« Nous sommes tous manipulés... » selon un ancien officier de la DGSE

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J'espère que cela vous fera réfléchir plus globalement sur notre action....

Amicalement,

f.

Update 20.06.2016 : Max Keiser interroge un ancien officier, « la guerre contre le terrorisme » est un modèle de guerre qui sert l’économie, qui formate l’électorat, en fabriquant des terroristes

Éric Filiol est un expert français en cryptologie et virologie informatique. Il a été lieutenant-colonel de l’armée de terre française et a notamment servi comme cryptanalyste militaire de 1991 à 1997 au 44e régiment d’infanterie, régiment rassemblant certains militaires affectés à la DGSE

Parcours

Retraité de l'armée, Éric Filiol était le responsable de 2001 à 2007 du laboratoire de virologie et de cryptologie de l'ESAT et est aujourd'hui Directeur du centre de recherche de l'ESIEA et y dirige le laboratoire Confiance Numérique et Sécurité2,3 (anciennement laboratoire de cryptologie et virologie opérationnelles). Éric Filiol a d'abord suivi une formation universitaire scientifique avant de s'engager comme officier sous contrat (OSC/E) dans l'armée de terre française. Après un début de parcours classique dans la voie Commandements, il opte en 1991 pour une voie technique dans le domaine de la cryptologie au sein de la DGSE. De 1997 à 2001, il est affecté à l'école spéciale militaire de Saint-Cyr Coëtquidan en qualité d'enseignant-chercheur militaire où il se spécialise notamment en virologie informatique. En 2004 et 2008, il obtient respectivement les qualifications Intelligence Warning Systems et Information Operations de l'école de l'OTAN à Oberammergau. Il est titulaire d'un diplôme d'ingénieur en cryptologie (DCSSI), d'un DEA en algorithme et théorie des codes (École polytechnique) et d'une thèse de doctorat en informatique et mathématiques appliquées soutenue à l'École polytechnique le 28 mars 2001 et intitulée Techniques de reconstruction en cryptologie et théorie des codes [archive]. Le 17 janvier 2007, il passe son habilitation à diriger des recherches, intitulée Modèles booléens en virologie et en cryptologie [archive], à l'université de Rennes I.

En 2003, Éric Filiol publie une cryptanalyse du standard de chiffrement AES. Son analyse est réfutée par plusieurs chercheurs4. Il n'a pas donné suite et le système AES reste un standard utilisé par l'ensemble de l'industrie de la sécurité informatique et les gouvernements.

En 2011, il annonce la mise au point d'une attaque remettant en cause l'intégrité du réseau TOR, sans toutefois annoncer véritablement la faille utilisée ni donner d'indication techniques, ce qui a poussé le projet à expliquer sur un post de blog que l'attaque était déjà connue5 et ne remettait pas en cause les principes et l'implémentation de TOR.

En septembre 2015, il annonce dans l'émission Infrarouge pouvoir couper le réseau électrique de la Californie en détruisant quelques pylones. Aucune explication technique n'est donnée.

En 2017 Eric Filiol et Arnaud Bannier proposent un algorithme de chiffrement symétrique par blocs similaire à l’AES nommé BEA-1, qui contient une porte dérobée de par sa conception, tout en résistant aux analyses cryptographiques linéaires et différentielles.6.

Source : Wikipedia.fr

L’intégralité ici : Terrorisme, Etat d'Urgence, où sont les solutions ? Journaliste, Renseignement, Stratégiste, Hacker. (Thinkerview)

 

Source : News360x

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Le jeu de l'argent

Eric Filiol Tous Manipule DGSE   

 


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