C'est dégueulasse, parce que ceux qui profitent des 'politiques accommodantes' de la BCE DEPUIS 10 ANS.... n'ont pas de problèmes financiers, par contre les gens dans la vie réelle sont ruinés et pris en étaux à cause de l'inflation provoquée par les mêmes planches à billets successives de la BCE (qui bénéficient à certains) et les revenus, salaires, rentes, pensions, qui n'augmentent pas depuis 10 ans...
Et ils le SAVENT, alors que ce n'était PAS VRAI, ils ont pris le prétexte que l'INSEE ne voyait pas d'inflation pour ne PAS augmenter les salaires pendant 10 ANS...
Rien, nada, les gens n'ont eu que des augmentations de 2 ou 3% alors que l'inflation réelle était vraisemblablement à 9.74%
Ça veut dire que TOUT le monde a subi une perte de revenu ÉNORME depuis 10 ans.... (9.64-3) x 10 = 66,4% de perte cumulée sur 10 ans.
Rappel : Pouvoir d'achat : le grand mensonge (France Culture)
Et je rappelle utilement que c'est Jacques Delors (eurolâtre et déjà traître du PS s'il en est) qui a retiré en 1983 l'indexation automatique des rémunétations, etc., sur l'inflation, comme c'est encore le cas en Belgique...
Cela continue, et ce n'est pas prêt de s'arrêter, et la contre-mesure de donner des 'chèques' énergétiques, et bientôt alimentaires, n'est PAS la solution,
C'est un pansement sur une jambe de bois et ça ne touche PAS tout le monde, il faut donc MASSIVEMENT (au moins de 70% pour rattraper les 10 ans) augmenter les salaires, rentes, pensions, smic (penser à tout le monde).
Sachez enfin que les dépenses énergétiques et alimentaires ne SONT pas prises en compte pour calculer le montant des salaires, car jugées 'trop volatiles', plus mauvaise foi que ça tu meurs, hein....
De plus, depuis 10 ans au moins, les actionnaires captent 67,4% des bénéfices des sociétés et font peser en bout de chaîne une pression démentielle sur les salariés qui ont eux droit royalement à 5,3% des bénéfices en rémunération alors que in fine ce sont EUX qui font tourner l'entreprise, et c'est un véritable scandale.....
Donc pour les raisons précédemment évoquées, pendant que l'on DÉTRUIT en douce pendant 10 ans NOS HÔPITAUX (sur ordre de Bruxelles) pour économiser 11,7 milliards d'€uros, ce n'est vraiment PAS la peine (à moins d'avoir d'autres buts) de faire un chèque en blanc de 100.000.000.000 € de CICE aux entreprises et faire une politique de l'OFFRE (enfin on va y revenir).
Et là, on commencera à discuter sérieusement, le reste c'est des foutaises gouvernementales/patronales.
Car nos démocraties ont été prises en otage par l'oligarchie financière, le gouvernement, etc.,et ne sont là QUE pour servir LEURS intérêts, pas les nôtres, hein....
Mais à un moment il va y avoir un souci.... Il y a plus de 10.000.000 (10 millions) de gens qui souffrent dans l'indifférence générale et ne sont représentés par PERSONNE.
De plus... Si vous rajouter de l'argent dans les salaires (tout l'inverse de ce qu'ils font depuis 10 ans), bref, si vous faites une politique de la 'DEMANDE' et NON de l'OFFRE comme depuis 10 ans.
Vraisemblablement les gens pouront consommer, et donc ça créera une demande, et les employeurs embaucheront pour y faire face, et ça fera un cercle vertueux, mais il faut AMORCER la machine.
Bon, après je rappelle que je ne suis pas économiste ou quoi que ce soit, ce sont MES conclusions.
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »
La citation est attribuée à Albert Einstein.
« Le 5 du mois il ne me reste plus rien » La réponse d’@EmmanuelMacron est toujours la même,« je sais mais il n’y a pas de solution magique ». Par contre il y’a de l’argent magique pour Mckinsey, les mesures liberticides « sanitaires » et pour la guerre en Ukraine ! #CriseSociale pic.twitter.com/uLc7J3rrbb
— Tamila Tapayeva (@tamilatapayeva) May 14, 2022
Update 17.05.2022 : Votre niveau de vie est systématiquement détruit (Michael Snyder)
Update 29.05.2022 : Viktor Orbán décrète l’état de risque de guerre et taxe les multinationales (RI)
Amitiés,
L'Amourfou.
Face à l'inflation et à la situation géopolitique, les consommateurs réduisent leurs dépenses essentielles, souligne la dernière enquête Cofidis et CSA Research sur les stratégies financières des Français.
Les Français constatent avec inquiétude la dégradation de leur pouvoir d'achat, alimentée par l'inflation galopante et la situation internationale.
Selon la dernière enquête* Cofidis et CSA Research sur les stratégies financières des Français, ils estiment manquer de 490 euros par mois en moyenne pour vivre convenablement. Une somme en hausse de 23 euros par rapport à l’édition 2021 du Baromètre publiée en septembre dernier.
Cet impact est particulièrement notable chez les familles monoparentales (78%), les jeunes de 25-34 ans (76%) et les ouvriers (72%). "En effet, il s’agit des populations les plus fragiles traditionnellement, ayant plus de difficultés à mettre de côté chaque mois, et qui doivent puiser davantage dans leur réserve ou s’endetter" peut-on lire.
Rogner sur le chauffage, les sorties, les achats plaisir
Conséquence directe de cette situation, la très grande majorité des consommateurs (81%) envisage de réduire leurs dépenses, essentielles ou pas, et 69% envisagent de changer leurs habitudes de consommation.
Ainsi, 25% des Français prévoient de se limiter sur leur chauffage, 23% sur l'alimentation et 20% sur l’eau et l’électricité.
Du côté des dépenses moins essentielles, 55% des Français concernés pensent limiter leurs sorties. Arrivent ensuite les achats de vêtements (45%), les voyages (41%), les loisirs (38%) et les produits culturels (36%).
Ces prévisions se voient déjà dans les statistiques officielles. Selon l'Insee, au premier trimestre, "la consommation des ménages recule nettement: -1,3% après +0,6%" au trimestre précédent tandis que les achats de biens ont reculé de 1,7%.
Près d’un tiers des Français (29%) envisage également de reporter ou de renoncer à ses projets, tels que les vacances, les travaux ou encore l’achat d’une nouvelle voiture.
Seulement 38% des Français parviennent à épargner
"Cela démontre que les Français ne sont pas attentistes et qu’ils se préparent, au contraire, à adapter leur quotidien pour passer le cap de la crise" explique Cofidis.
Outre la réduction de leurs dépenses, 42% prévoient de puiser dans leur épargne personnelle, 15% envisagent d’utiliser temporairement leur découvert bancaire et 8% pensent faire appel à leur entourage pour les aider financièrement. Par ailleurs, 6% des Français envisagent de souscrire à un crédit à la consommation pour faire face à la crise.
Il faut dire que seulement 38% des Français arrivent à mettre de l’argent de côté...
* : Echantillon de 1510 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans dont 877 détenteurs d’un crédit. Echantillon constitué d’après la méthode des quotas. L'enquête en ligne a été menée du 28 mars au 4 avril 2022.
Source : Bfmtv.com
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