Les prix du gaz et du pétrole s’envolent, Bruno Le Maire appelle à « faire plus attention à nos consommations » (Nouvelobs.com)

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Bonjour, apparemment vous avez apprécié l'interview d'Alexis Poulin, et ça me fait chaud au cœur parce qu'elle était très bien, j'ai peu de chose à vous dire, je suis l'actualité sur twitter, les choses bougent,

Mais je vous avouerais que je reste très angoissé quant à la suite, je me fais peut-être des idées, mais je pense que les hausses de gaz, d'électricité et de l'alimentation risquent d'avoir raison de nous. Je n'ai pas un budget extensible, et les choix de notre gouvernement vont avoir des impacts très concrets sur chacun d'entre nous (la 'Caste' elle pas de souci).

Bref, Depuis en fait très exactement 10 ans, quand la France a choisi la voie de l'austérité (ce qui a été confirmé par le FMI comme une erreur de 'calcul'), cela fait 10 ans qu'ils font n'importe quoi, enfin à mon sens pas exactement n'importe quoi, mais très exactement l'inverse de ce que la logique dicte.

Ce qui a été encore confirmé avec la crise covid.

Et là encore avec l'Ukraine, ils cherchent le conflit ouvert avec la 2e puissance nucléaire mondiale....

Certes, moi je ne suis qu'un petit commentateur, mais comme je vous le dis toutes ces hérésies gouvernementales, vont avoir des conséquences très concrètes, et n'oubliez pas que la BCE (comme depuis 11 ans) est toujours en roue libre....

Alors effectivement je me pose des questions, car on va tout droit vers un crash du système, qui peut-être permettrait d'implémenter l'agenda de Davos. (N'oubliez pas aussi les menaces au niveau informatique).

Bref, dictature effective, carte d'identité numérique, novlangue partout, big brother partout, quotas carbones et autres joyeuseté avec un conflit mondial sans fin en toile de fond.

Si je ne me trompe on a là tout les éléments du livre de Georges Orwell 1984.

Amitiés,

f.

Le cours européen du gaz naturel a bondi de 60% ce lundi matin, tandis que le prix du baril de pétrole est désormais proche de son record historique de 2008.

Le prix du gaz naturel a atteint un nouveau record historique sur le marché européen ce lundi 7 mars, alors que des sanctions sur l’énergie russe sont discutées par les États-Unis et l’Union européenne face à l’invasion de l’Ukraine. Le prix du pétrole a également grimpé à cause d’un possible embargo occidental sur l’or noir russe.

La crainte de perturbations des exportations en provenance de Russie, qui fournit 40% des importations de gaz européen, a fait grimper la référence du marché en Europe, le TTF néerlandais, à un nouveau record, à 345 euros le mégawattheure (MWh). Vers 10 heures, il gagnait 45% à 280 euros.

Les cours du pétrole n’en finissent pas d’augmenter

Le prix du baril de pétrole Brent de la Mer du Nord a frôlé les 140 dollars dimanche soir, proche de son record absolu de 147,50 dollars datant de juillet 2008. Vers 9h45, le baril de pétrole WTI américain bondissait de 7,45% à 124,29 dollars et le prix du baril de Brent de la Mer du Nord s’envolait de 7,86% à 127,41 dollars.

Face à l’aggravation de la guerre en Ukraine, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré dimanche que les États-Unis et l’Union européenne discutaient « très activement » de la possibilité d’interdire les importations de pétrole russe. Les Européens sont toutefois plus prudents, certains États de la région comme l’Allemagne dépendant étroitement du pétrole et du gaz russes.

Vers une consommation rationnée ?

Mais même si l’or noir de Moscou n’est, en théorie, pas directement sanctionné pour l’instant, il ne trouve déjà quasiment plus preneur, ce qui perturbe sérieusement l’offre mondiale. « À moins d’une fin des hostilités, il n’y a pas grand-chose à l’horizon pour ralentir » la montée des cours du pétrole, selon une note de la National Australia Bank publiée lundi.

« La hausse prolongée des prix du pétrole et des matières premières va probablement amener les économies européennes à rationner la consommation et va peser sur la reprise économique et les bénéfices des entreprises en 2022 », estime Ipek Ozkardeskaya, analyste de la banque Swissquote.

Baisser d’un degré le chauffage aurait un effet « pas négligeable » sur la consommation de gaz, a estimé ce lundi matin la patronne du géant énergétique français Engie, alors que les Européens cherchent à réduire leur dépendance à l’égard de la Russie. Si les sanctions contre la Russie devaient être étendues à son secteur de l’énergie, face à l’invasion de l’Ukraine, « l’Europe pourrait venir à manquer de gaz l’hiver prochain », a souligné la directrice générale d’Engie, Catherine MacGregor, sur France-Inter. « Donc, il faudra prendre un certain nombre de mesures, qui sont déjà anticipées par les gouvernements et les pouvoirs publics. »

« Nous allons devoir tous faire un effort. Tous prendre conscience que nous entrons dans un monde nouveau », a jugé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire sur BFMTV. « Le ministre de l’Economie n’est pas là pour dire de faire ceci ou cela. Je dis simplement que collectivement nous allons devoir tous faire beaucoup plus attention à nos consommations d’énergie. »

 

Source : Nouvelobs.com

 

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