Ça vous parle ?
Si, si, juste à côté de Nathalie Kosciusko-Morizet, Valérie Pecresse, etc.
Ne soyez pas de mauvaise foi comme l'interviewer et acceptez la réalité des FAITS... Même si Nicolas Dupont-Aignan a fait ôter son nom, il est nominé ! Et ce n'est pas le club de Mickey !
On sait depuis longtemps que les Américains ne sont pas des enfants de cœur. Il faut comprendre qu'ils placent leurs pions de chaque côté de l'échiquier...
Comme ça ils maîtrisent quasiment toutes les options... Oui ,même de sortie...
Merci à Pierre Hillard...
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Décapactu. — Comment et pourquoi la French-American Foundation (FAF) a été créée ?
Pierre Hillard. — A l’origine, la French-American Foundation (FAF) [1] a été créée par trois éminents Américains en 1976 : James G. Lowenstein, James Chace et Nicholas Wahl. Les deux premiers étaient membres du très influent CFR (Council on Foreign Relations) où s’élabore la politique étrangère américaine tandis que le troisième était professeur de science politique. Ces représentants américains se sont appuyés sur des Français occupant de hautes fonctions.
Ainsi, on retrouve un des fondateurs de la revue Le Point, Olivier Chevrillon ; le président de Péchiney, Pierre Jouven ; le futur représentant du comité exécutif de EADS, Jean-Louis Gergorin qui travaillait au ministère des Affaires étrangères ; le futur président de l’Institut français des relations internationales (IFRI), Thierry de Montbrial...
Le lancement officiel de la FAF eut lieu grâce à la proposition du président Giscard d’Estaing, lors d’un repas à l’ambassade de France à Washington le 18 mai 1976, en présence du président des Etats-Unis, Gerald Ford et du secrétaire d’Etat, Henry Kissinger. Le but recherché, comme le rappellent les textes officiels, est le suivant : « L’objectif de la Fondation franco-américaine est de renforcer la relation franco-américaine considérée comme un élément essentiel du partenariat transatlantique. » Cette formulation atlantiste recèle, bien évidemment, beaucoup de choses.
D. — Qu’y fait-on ?
P. H. — De multiples rencontres ont lieu entre représentants français et américains afin de discuter de sujets comme la défense, la politique, le journalisme, le syndicalisme ... Dans le cas de ce dernier, le syndicaliste américain et président de l’AFL-CIO, John Sweeney, a participé à ces rencontres sous l’égide de la FAF comme le souligne le rapport French-American Foudation 2003 - 2004. En fait, il s’agit de « lisser » les points de vue afin d’aboutir à un consensus favorable au partenariat transatlantique. Toutes ces rencontres officielles et officieuses permettent de créer une communion de pensée parmi les acteurs de la FAF appartenant à des secteurs variés.
D. — Que répondez-vous à ceux qui disent que la FAF n’est rien d’autre qu’un club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français ?
P. H. — Il va de soi qu’évoquer le principe d’un « club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français » est une farce. D’abord, l’amitié n’existe pas entre les Etats. En revanche, on peut assister à des élans d’amitié entre certains peuples. Cependant, restons prudent. En effet, en raison des rivalités économiques et, parfois, militaires, ces liens d’amitié peuvent vite disparaître. Ensuite, à la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF. En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du Council on Foreign Relations et fondateur de la Trilatérale ; Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen ou encore un des anciens présidents de la FAF, John Negroponte, ancien ambassadeur à Bagdad. A ce niveau, la philanthropie n’existe pas.
D. — Comment entre-t-on à la FAF et qui en fait partie ?
P. H. — La French-American Foundation se subdivise en deux branches : New York et Paris. Dans les deux cas, l’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain. Pendant de nombreuses années, c’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de Young Leaders. Comme le rappelle avec netteté le programme de sélection : « Depuis son lancement en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité. Une démarche identique est adoptée aux Etats-Unis. » Les textes officiels précisent que la sélection s’opère en trois phases :
La première phase consiste à pré-sélectionner des candidats. Celle-ci se fait par l’intermédiaire du réseau de la French-American Foundation, par d’anciens Young Leaders ou d’actuels membres du Conseil de surveillance. Récemment, un effort a été entrepris pour diversifier socialement et professionnellement les candidats, notamment par le repérage dans la presse des profils prometteurs.
La deuxième phase consiste à recueillir formellement les candidatures. Les dossiers ainsi constitués contiennent la biographie du candidat et une lettre de recommandation. Des entretiens de motivation sont organisés.
La dernière phase de la procédure est la sélection finale des candidats. Après avoir reçu le dossier de chaque candidat, le Comité de sélection se réunit. Ce Comité comprend environ dix membres dont la majorité sont des anciens Young Leaders. Les candidats ayant obtenu le plus de voix sont sélectionnés.
Comme on peut le constater, n’entre pas qui veut à la FAF. Les gagnants sélectionnés sont véritablement « la crème de la crème » parce que tout simplement, il faut véritablement montrer patte blanche. Par conséquent, les noms américains et français, membres des Young Leaders, sont véritablement une élite dont l’objectif officiel est de « renforcer la relation franco-américaine considérée comme un élément essentiel du partenariat transatlantique ». Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; sa femme, Hillary Clinton ; l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark... La liste est longue. Dans le cas des Young Leaders français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, Jean-Marie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux députés socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg ; et de l’UMP, Alain Juppé, Yves Censi, Valérie Pécresse, Philippe Auberger, Jacques Toubon, Eric Raoult ou encore Nicolas Dupont-Aignan [2]...
D. — On trouve dans la liste des Young Leaders beaucoup de partisans du néolibéralisme et des atlantistes déclarés. Mais comment expliquez-vous la présence de personnalités comme Arnaud Montebourg, François Hollande ou Nicolas Dupont-Aignan ?
P. H. — La grande force de la FAF est d’accueillir en son sein les représentants politiques issus des grands courants qui officiellement s’opposent : le socialisme et ce que l’on appelle abusivement la droite, l’UMP. En fait, la classe politique française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme anarcho-capitaliste. Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique. En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible. En fait, ces dirigeants politiques UMPS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, prélude à l’Etat mondial. Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, ce monsieur défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve. Je rappelle que si NDA a été accepté au sein de la French-American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.
En effet, il doit donner l’illusion qu’il défend un idéal classique de défense de la souveraineté nationale donnant l’espoir qu’une chance existe, qu’une échappatoire est possible. Ainsi, il pourra canaliser un courant de Français mécontents du système politique classique en leur faisant miroiter des possibilités d’un meilleur lendemain à condition de se battre, d’y croire, de s’engager avec passion, blablablablabla ... Comme le disait Racine,« J’embrasse mon adversaire pour mieux l’étouffer. » Dans le cas de NDA, il s’agit de contrôler un mouvement du peuple en faveur de la cause nationale pour ensuite arrondir les angles, empêcher que les vrais patriotes puissent diffuser de véritables informations sur les origines de l’européisme et du mondialisme.
Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French-American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quant on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle pour 2007, NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, l’affaire a échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?
D. — Pensez-vous que la direction d’un des plus grand parti de France puisse appartenir à la FAF ?
P. H. — C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé.
Young Leaders français depuis 1981
Pierre Albouy (2003)
Managing Director Rothschild, Inc.
Jean-Luc Allavena (2001)
Associé Apollo Management
Philippe Askenazy (2005)
Professeur d’Economie CNRS
Lynda Asmani (2007)
Chargée de mission ADETEF
Philippe Auberger (1989)
Membre du Comité monétaire Conseil Général Banque de France
Agnès Audier (2000)
Havas
Maryse Aulagnon (1994)
Président Groupe Affine
Pascal Ausseur (2002)
Capitaine de Vaisseau Etat-Major des Armées
Bertrand Badré (2002)
Directeur Financier Crédit Agricole
Laurence Bagot (2007)
Journaliste Les Echos
Patricia Barbizet (1994)
Directeur Général Artémis
Nicolas Bazire (1998)
Directeur Général Groupe Arnault
Karol Beffa (2005)
Pianiste et compositeur Ecole Normale Supérieure
Najat Belkacem (2006)
Présidente de la Commission Culture Région Rhône Alpes
Michel Bon (1981)
Président Devoteam
Isabelle Bordy (2004)
Stéphane Boujnah (2000)
Managing Director Deutsche Bank France
Pierre-Antoine Braud (2003)
Chercheur
Frédérique Bredin (1994)
Directrice Déléguée auprès du Directoire Lagardère Active Médias
Pierre de Briançon (2007)
Capitaine de Frégate Marine Nationale
Roland de la Brosse (2006)
Président Plasto
Manuel Carcassonne (2001)
Directeur Littéraire
Editions Bernard Grasset
Henri de Castries (1994)
Président du Directoire Groupe AXA
Yves Censi (2003)
Député de l’Aveyron Assemblée Nationale
Emmanuel Chain (1999)
Elephant & Cie
Vincent Chapel (2003)
Founding Partner Archimède SAS
Jérôme Chartier (2003)
Deputé de Val d’Oise Assemblée Nationale
Hedwige Chevrillon (1996)
Journaliste
BFM
Jérôme Clément (1982)
Président La Sept - ARTE
Laurent Cohen-Tanugi (1996)
Avocat, Paris et New York Skadden, Arps, Slate, Meagher & Flom LLPGeneral Counsel
Anne-Laure de Coincy (2005)
Member of Cabinet for Gunter Verheugen
Vice President of the European Commission
Annick Cojean (2000)
Grand Reporter Le Monde
Jean-Marie Colombani (1983)
Michel Combes (1998)
Président Directeur Général TDF
Béatrice Cossa-Dumurgier (2007)
Secrétaire du Comité Exécutif BNP Paribas
Yseulys Costes (2007)
Co-Fondatrice et Présidente Millemercis.com
Matthieu Croissandeau (2002)
Rédacteur en chef adjoint Le Nouvel Observateur
Christophe Cros (1999)
Président Directeur Général SITA France
Olivier Danos (1989)
Directeur Scientifique Généthon
Charlotte Dennery (2003)
Comex, Finance et Stratégie BNP Paribas
Loraine Donnedieu de Vabres (2000)
Avocate associée Cabinet Jeantet
Louis Dreyfus (2005)
Directeur général adjoint Nouvel Observateur
Sylvie Dreyfus (1981)
Direction des affaires maritimes et des gens de mer Ministère de l’Equipement, des Transports et du Logement
François Dufour (2004)
President Play Bac Publishing
Nicolas Dufourcq (1994)
Chief Financial Officer Cap Gemini Ernst & Young
Nicolas Dupont-Aignan (2001)
Député de l’Essonne Maire d’Yerres
Amaury Eloy (2000)
Fondateur & co-Président NewWorks
Hakim El Karoui (2007)
Assistant Director Rotschild
Bruno Erhard-Steiner (2003)
Directeur des relations et de la communication extérieures MERCK
Jean-Louis Escary (2005)
Président et Fondateur GenOdyssee SA
Bernard Faivre d’Arcier (1983)
Ancien Directeur Artistique du Festival d’Avignon
Eric Fassin (1994)
Professeur Agrégé Département de Sciences Sociales Ecole Normale Supérieure
Olivier Ferrand (2005)
Délégué Général A gauche en Europe
Geneviève Férone (2001)
Stéphane Fouks (2001)
Co-Président Exécutif EURO RSCG CORPORATE et d’EURO RSCG OMNIUM
Michel Garcin (1982)
Président French-American Foundation – France
Nicolas Gaume (1999, 2000)
Senior VP Mobile Games Groupe Lagardère
Jean-Louis Gergorin (1994)
Ancien Executive Vice President Stragetic Coordination European Aeronautic Defense and Space Company
Bernard Guetta (1981)
Journaliste France Inter
Jean-Claude Guillebaud (1981)
Directeur Littéraire Editions du Seuil
Sylvain Hefes (1995)
François Henrot (1981)
Associé-Gérant Rothschild & Cie Banque
Catherine Hodeir-Garcin (1989)
Agrégé d’histoire IUFM Amiens
François Hollande (1996)
Premier Secrétaire Parti Socialiste
Erik Izraelewicz (1994)
Directeur de la Rédaction Les Echos
François Jaclot (1994)
Managing Director Equities FJ Consulting
Jean-Marc Jancovici (2002)
Jean-Noël Jeanneney (1983)
Europartenaires
Laurent Joffrin (1994)
Directeur, Libération
Alexandre de Juniac (2002)
Directeur Général, Division Air Systèmes Aériens Thalès
Alain Juppé (1981)
Ancien Premier Ministre Maire de Bordeaux
Philippe Jurgensen (1981)
Président-Directeur Général ACAM
Thomas Kamm (1998)
Partner Brunswick Group
Sylvie Kauffmann (1998)
Journaliste Le Monde
Yves de Kerdrel (2005)
Journaliste Le Figaro
David Kessler (1999)
Directeur France Culture
Nathalie Kosciusko-Morizet (2005)
Secrétaire d’Etat à l’Ecologie Députée UMP de l’Essonne
Sophie L’Hélias-Delattre (1999)
Avocate à la Cour, New York
Bruno Lafont (1989)
Président Directeur Général Lafarge
Marwan Lahoud (1999)
Co-Président EADS
Marie Lajus (2006)
Chef du service de la communication et des relations publiques Cabinet du Préfet de Police de Paris
Philippe Langenieux-Villard (1994)
Maire, Conseiller Régional Ville d’Allevard
Christopher Laszlo (1989)
President Innov-Ethics Group, LLC
Anne Lauvergeon (1996)
Présidente du Directoire AREVA
Philippe Le Corre (2004)
Associé Publicis Consultants
Frédéric Lemoine (2006)
Président du Conseil de Surveillance AREVA
François Léotard (1981)
Ancien Ministre Inspecteur Général des Finances
Bruno Le Roux (1998)
Député de Seine-Saint-Denis Assemblée Nationale
Jean-Louis Levet (1989)
Directeur IRES
Yves Lichtenberger (1981)
Président Université de Marne la Vallée
Francis Lorentz (1983)
Président IDATE
Philippe Manière (1994)
Directeur Général Institut Montaigne
Caroline de Margerie (1994)
Maître des Requêtes Conseil d’Etat
Gilles de Margerie (1989)
Directeur Finances et Risques Groupe Crédit Agricole S.A.
Pierre Mariani (1995)
Head, International Retail & Finance Services BNP Paribas
Laurent Ménière (2002)
Senior Managing Director Bear Stearns, London
Alain Mérieux (1982)
Président-Directeur Général BioMérieux
Emmanuelle Mignon (2005)
Directrice de Cabinet Présidence de la République
Alain Minc (1981)
Président AM Conseil
Arnaud Montebourg (2000)
Député de Saône-et-Loire Assemblée Nationale
Ludovic de Montille (1989)
Banker BNP Paribas
Véronique Morali (1995)
Présidente Chanel
Nicolas Moreau (2001)
Directeur Général AXA
Aquilino Morelle (1998)
Ancien Conseiller au Cabinet du Premier Ministre
Christine Morin-Postel (1981)
Ancienne Administratrice de sociétés
Camille Morineau (2006)
Conservatrice, collections contemporaines Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou
Pierre Moscovici (1996)
Ancien Ministre Secrétaire National aux Affaires Internationales Parti Socialiste
Cécile Moulard (2000, 2001)
Sixième Continent
Laurance N’Kaoua (2003)
Journaliste Les Echos
Dominique Nora (1994)
Rédactrice en Chef Adjoint Le Nouvel Observateur
Olivier Nora (1995)
Président du Directoire Editions Grasset et Fasquelle
Christine Ockrent (1983)
France 3
Denis Olivennes (1996)
Président Directeur Général Groupe FNAC
Bruno Paccagnini (2004)
Lieutenant Colonel Etat-Major des Armées
Valérie Pecresse (2002)
Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Députée des Yvelines
Matthieu Pigasse (2005)
Managing Director Lazard Frères
Dorothée Pineau (1989)
Maire-adjointe chargé de l’Urbanisme, l’Environnement et des Espaces Verts Ville de Boulogne-Billancourt
Hélène Ploix (1983)
Chairman Pechel Industries
Eric Raoult (1994)
Maire de Raincy
Alain Richard (1981)
Maire de Saint-Ouen-L’Aûmone
Pierre Richard (1981)
Président du Conseil d’Administration Dexia
Pascal Riché (1999)
Rédacteur en Chef Rue 89
Maximilien Rouer (2005)
Chief Executive Officer Becitizen
Shan Sa (2002)
Ecrivain
Floriane de Saint Pierre (2003)
Président Floriane de Saint Pierre et Associés
Hamid Senni (2007)
Directeur Vision Enabler
Guy Sorman (1982)
Président Editions Sorman
Bertrand de Talhouët (1999)
Président La Redoute
Valérie Terranova (2000)
Ancienne Chargée de Mission auprès du Président de la République
Nicolas Tissot (2003)
Directeur Financier Electrabel SA
Jacques Toubon (1983)
Ancien Ministre
Agnès Touraine (1996)
Act 3 Consultants
Marisol Touraine (1998)
Secrétaire National à la Solidarité Parti Socialiste
Stéphane Treppoz (1999)
Senior Adviser Wendel Investment
Jean-Noël Tronc (1998)
Directeur de la Stratégie et de la Marque Orange France
Justin Vaisse (2007)
Senior Fellow Brookings Institution
Arnaud Ventura (2004)
Président du Directoire Microcred
François Villeroy de Galhau (1995)
Président-Directeur Général Cetelem
Philippe Wahl (1994)
Directeur Général Royal Bank of Scotland
Laurent Wauquiez (2006)
Porte Parole du Gouvernement, Député de la Haute-Loire
Le lien d'où fut tirée cette liste est aujourd'hui un lien qui ramène à une page blanche du site de la FAF, étonnant non ?
http://www.french-american.org/leadership/young-leaders/alumni-francais.html
La liste mise à jour mais où ne figure plus Nicolas Dupont-Aignan est ici :
http://www.french-american.org/files/liste-yl-fr-81-10.pdf
Source : Le Post
Information complémentaire :
Crashdebug.fr : Le Council on Foreing Relations
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