Marseille : Incendie, attaque à la machette... Des familles fuient leur cité, poussées à la rue par des gangs Nigérians (20minutes.fr)

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Je suis désolé, on attaque un peu fort ce matin, mais c'est grave, penser à tous ces gens intégrés qui payent leur loyer, et qui se font agresser par ces Nigérians.

Pour moi c'est comme les terroristes ou les fichés S, ou même tous ces gens qui refusent de s'intégrer et qui proclament haut et fort "Fuck La France".... il n'y a pas de solution, il faut les renvoyer dans leur pays d'origine par avion, accompagnés par la police ou des militaires (E. Macron dit que c'est impossible sans l'accord du pays de destination, personnellement je ne me laisserais pas impressionner, un transport transal avec des militaires, vous ouvrez la soute, vous débarquez tous ces gens sur le Tarmac du pays de destination, et vous repartez).

(Bien sûr, dans la limite du possible et ce n'est PAS à l'Europe de fixer les quotas comme actuellement, mais à la FRANCE, toutes les personnes qui désirent honnêtement intégrer notre pays et qui en respectent les lois et les coutumes sont les bienvenues).

Les autres, pas la peine de perdre du temps et de l'argent....

Et croyez-moi tous ces délinquants et tous ces connards qui nous embêtent tous les jours et occupent des places de prison, s’ils savent que s’ils ne respectent pas la loi française ils seront raccompagnés à la frontière, ça va changer beaucoup de choses dans la vie des Français(es).

Et ça profitera AUSSI à tous les gens immigrés qui respectent nos lois ET nos coutumes, j'ai vécu 20 ans avec une famille musulmane (Marocains) comme voisin immédiat, ils étaient intégrés, et leur enfant aussi et nous n'avons presque JAMAIS eu de soucis, ils nous respectaient et on les respectait, et on pouvait discuter de tout et même de religion, c'est là que j'ai appris qu'ils avaient aussi Mammon dans leur religion).

Donc je peux en témoigner une bonne partie (je pense) des immigrés s'intègrent parfaitement, et c'est encore une minorité (bien visible) qui pose souci et pourris la vie du groupe. (et c'est une idée totalement stupide de les 'stocker' ensemble dans des cités périphériques presque sans citoyens français d'origine, enfin là encore ça dépend des motivations à la base....)

Et pour les déliquants même s’ils sont de nationalités françaises, comme les autres français, là aussi il y a des solutions.... Mais il faut des moyens et être honnête intellectuellement (ça sera bénéfique pour toutes les parties, car il n'est PAS tolérable que les politiques jouent sur tous les tableaux impunément) il faut donc savoir ce que l'ont VEUX, et être tout à fait clair sur ce que l'ont ne veux PAS.

Hélas, la seule personne qui proposait cela, semble être encore un mirage médiatique, comme vous pouvez le voir sur cette vidéo Marine Le Pen semblait très à l'aise avec Emmanuel Macron au téléphone le soir de sa défaite,

Vous noterez aussi qu'ils n'ont pas réagi aux soupçons de fraudes, bref, mais connaissant l'état du tableau je ne me faisais pas beaucoup d'illusion, mais je suis quand même choqué. Ils ont éliminé F Asselineau qui n'a même pas pu être sur la grille de départ, rien que ça, c'est hallucinant..., Et apparemment les deux voies de sorties imposées étaient bien en carton-pâte....

Le changement dans la continuité en fait.... haha....

Nigerians
Nassra (à g.), a fui avec sa mère son appartement du rez-de-chaussée de la cité de la Kalliste à Marseille.
Alexandre Vella / 20 Minutes

REPORTAGE Coups de feu, incendie et attaque à la machette pour déloger les locataires et squatter l'appartement... Le climat d'extrême violence dans le bâtiment G de la cité de la Kalliste de Marseille a conduit une soixantaine de locataires à s'enfuir. Certains, sans solution familiale, ont été relogés temporairement en urgence

De premier abord, il s’agit d’un bâtiment bien déshérité, bien délabré, dans une cité des quartiers Nord, comme il en existe malheureusement des dizaines à Marseille. Ici, un tag indiquant les horaires et la direction « du coffee » – comprenez le point de deal – là, quelques voitures désossées et des poubelles aux parois fondues, léchées par des flammes, débordent d’ordures.

Un environnement qui se dégradait depuis de longues années, mais dont l’essentiel des habitants s’accommodait, vivant aussi sur les bons souvenirs passés, « celui des barbecues conviviaux au pied de la barre et des roses dans le massif », se souvient Nassra. Ce fut le cas du moins jusqu’à ce week-end, et que les violences ne montent encore d’un cran, visant directement les locataires de cette cité baptisée Kalliste – la « très belle », en grec ancien.

« Ils sont venus aux fenêtres de l’appartement taper à la machette sur les volets puis ont mis le feu », raconte Nassra Abodou, locatrice avec sa mère de ce rez-de-chaussée du bâtiment G. Léchée par les flammes, la façade porte les stigmates des coups de machettes et de cet incendie criminel survenu dimanche matin. L’intérieur de l’appartement est dévasté, malgré l'intervention des pompiers et de la police. « On a juste pris nos papiers d’identité et on est partis se mettre à l’abri chez de la famille », poursuit la jeune femme. Dans la foulée de cette journée d’angoisse, des habitants, apeurés, ont sauté du troisième étage, rapporte des témoins. Sans trop de dommages corporels, fort heureusement.

Des habitants qui ne veulent pas revenir, d’autres armés pour se protéger

À en croire les habitants, il s’agit d’une bande de Nigérians qui sèment la terreur et jouent de la machette pour expulser les locataires et récupérer des appartements bons à squatter. Une soixantaine de personnes, selon Marsactu qui a révélé l’histoire, ont quitté les lieux ce dimanche. La mairie a ouvert de toute urgence dans la foulée un gymnase pour proposer une solution le premier soir. Ce mercredi, une trentaine de personnes, soit cinq familles, indique la préfecture, n’avaient pas encore « voulu réintégrer leur logement ». Ces locataires du bailleur social Marseille Habitats sont actuellement hébergés « temporairement en appart-hôtel ».

Mais tous n’ont pas cette possibilité. Cette barre d’immeuble, qui compte 129 logements et dont 42 sont squattés, a décompté la préfecture, comporte pour partie des appartements propriétés du bailleur social, tandis que d’autres appartiennent à des privés ou à leurs habitants. Antonio, qui a acheté ici en 1974, ressent « un profond sentiment d’injustice ». Lui a trouvé la parade, et ne la cache pas. « Avec moi, ils ne s’y risquent pas, parce que moi aussi je suis armé. S’il y en a un qui entre, il ressort les deux pieds en avant. »

« J’ai peur »

D’autres encore, ont trouvé des solutions d’eux-mêmes. Comme Toihir, partie avec ses trois enfants s’installer chez des voisins, au bâtiment I. « J’ai demandé à être relogée, et loin, si possible. Parce que j’ai peur », explique-t-elle. En fait, toutes les personnes croisées ici souhaiteraient s’en aller.

À écouter les habitants, les choses ont commencé à empirer sérieusement peu après la démolition du bâtiment H, en janvier 2021. « Ceux qui y squattaient des appartements en ont cherché des nouveaux. Alors, ils sont venus ici », résume, désabusée, Nassra entouré de ses deux amies Wendy et Fela. Au même moment, passe un jeune homme, deux larmes tatouées sous son œil gauche, claquette, casquette et vêtements de couleurs vives. « Vas-y, on bouge », lâchent les jeunes femmes en détournant les yeux.

La préfecture de police a annoncé qu’une enquête était en cours et a renforcé les effectifs policiers. À terme, « dès que les conditions techniques, opérationnelles et juridiques seront réunies », ce bâtiment sera détruit, a poursuivi la préfecture. En attendant, ses habitants vivent un calvaire.

 

Source(s) : 20minutes.fr via les moutons enragés.fr

 

Inforamtions complémentaires :

Crashdebug.fr : Triche ?

 


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