Moment détente (?) : Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, évacué de son ministère après une intrusion violente…

Excellent ! Bravo les gars ! Il a dû faire dans son pantalon « Monsieur » le secrétaire d’État, la force ils ne comprennent que cela. Du reste, ils nous parlent de « Démocratie », mais on sait bien que la démocratie représentative est une farce. C'est TOUT sauf une réelle démocratie, puisqu'il est explicitement dit dans la Constitution que le peuple n'a AUCUN pouvoir, sauf celui d'élire des maîtres qui eux décideront à sa place, car de facto nous sommes en dictature, la dictature de Bruxelles. D'ailleurs, c’est bien Griveaux qui a joué la provocation (sur ordre de Macron) et qui a dit que le gouvernement allait « radicaliser sa communication ». Alors ils veulent jouer aux hommes et ils provoquent le peuple, mais eux ils ont 91.000 CRS pour les protéger. Conclusion ce sont des lâches... Patience mes chers compatriotes, ce qu'il faut avant tout, c'est se battre sur le plan des idées... Et donner à nos concitoyens des perspectives d'émancipation... (Informations complémentaires). Il faut que les gens deviennent des adultes politiques, et pas seulement des enfants à qui on dit quoi faire et quoi penser..., et ce jusqu'à la mort... 200 ans que ça dure..., travaille, consomme et crève (et surtout paye tes impôts et fait des enfants pour que le modèle perdure....), vous n'en avez pas marre ? L'esclavage n'a pas disparu, il a juste changé de forme... D'ailleurs n'est-ce pas un des fondements du capitalisme ?

Update 05.01.2019 : Crépuscule... (Laurence)

Le porte-parole du gouvernement a dû être évacué de son ministère à Paris après une intrusion violente dans la cour, samedi 5 janvier, en marge de l'"acte 8" des "gilets jaunes". Benjamin Griveaux était dans son bureau quand des individus ont défoncé la porte de son secrétariat d'Etat avec un engin de chantier. Un journaliste de BFMTV a posté une photo sur Twitter de la porte endommagée du ministère des Relations avec le Parlement, au 101 rue de Grenelle.  

"C'est jamais très agréable de voir défoncer à coup d'engin de chantier l'endroit où vous travaillez, mais ce n'est pas moi qui ait été attaqué, c'est la République, c'est nos institutions", a réagi Benjamin Griveaux devant son ministère.

Le porte-parole du gouvernement évoque "trois ou quatre personnes très actives dans la cour" en plus de "la personne qui conduisait l'engin de chantier". Il indique qu'ils ont "brisé quelques vitres" et que "les voitures du ministère sont inutilisables". Benjamin Griveaux et "cinq ou six" collaborateurs ont été évacués par "la porte arrière du ministère"

"J'espère qu'on les retrouvera"

"Il n'y a pas eu de contact avec les manifestants. J'étais dans mon bureau en train de travailler. Mon officier de sécurité m'a dit : "monsieur le ministre, il faut partir". On a mis en sécurité, pas que moi, mais mes équipes", a-t-il déclaré. 

Et Benjamin Griveaux d'ajouter : "Ceux qui sont rentrés ici aujourd'hui se sont mis hors de la République. J'espère qu'on les retrouvera. (...) Evidemment c'est gravissime. je crois que c'est le fait d'une minorité qu'on invite sur les plateaux télé. (...) Ceux qui veulent radicaliser le mouvement trouveront toujours face à eux une République qui se tient debout."

 

Source : FranceTvInfo.fr

Informations complémentaires :