« Même avec un travail, notre fils a dû revenir habiter chez nous »

A ce sujet, je suis désolé de vous embêter, mais la caisse du blog est à -187€. J'ai bien sûr payé les locations et divers frais logiciels, mais cela fait grosso modo 2 mois que l'on n'a pas eu de dons. Vous  faites comme vous le sentez, mais tout seul, je risque d'avoir du mal... Donc, un petit coup de pouce ne ferait pas de mal pour remonter la caisse, et tenter de provisionner les prochaines échéances de location, avec le cloud on est maintenant à 90€ par mois.

Amitiés,

f.

Update 25.07.2014  Merci à :

- Raphaël

- Denis

Pour leur don respectif.

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Seuls 20% des jeunes au chômage ont pu quitter le logement de leurs parents. Crédits photo :
PASCAL PAVANI/AFP

VOS RÉACTIONS - Les jeunes quittent le foyer parental de plus en plus tard, selon une étude de la DREES. Une situation que connaissent bien les internautes du Figaro.

Les «Tanguy» se multiplient - et pas forcément par amour filial. Selon une étude de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques) parue le 23 juillet, c'est la crise économique qui prolonge le séjour des jeunes chez leurs parents. Moins de la moitié des diplômés de 2007 parviennent à habiter dans leur propre logement. Une situation qui n'étonne pas les internautes du Figaro.

Hareck L. liste les obstacles à l'émancipation: «Pour ma part, j'ai essayé de partir, sans succès. Le smic ne suffit pas pour vivre, même quand on est seul. Quand on voit le prix du logement en région parisienne, le coût des transports et toutes les autres dépenses, on ne peut pas joindre les deux bouts.» «Le prix des loyers, les cautions de trois à six mois de loyer d'avance… C'est impossible d'y arriver quand on entre sur le marché du travail», renchérit Chrisen021001.

«Quand on fait des enfants, c'est pour les aider»

Beaucoup d'internautes du Figaro, comme Claudie D., continuent à vivre avec leurs enfants : «Mes deux fils sont encore à la maison. Le premier a fini ses études et ne trouve pas d'emploi et le deuxième vient de terminer son master. Ils n'ont pas d'autre choix pour le moment que de rester chez nous.» «Notre fils a essayé de partir, et même avec un travail, il a dû revenir habiter chez nous», ajoute Jacky C. Maman également, Angélique D. s'inquiète pour l'avenir : «Quand on fait des enfants, c'est pour les aider au mieux dans leur vie future. Si ça arrive à ma fille, je ferai tout pour l'aider.»

Pour certains, la cohabitation avec ses géniteurs ne pose pas de problème : «Actuellement, tout se passe très bien. Je n'ai pas autant de liberté que si j'étais chez moi, mais presque. Je n'ai rien à redire. Mes parents sont cool», affirme Arthur C. Hughes T. n'a pas de problème à partager son toit : «Je cohabite avec ma fille et ma petite-fille, nous louons ensemble un appartement au bord de l'eau et la vie est belle. C'est un vrai plaisir de l'avoir à mes côtés tous les jours.»

Dubitatif, Anthony C., assure que partir n'est qu'une question de volonté : «J'ai pris un appartement dès mes 19 ans et je ne regrette pas. Je m'en sors très bien tout seul. Quand on veut partir, on peut.» «Ça suffit comme ça de tout mettre sur le dos de la crise», s'agace Bruno B. Ils n'ont plus qu'à convaincre la famille de Patricia P., qui nous confie : «J'ai un beau-fils de 20 ans qui a son bac depuis un an. Il ne veut rien faire et ne sort pas de sa chambre. Quand on lui demande de faire quelque chose, on a l'impression de lui demander la lune. Ce n'est plus une vie, surtout pour notre couple.»

 

Source : Lefigaro.fr

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