Vous savez, il y a quelque temps, que nous avions été approchés par un 'organisme' qui s'appelle Newsguard, ce sont des factchecker, mais on a été sympa, on a répondu à quelques-unes de leurs questions (il était très insistant sur un article indiquant que des propres informations de Bill Gates, les vaccins étaient expérimentaux et modifiait l'ADN du receveur, ce qui semble se confirmer).
Enfin bref, quand on a vu la fiche, on a eu confirmation qu'ils n'étaient pas clairs, aussi quand ils sont revenus une deuxième fois pour une 'mise à jour' sachant que l'avis n'était pas impartial, nous n'avons pas donné suite.
Or Christelle Néant a eu récemment affaire a eux suite à la montée en puissance de son site Dombass-Insider et elle a fait quelques recherches, et surprise...
On a été audité par la CIA et l'OTAN !, vous savez qu’on voit la NSA H24 sur le blog, on voit même ce qu'ils lisent, ils ne se cachent pas.
Et vous croyez que c'est différent pour nous en tant que particulier... ???
L’Union européenne et Ursula Von Der Leyen sont en train de faire des choses tout à fait répréhensibles dans le dos des nations… pic.twitter.com/TQ3QhOVEiN
— Véronique Genest ???????? (@veroniquegenest) March 28, 2022
Tout l'article est ici :
Amitiés,
f.
Commençons d’abord par analyser qui est derrière NewsGuard, ce site qui prétend analyser et noter les sites d’informations selon neuf critères pour déterminer s’ils sont fiables ou pas.
Comme pour le Decodex français, on a un bon vieux système de pastille verte ou rouge, plus une orange pour les sites satyriques et une grise pour les simples plateformes laissant n’importe qui publier dessus. On pourrait se dire que de telles notations sont anodines mais ce n’est pas le cas. Car comme on le découvre sur leur site, le but de NewsGuard est de « donner aux plateformes et aux équipes de modération les données et les renseignements leur permettant de protéger leurs utilisateurs des risques existant en ligne, et de contrôler la propagation de la mésinformation».
En clair, NewsGuard fournit aux sociétés comme Google, Facebook ou Twitter, des données justifiant leur censure des méchants médias qui désinforment (ou en fait qui ne suivent pas le narratif de Washington, comme on va le voir tout de suite).
En effet, quand on se penche sur le profil de l’équipe de NewsGuard, et surtout de son comité consultatif, on comprend tout de suite que niveau impartialité et neutralité il y a un problème, un gros problème même. En effet, on retrouve dans le comité consultatif de NewsGuard :
– Don Baer, ancien directeur de la communication de la Maison-Blanche sous l’administration Clinton ;
– Arne Duncan, ministre de l’Éducation sous l’administration Obama ;
– Le général à la retraire, Michael Hayden, ancien directeur de la CIA, et ancien directeur de l’Agence de sécurité nationale (NSA) ;
– Elise Jordan, ancienne plume de la secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice ;
– Anders Fogh Rasmussen, ancien secrétaire général de l’OTAN ;
– Tom Ridge, ancien premier secrétaire d’État à la Sécurité intérieure dans l’administration de George W. Bush ;
– Gianni Riotta, éditorialiste pour La Stampa (vous savez le journal italien qui a utilisé une photo du massacre de civils à Donetsk par l’armée ukrainienne, pour illustrer un article sur la situation à Kiev) ;
– Richard Stengel, ex-sous-secrétaire d’État chargé des affaires publiques dans l’administration Obama ;
– Jimmy Wales, le cofondateur de Wikipédia, dont la présence au sein de ce comité fortement orienté (pour ne pas dire autre chose), indique que la fameuse encyclopédie n’a rien de neutre.
Si on ajoute que « l’analyste » qui m’écrit, Edward O’Reilly, est un ancien membre du corps des marines des États-Unis, et que Newsguard cite Bellingcat (dont les liens avec les programmes secrets du ministère britannique des Affaires étrangères a été prouvé) régulièrement en guise de source fiable, on comprend vite que ce site n’est qu’une autre vitrine des services de renseignement américains, CIA en tête, de la Maison Blanche et de l’OTAN, visant à imposer le narratif américain.
Pourquoi ce site décide-t-il de s’en prendre à Donbass Insider seulement maintenant (nous existons depuis 2018 je le rappelle) ? Eh bien tout simplement parce qu’avec le réchauffement brutal du conflit dans le Donbass, puis le lancement de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, et suite à la violente censure des médias russes internationaux comme Sputnik ou RT, notre petit site internet a vu son audience multipliée de manière extrêmement importante. Assez pour attirer l’attention de NewsGuard. En clair, Donbass Insider a atteint une audience suffisante pour commencer à affoler Washington, et il faut rapidement discréditer voire censurer le site, pour empêcher ses informations de détruire totalement le narratif concernant la situation en Ukraine.
L'intégralité et la suite de l'article ICI
Source : Lesmoutonsenrages.fr via Donbass-Insider
Informations complémentaires :
Crashdebug.fr : Virginie Joron décrit la corruption des institutions européennes (LCDS)
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