’ils agissent systématiquement dans le sens de leurs seuls intérêts au mépris de ceux de leurs alliés : « Est-ce qu’on peut faire confiance à une nation qui du jour au lendemain décide que Cuba devient un pays avec qui on peut faire des affaires alors que des entreprises françaises ont été sanctionnées pour faire des affaires avec Cuba quelques temps après. Ou l’Iran, ou le Vénézuela, ou l’Arabie Saoudite ». « Ils sont imprévisibles », conclue-t-il.

 

Source : Francesoir.fr

 

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Ukraine on fire (VOSTFR)

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