Pourquoi le nom de Jean-Luc Brunel, retrouvé mort en prison, était-il cité dans l’affaire Epstein ? (Approche-sociale.com)

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Bonjour, j'espère que vous tenez le coup, ce matin, hélas on a la confirmation que la France est une république bananière comme les États-Unis (on apprend aussi qu'un Père magistrat qui avait prostitué sa fille de 12 ans écope d'un an ferme de prison (enfin bon quand on connais l'état des lieu en France on n'est même pas étonné), et que le prince andrew a payé 14 millions à une plaignante dans le cadre de l'affaire Epstein

Bref que les puissants et les riches font ce qu'ils veulent sur la planète et même jusqu'au sein des prisons françaises, d'ailleurs on a apprit sur Twitter que la caméra de la cellule de Brunel était 'en panne' (à vérifier)

On a aussi appris que Jeffrey Epstein, à qui Mr Brunel (comme Mme Ghislaine Maxwell) fournissait de la chair fraîche (voir très fraiche...), avait été 'mis en place' par le MOSSAD israélien.

Afin de piéger dans des positions équivoques (les lieux des ébats étaient bourrés de caméras et de micros), des célébrités et des hommes politiques, en fait TOUT ce qui compte du gotha mondial de ces pervers désaxés adepte de Mammon comme Bill Gates, Bill Clinton, etc. (informations complémentaires)

Dans le but de les faire chanter. Aussi ils 'effacent' maintenant les traces de leurs méfaits, ils s'en foutent les Israéliens on maintenant toutes les captures vidéos et images de ces 'parties fines'

Et les protagonistes de ces orgies ne veulent pas que ces derniers témoins se dédouanent en les citant.

Reste Mme Ghislaine Maxwell, fille d'un ex-haut responsable israélien du... MOSSAD ; )))), enfin tout ceci est l'objet d'un article plus vaste que je vous invite à consulter pour comprendre les implications et les répercussions de 'l'affaire Epstein" qui sont fortement d'actualité et dépassent le cadre de parties fines : Comment la CIA, le Mossad et « le réseau Epstein » exploitent les fusillades de masse pour créer un cauchemar orwellien (Mintpress)

Amicalement,

f.

Jean Luc Brunel

Il ne sera jamais confronté à ses victimes présumées au tribunal. Jean-Luc Brunel, ancien agent de mannequins, a été retrouvé mort dans sa cellule de la prison de la Santé dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 février. Il était mis en examen pour « viols sur mineurs ». Mais son nom avait surtout fait le tour du monde parce qu’il apparaissait dans l’affaire Jeffrey Epstein, qui est celle d’un vaste scandale sexuel.

Disparu des radars depuis des années – à l’exception d’une apparition dans une soirée huppée à Levallois-Perret en juillet 2019-, Jean-Luc Brunel a été accusé d’avoir joué le rôle de rabatteur pour Jeffrey Epstein, en faisant miroiter une carrière dans le mannequinat à de jeunes filles de milieux modestes. En d’autres termes, il aurait aidé le milliardaire à trouver des « proies » dont Epstein pouvait ensuite abuser sexuellement.

« Toutes mes clientes présentent Jean-Luc Brunel comme un membre du réseau de trafic sexuel de Jeffrey Epstein »

Figure de la jet-set internationale et ami des puissants, Jeffrey Epstein avait été inculpé en juillet 2019 aux États-Unis pour l’organisation, entre 2002 à 2005 au moins, d’un réseau de jeunes filles exploitées sexuellement. Il s’est suicidé dans sa prison new-yorkaise début août 2019.

Le nom de Jean-Luc Brunel, fondateur en 1978 de la prestigieuse agence Karin Models, parti aux États-Unis lancer MC2 Model Management, apparaît dès la première enquête sur Jeffrey Epstein, en 2007-2008. Des messages troublants ont été retrouvés par la police de Floride, dont celui-ci, en 2005 après un coup de fil de « Jean-Luc » :

« Il a une prof pour vous, pour vous apprendre à parler russe. Elle a 2×8 ans, pas blonde ».

Les deux hommes étaient proches, et Jean-Luc Brunel avait effectué des voyages à bord du jet privé d’Epstein. Selon le « JDD », il est également allé rendre visite au milliardaire à 67 reprises lorsque celui-ci était en prison, en 2008 et 2009.

Brunel pouvait « nourrir le grand appétit d’Epstein »

Virginia Giuffre, une des principales plaignantes de l’affaire Epstein et qui vient de conclure un arrangement financier avec le prince Andrew, a également affirmé avoir été forcée à des rapports sexuels avec Jean-Luc Brunel.

Dans une plainte déposée en 2015, révélée alors par la presse américaine, elle accusait le Français d’être un « des principaux pourvoyeurs de filles » d’Epstein. Selon elle, Brunel « dirigeait une sorte d’agence de mannequins et semble avoir eu un arrangement avec les autorités américaines pour obtenir des passeports et d’autres documents de voyage pour les jeunes filles. Il amenait ensuite ces filles, âgées de 12 à 24 ans, aux États-Unis à des fins sexuelles et les remettait à ses amis, Epstein compris. Mon sentiment c’est que Jean-Luc Brunel obtenait ses filles d’Europe de l’Est », explique Virginia Giuffre dans sa plainte.

« Le seul lien de leur amitié semblait être que Brunel pouvait obtenir des douzaines de filles mineures et nourrir le grand appétit d’Epstein, et de [Ghislaine] Maxwell, pour les rapports sexuels avec des mineures », explique-t-elle.

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« Jeffrey Epstein m’a dit qu’il avait couché avec plus d’un millier de filles de Brunel, et tout ce que j’ai vu confirme cette affirmation. »

Alerté sur l’existence potentielle de victimes françaises de Jeffrey Epstein, propriétaire d’un appartement avenue Foch, le parquet de Paris avait lancé des investigations en août 2019. Avec le retentissement du scandale, plusieurs anciens mannequins étaient alors sorties du silence pour accuser aussi directement Jean-Luc Brunel de viols. Des accusations qui étaient déjà apparues dans un documentaire de CBS en 1988.

Le mannequin néo-zélandais Zoë Brock et la Néerlandaise Thysia Huisman, avaient notamment Jean-Luc Brunel d’avances répétées ou de viol. Des faits qui se seraient produits avant et indépendamment de la collaboration supposée entre Jeffrey Epstein et Brunel.

Jean-Luc Brunel a quant à lui toujours nié être lié au scandale et avait tenté dans les années 2010 de prendre ses distances avec le milliardaire, contre qui les plaintes s’accumulaient. En 2015, il avait « démenti avec force avoir participé, de façon directe ou indirecte, aux actions dont Monsieur Epstein est accusé ». Il avait même intenté un procès à Epstein, l’accusant d’avoir nui à sa réputation et à la réussite commerciale de son agence. Le procès avait finalement été classé.

 

Source : Approche-sociale.com

 

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